« L’objectif majeur du gouvernement ivoirien est de réussir à transformer d’ici 2015, la moitié de la production nationale. Et 100% de transformation en 2020 ». Cette déclaration a été faite lundi après-midi à Cotonou (Bénin), où se tient la 7ème Assemblée annuelle de l’Alliance africaine de cajou (ACA), par M. N’Golo Diarrassouba, conseiller technique du ministre de l’Agriculture, représentant le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly.
Pour N’Golo Diarrassouba, cela va demander beaucoup d’effort d’organisation des acteurs (producteurs, transformateurs, exportateurs). Et c’est à cela que s’attèle en ce moment l’Etat de Côte d’Ivoire. « Le ministre nous a instruit pour rassurer les acteurs ivoiriens à cette rencontre que le gouvernement travaille à la réforme de la filière anacarde, et que dans les prochaines années, les revenus des producteurs seront impactés positivement de telle manière qu’ils puissent continuer à maintenir notre niveau de production », a-t-il ajouté.
Le conseiller technique du ministre de l’Agriculture a indiqué que le potentiel de croissance ivoirienne en terme de production de la noix de cajou est énorme. « Il est de l’ordre 10%. Donc, nous pensons que pouvons toujours tenir notre place de premier producteur africain pendant longtemps », s’est-il réjoui.
N’Golo Diarrassouba a ensuite rendu hommage aux producteurs en ces termes : « Les performances ivoiriennes sont le fait des petites mains qui travaillent au niveau des campagnes, au niveau des villages ». Selon lui, la stratégie mise en œuvre par le gouvernement consiste à mieux structurer la filière pour faire en sorte qu’il y ait suffisamment de retombées au niveau des producteurs agricoles.
Le représentant du ministre de l’Agriculture à la 7ème Assemblée de l’ACA estime à 60 mille, les offres d’emploi de la filière anacarde si la production ivoirienne est transformée en grande partie sur place.
L’Autorité de régulation du coton et de l’anacarde (ARECA) prend une part active à cette assemblée. Le président de son conseil d’administration, M. Bamba Mamadou épaulé par le directeur exécutif, M. Malamine Sanogo et ses proches collaborateurs sont à pied d’œuvre pour donner un éclat particulier à la participation ivoirienne. D’autres structures intervenant dans la filière sont également présentes dans la capitale béninoise. Il s’agit entre autres, du port autonome d’Abidjan, du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca) et des plusieurs coopératives agricoles.
La Côte d’Ivoire demeure, pour rappel, le premier exportateur des noix de cajou au monde avec 400 mille tonnes dont moins de 10% sont transformées localement.
Le service de communication
Pour N’Golo Diarrassouba, cela va demander beaucoup d’effort d’organisation des acteurs (producteurs, transformateurs, exportateurs). Et c’est à cela que s’attèle en ce moment l’Etat de Côte d’Ivoire. « Le ministre nous a instruit pour rassurer les acteurs ivoiriens à cette rencontre que le gouvernement travaille à la réforme de la filière anacarde, et que dans les prochaines années, les revenus des producteurs seront impactés positivement de telle manière qu’ils puissent continuer à maintenir notre niveau de production », a-t-il ajouté.
Le conseiller technique du ministre de l’Agriculture a indiqué que le potentiel de croissance ivoirienne en terme de production de la noix de cajou est énorme. « Il est de l’ordre 10%. Donc, nous pensons que pouvons toujours tenir notre place de premier producteur africain pendant longtemps », s’est-il réjoui.
N’Golo Diarrassouba a ensuite rendu hommage aux producteurs en ces termes : « Les performances ivoiriennes sont le fait des petites mains qui travaillent au niveau des campagnes, au niveau des villages ». Selon lui, la stratégie mise en œuvre par le gouvernement consiste à mieux structurer la filière pour faire en sorte qu’il y ait suffisamment de retombées au niveau des producteurs agricoles.
Le représentant du ministre de l’Agriculture à la 7ème Assemblée de l’ACA estime à 60 mille, les offres d’emploi de la filière anacarde si la production ivoirienne est transformée en grande partie sur place.
L’Autorité de régulation du coton et de l’anacarde (ARECA) prend une part active à cette assemblée. Le président de son conseil d’administration, M. Bamba Mamadou épaulé par le directeur exécutif, M. Malamine Sanogo et ses proches collaborateurs sont à pied d’œuvre pour donner un éclat particulier à la participation ivoirienne. D’autres structures intervenant dans la filière sont également présentes dans la capitale béninoise. Il s’agit entre autres, du port autonome d’Abidjan, du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca) et des plusieurs coopératives agricoles.
La Côte d’Ivoire demeure, pour rappel, le premier exportateur des noix de cajou au monde avec 400 mille tonnes dont moins de 10% sont transformées localement.
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