«Protéger notre atmosphère pour les générations à venir ». Tel est le thème retenu cette année pour la journée internationale de la protection de la couche d’ozone. A ce titre, le Coordonateur national du projet Ozone, N’Guessan N’Cho a prononcé une conférence, le lundi 17 septembre, à la Bibliothèque nationale, au Plateau. Objectif : amener l’opinion à prendre conscience des dangers de la surexploitation de la couche d’ozone. Surtout les utilisateurs et les importateurs de gaz. N’guessan N’cho a donc donné des prescriptions pour une préservation de cette couche vitale pour la planète. Parce que, si cette couche venait à disparaître, les rayons ultraviolets du soleil stériliseraient la surface du globe, anéantissant ainsi toute vie présente et future sur la planète Terre. Il a donc invité à mener ce combat pour une couche d’ozone saine, via une meilleure utilisation des différents appareils. Parce que, depuis un quart de siècle, «l’un des plus grand défis posés à l’humanité est l’appauvrissement de la couche d’Ozone qui protège la vie sur terre des rayons ultra-violet nocifs émis par le soleil». L’année 2012 marque l’anniversaire du protocole de Montréal, instrument mis en place dans le cadre de la coopération internationale pour résoudre le problème de l’appauvrissement de la couche d’Ozone. La communauté internationale a reconnu le lien existant entre les frigorigènes à base de CFC et HCFC et l’appauvrissement de la couche d’ozone. Par conséquent, toutes les installations de réfrigération et de climatisation en exploitation doivent faire l’objet d’une maintenance rigoureuse et totale. Puisqu’il faut minimiser les rejets de frigorigènes dans l’atmosphère.
DEBORAH MANOU (Stg)
DEBORAH MANOU (Stg)