«La paix, ce n’est pas un vain mot, c’est un comportement» a dit le sage. Depuis plus d’une décennie, la Côte d’Ivoire est en quête de paix, devenue une denrée rare. Combien de fois n’a-t-on pas entrepris des forums, des colloques, des résolutions pour imposer cette paix, si nécessaire à tout développement. Résultat, plusieurs années après, nous sommes à la case départ, courant vers cet idéal. Aujourd’hui plus que jamais, les Ivoiriens, dans leur grand ensemble, ont soif de paix.
Et attendent des décideurs, des actes forts pour son avènement. Cela nécessite un certain nombre de sacrifices. Il faut se départir des chapelles politiques, des clivages ethniques et religieux pour s’engager résolument dans la paix. Tout le monde doit se sentir concerné, car la paix est un bien commun. Demain vendredi 20 septembre, c’est donc la journée internationale de la paix. Qui sera célébrée avec faste dans notre pays. On entendra encore et encore des discours politiques qui riment avec ce genre de cérémonies. On nous dira, entre autres, qu’on fait tout pour que la paix revienne et que les véritables ennemis de cette paix, ce sont les autres. Cela ne sera pas suffisant pour tranquilliser les Ivoiriens. Ils veulent maintenant du concret. C’est d’ailleurs pour cette raison que tous les regards se tournent vers le chef de l’Etat et son équipe. L’avenir du pays en dépend. La Côte d’Ivoire a déjà trop souffert.
Poy
Et attendent des décideurs, des actes forts pour son avènement. Cela nécessite un certain nombre de sacrifices. Il faut se départir des chapelles politiques, des clivages ethniques et religieux pour s’engager résolument dans la paix. Tout le monde doit se sentir concerné, car la paix est un bien commun. Demain vendredi 20 septembre, c’est donc la journée internationale de la paix. Qui sera célébrée avec faste dans notre pays. On entendra encore et encore des discours politiques qui riment avec ce genre de cérémonies. On nous dira, entre autres, qu’on fait tout pour que la paix revienne et que les véritables ennemis de cette paix, ce sont les autres. Cela ne sera pas suffisant pour tranquilliser les Ivoiriens. Ils veulent maintenant du concret. C’est d’ailleurs pour cette raison que tous les regards se tournent vers le chef de l’Etat et son équipe. L’avenir du pays en dépend. La Côte d’Ivoire a déjà trop souffert.
Poy