Le Ministère des Eaux et Forêts a organisé du 20 au 21 septembre 2012 à la salle de conférence du Ministère d’Etat, Ministère des Affaires Etrangères l’atelier national sur le processus FLEGT (Forest Law Enforcement, Governance and Trade) ou application des règlementations forestières, gouvernance et échanges commerciaux.
Cet atelier vise à préparer la Côte d’Ivoire aux négociations d’un Accord de Partenariat Volontaire (APV) avec l’Union Européenne.
Il permettra entre autres à notre pays de décider de son adhésion au processus FLEGT, d’améliorer et harmoniser la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l’APV/FLEGT, partager les expériences sur la mise en œuvre de l’APV dans les pays africains et encourager les liens entre les acteurs dans l’optique d’une dynamisation autour du processus FLEGT en Côte d’Ivoire.
L’exploitation forestière illégale représente un manque à gagner de 10 milliards de dollars au niveau mondial et 5 milliards de dollars pour les gouvernements.
Concernant notre pays, elle est estimée à un volume annuel de 400 000m3 de bois, ce qui représente plus de 12 milliards de francs par an.
C’est pour pallier au problème de l’exploitation illégale et ses conséquences, s’est mobilisé pour l’adoption du plan d’action FLEGT qui est non seulement une réponse à ce fléau mais vise à promouvoir l’application effective de la loi forestière et de principes de bonne gouvernance dans la filière bois du pays producteur.
Notons que les pays comme le Ghana, le Congo, le Cameroun, le Libéria l’Indonésie et la République centrafricaine ont déjà signé un APV/FLEGT et notre souhaite y adhérer.
A cet effet, elle vient d’achever la phase d’information et de sensibilisation sur le processus FLEGT à travers 7 ateliers régionaux qui se sont déroulés à Abidjan, Bondoukou, Bouaké, Gagnoa, Korhogo, man et San-Pedro et 812 acteurs.
Ainsi, la Côte d’Ivoire, à travers le Ministère des Eaux et Forêts, veut marquer son adhésion au processus FLEG et disposer d’informations techniques nécessaires afin d’engager les négociations d’un APV/FLEGT.
Cet atelier vise à préparer la Côte d’Ivoire aux négociations d’un Accord de Partenariat Volontaire (APV) avec l’Union Européenne.
Il permettra entre autres à notre pays de décider de son adhésion au processus FLEGT, d’améliorer et harmoniser la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l’APV/FLEGT, partager les expériences sur la mise en œuvre de l’APV dans les pays africains et encourager les liens entre les acteurs dans l’optique d’une dynamisation autour du processus FLEGT en Côte d’Ivoire.
L’exploitation forestière illégale représente un manque à gagner de 10 milliards de dollars au niveau mondial et 5 milliards de dollars pour les gouvernements.
Concernant notre pays, elle est estimée à un volume annuel de 400 000m3 de bois, ce qui représente plus de 12 milliards de francs par an.
C’est pour pallier au problème de l’exploitation illégale et ses conséquences, s’est mobilisé pour l’adoption du plan d’action FLEGT qui est non seulement une réponse à ce fléau mais vise à promouvoir l’application effective de la loi forestière et de principes de bonne gouvernance dans la filière bois du pays producteur.
Notons que les pays comme le Ghana, le Congo, le Cameroun, le Libéria l’Indonésie et la République centrafricaine ont déjà signé un APV/FLEGT et notre souhaite y adhérer.
A cet effet, elle vient d’achever la phase d’information et de sensibilisation sur le processus FLEGT à travers 7 ateliers régionaux qui se sont déroulés à Abidjan, Bondoukou, Bouaké, Gagnoa, Korhogo, man et San-Pedro et 812 acteurs.
Ainsi, la Côte d’Ivoire, à travers le Ministère des Eaux et Forêts, veut marquer son adhésion au processus FLEG et disposer d’informations techniques nécessaires afin d’engager les négociations d’un APV/FLEGT.