En collaboration avec l’Union Européenne (UE) et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), le ministère des Eaux et Forêts (MINEF) a organisé du jeudi 20 au vendredi 21 septembre 2012, à la salle des conférences du ministère des Affaires Etrangères au Plateau, l’atelier national sur le processus FLEGT. Un atelier présidé par Albert Mabri Toikeusse, ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement.
237 sur 200 participants attendus, soit un taux de participation de 118, 5 %, ont effectivement pris part à l’atelier. Il s’agit des représentants de l’UE, de la FAO, de la GIZ et du corps diplomatique accrédité en Côte d’Ivoire, des ministères impliqués dans le processus FLEGT, du corps préfectoral, des autorités coutumières et religieuses, des experts du Congo et du Cameroun, de la société civile et du secteur privé. L’objectif global de l’atelier était de préparer la Côte d’Ivoire aux négociations d’un Accord de Partenariat Volontaire (APV) FLEGT avec l’Union Européenne.
Améliorer et harmoniser la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l’APV/FLEGT ; partager les expériences sur la mise en œuvre de l’APV dans les pays africains ; encourager les liens entre acteurs dans l’optique d’une dynamisation autour du processus FLEGT en Côte d’Ivoire constituent, entre autres, les points majeurs. Dans son allocution, M. Bruno Pozzi, représentant le Chef de la Délégation de l’Union Européenne en Côte d’Ivoire, a fait savoir que la volonté de la Côte d’Ivoire de négocier un APV est en phase avec l’évolution récente des marchés internationaux qui réclament plus de transparence et de durabilité dans l’exploitation des ressources naturelles.
Il a aussi rappelé les exigences du règlement bois de l’UE qui entrera en vigueur à partir du 3 mars 2013. Il a terminé en relevant que l’APV est un enjeu économique de premier plan et c’est fort de cela, que l’UE a détaché dans le cadre de cet atelier une équipe de six (06) membres pour répondre à toutes les préoccupations de la Côte d’Ivoire. Au cours de son allocution, le ministre des Eaux et Forêts, M. Nabo Clément, a relevé l’enjeu de cet atelier pour le pays, en ce sens qu’il marque un tournant décisif dans l’avenir des échanges commerciaux en matière de bois avec les pays de l’Union Européenne. Ce commerce, a-t-il précisé, représente environ 70% du bois exporté par la Côte d’Ivoire. Il a clos son propos, en souhaitant que les travaux puissent déboucher sur des recommandations qui soutiendront l’adhésion de la Côte d’Ivoire au processus FLEGT.
Olivier Guédé
237 sur 200 participants attendus, soit un taux de participation de 118, 5 %, ont effectivement pris part à l’atelier. Il s’agit des représentants de l’UE, de la FAO, de la GIZ et du corps diplomatique accrédité en Côte d’Ivoire, des ministères impliqués dans le processus FLEGT, du corps préfectoral, des autorités coutumières et religieuses, des experts du Congo et du Cameroun, de la société civile et du secteur privé. L’objectif global de l’atelier était de préparer la Côte d’Ivoire aux négociations d’un Accord de Partenariat Volontaire (APV) FLEGT avec l’Union Européenne.
Améliorer et harmoniser la compréhension des enjeux liés à la mise en œuvre de l’APV/FLEGT ; partager les expériences sur la mise en œuvre de l’APV dans les pays africains ; encourager les liens entre acteurs dans l’optique d’une dynamisation autour du processus FLEGT en Côte d’Ivoire constituent, entre autres, les points majeurs. Dans son allocution, M. Bruno Pozzi, représentant le Chef de la Délégation de l’Union Européenne en Côte d’Ivoire, a fait savoir que la volonté de la Côte d’Ivoire de négocier un APV est en phase avec l’évolution récente des marchés internationaux qui réclament plus de transparence et de durabilité dans l’exploitation des ressources naturelles.
Il a aussi rappelé les exigences du règlement bois de l’UE qui entrera en vigueur à partir du 3 mars 2013. Il a terminé en relevant que l’APV est un enjeu économique de premier plan et c’est fort de cela, que l’UE a détaché dans le cadre de cet atelier une équipe de six (06) membres pour répondre à toutes les préoccupations de la Côte d’Ivoire. Au cours de son allocution, le ministre des Eaux et Forêts, M. Nabo Clément, a relevé l’enjeu de cet atelier pour le pays, en ce sens qu’il marque un tournant décisif dans l’avenir des échanges commerciaux en matière de bois avec les pays de l’Union Européenne. Ce commerce, a-t-il précisé, représente environ 70% du bois exporté par la Côte d’Ivoire. Il a clos son propos, en souhaitant que les travaux puissent déboucher sur des recommandations qui soutiendront l’adhésion de la Côte d’Ivoire au processus FLEGT.
Olivier Guédé