La Côte d’Ivoire vit depuis ces treize dernières années, une série situation de difficile, marquée par des crises à répétition. Après le coup d’état survenu le 24 décembre 1999, qualifié de ‘’salutaire par le Fpi et son président Laurent Gbagbo’’, qui a emporté le Pdci-Rda du pouvoir et installé une junte dirigée par le Général Gueï Robert, et son Comité national de Salut Public (Cnsp), soutenu par des refondateurs et met un. Situation difficile pour les populations qui se retrouvent déboussolés, ne comprenant plus rien de la vie de leur pays. Des dérives sont observées de par et d’autre, ponctuées par des tueries et des assassinats de tous ordres. Pour mettre fin à ce désordre, orchestré par des éléments incontrôlés de ce Conseil, des élections sont organisées en 2000, qui se sont soldées par la victoire à l’arrachée de Gbagbo Laurent. Gueï Robert se réclamant vainqueur de ces élections, refuse de rendre le tablier, et Gbagbo Laurent rentre dans tous ses états. Une crise éclate durant plus d’une semaine, et fait plusieurs morts. Gbagbo prend les rênes malgré tout. Une autre crise déclenche en 2002. S’installe alors une rébellion et pour calmer les esprits, des consultations s’entreprennent pour trouver un consensus. De la capitale burkinabè en passant par Marcoussis, Kléber et autres Accra, Pretoria, rien ni fit pour trouver la juste mesure. Et à la demande persistante du Fpi, l’Onu s’engage à ouvrir une représentation sur le sol ivoirien. Malgré tout, les crimes économiques, les détournements de deniers publics, sont restés impunis, sans compter les exactions des escadrons de la mort, les tueries de la Fesci, les médias de l’opposition d’alors interdits de parution.
Le poids des autres partis politiques
Pour freiner la souffrance des Ivoiriens occasionnée par le pouvoir Fpi, la communauté internationale décide enfin d’organiser les élections avec l’accord de tous les partis politiques signataires. La Cei actionne son dispositif et les élections se tiennent. Celles-ci se soldent par la victoire d’Alassane Ouattara du Rdr avec le soutien considérable du Pdci et les autres poids politiques que sont, l’Udpci et le Mfa. Gbagbo Laurent battu, refuse le verdict des urnes. Il conteste les résultats malgré lui-même. Alors s’établit une autre crise avec l’entrée en scène des mercenaires et miliciens recrutés par le Fpi. Les tueries en cascade des militants, la chasse aux journalistes de l’opposition reprennent de plus belle, la psychose s’installe. Malgré les appels à l’ordre de la communauté internationale au Fpi Gbagbo Laurent et son clan continuaient leur sale besogne impunément. Ne supportant plus cette défiance, celle-ci prend ses responsabilités, aidée par des soldats ivoiriens, elle libère le pays des mains de ces tueurs sans foi ni loi, le 11 avril 2011. Une nouvelle vie commence, Alassane Ouattara est investi président de la République, les vraies Institutions s’installent, les investisseurs commencent à faire leur apparition, la Côte d’Ivoire redevient fréquentable, la communauté internationale lui affiche sa confiance et sa sérénité, malgré les petits soubresauts qu’elle connaît. Les grands chantiers sortent de terre avec le début des travaux de construction du pont Henri Konan Bédié, la reprise des travaux de l’Autoroute du Nord, la mise en chantier de l’Autoroute de Grand-Bassam, les chantiers de forage en eau potable de Bonoua et plusieurs autres initiatives en faveur de la Côte d’Ivoire. Le Fpi, ayant échoué sur tous les fronts voit d’un mauvais œil cette avancée positive du pouvoir en place. Alors des plans diaboliques sont orchestrés pour décourager les investisseurs.
La Côte d’Ivoire, un grand pays
Le Fpi qui ne veut pas démordre, veut coute que coute en découdre avec le pouvoir en place. A en croire les récents soubresauts, malheureux perpétrées contre le camp militaire d’Akouédo, le commissariat du 17ème arrondissement de Niangon, le corridor d’Aurymakoudjé à Agboville, le camp d’observation d’Abengourou, le corridor de Grand-Bassam, Touleupleu, Dabou, Grand-Lahou, les postes de sécurité de Jacqueville, et récemment Noé et autres rumeurs. Au juste, que veulent les Ivoiriens ? Quelles sont leur réelle aspiration pour leur pays ? Le fait de vouloir coute que coute renverser le pouvoir en place n’est pas un idéal. Les Ivoiriens doivent plutôt chercher à consolider leur acquis qui est la Côte d’Ivoire. Gbagbo Laurent a été battu aux différents scrutins de novembre et décembre, qui heureusement lui-même a reconnu sa défaite; mais malheureusement il va subir le courroux de certains caciques de son parti politique qui vont le contraindre à accepter l’inacceptable, jusqu’à l’irréparable. Il est pris et délogé de son bunker comme un vulgaire personnage, pour se retrouver dans les geôles de la Haye aujourd’hui. Comme à ses habitudes, le Fpi qui aime fantasmer a pris du temps pour se repositionner dans son jeu favori : le désordre.
Le Fpi doit protéger Gbagbo
Laurent Akoun et certains refondateurs continuent de rêver du retour de Koudou Gbagbo Laurent de la Haye. Ainsi, ils ont commencé à déborder dans leur sales besognes en constituant des groupes d’assaillants et de mercenaires acquis à leur cause pour semer le désordre et créer un climat de psychose généralisé. Es activistes ne veulent surtout pas démordre. Certaines personnes mal intentionnées continuent de donner dans des idées perverses. Traquer Alassane et le pouvoir en place jusqu’à ce que « ce régime tombe », est leur ambition. Mais attention l’adage dit que « qui rira le premier, rira le dernier ». Le président veille au grain. Les Ivoiriens conscients, qui aiment leur pays, doivent laisser le programme d’Alassane suivre son cours. Tous dans leur diversité ont souffert durant dix(10) sous la refondation qui n’a pu proposer un programme ambitieux et cohérent à la population ivoirienne. Rien que du vent. Pour tout dire, les militants du Fpi, où qu’ils se trouvent doivent observer un profil bas, au vu des tapages qu’ils engagent à travers le monde.
Des mouvements de protestations inutiles
Il est écrit noir sur blanc que Gbagbo sera jugé, et il le sera. Ces mouvements de protestation et de soutien n’affaibliront et ne fléchiront pas les autorités de la Cour Pénale Internationale (CPI), pour une quelconque libération de l’ex-président ivoirien. En clair, les refondateurs doivent protéger Gbagbo. Pendant que certains caciques du Fpi se la coulent douce dans leur lieu d’exil, Gbagbo Laurent, lui souffre terriblement du manque de la chaleur de la Côte d’Ivoire. Ils auraient dû le conseiller de suivre la voie de la sagesse en libérant le plancher pour revenir cinq ans plus tard, afin de le repositionner. Et ce retour lui auraient été profitable, car les Ivoiriens auront compris et jugé la gestion d’Alassane durant ses cinq ans de pouvoir. Le Rdr est au pouvoir et la fin de son mandat de cinq (5) c’est demain. Des frustrations, des mecontents, ont été observés durant ce quinquennat, à tous les niveaux, dans plusieurs cercles et il n’est pas dit que ces frustrés et oubliés pourront abdiquer pour le candidat sortant aux prochaines échéances électorales, ce qui est de bonne guerre, d’ailleurs. Et si tel est que le Fpi a une force de démonstration dans les urnes, il pourra renverser la tendance. Au lieu de créer des foyers de tension et des troubles à travers le pays pour semer le chao. L’exemple du Pdci en 2000, en est patent, où à l’absence du président Bédié en exil à cette époque, les militants de ce parti se sont réorganisés pour remettre sur les rails la force de frappe du parti sexagénaire. La vie d’un parti politique ne se limite pas à un individu. Aujourd’hui, des pontes du régime déchu sont incarcérés dans des prisons ivoiriennes et leur sort dépend de ce pouvoir. Une chose est de vouloir se faire les braves, mais une aussi est de savoir être brave et « aller plus vite que son ombre, serait suicidaire ». Personne n’a le monopôle de la violence sur cette terre des hommes. Où veulent-ils conduire la Côte d’Ivoire ?
Des fuites de capitaux
Les Ivoiriens doivent être fiers du redécollage économique qu’amorce le pays, et surtout comprendre que la violence ne peut déboucher sur un développement durable. Le Président Alassane Ouattara vient de démontrer qu’il n’épouse aucune haine contre ses concitoyens, à noter la réhabilitation des universités qui étaient tombées en désuétude, la première visite du Président de la Banque mondiale, sur le sol ivoirien, pour s’enquérir des réalisations financées par cette institution bancaire. Le Fpi doit reconnaitre au moins les efforts qu’entreprennent les nouvelles autorités en si peu de temps. Il faut noter que le redécollage de la Côte d’Ivoire fait grincer des dents de certains dirigeants de des pays de la sous-région, parce que leur économie prend un coup. Sous la crise militaro-politique, ces pays étaient devenus subitement des exportateurs de produits de premières richesses que sont le café et le cacao, suivis de fuites de capitaux, qui s’effectuaient à un rythme vertigineux vers les pays membres de la CEDEAO. Les Ivoiriens doivent comprendre qu’ils vivent une nouvelle ère de l’histoire de leur pays, d’où la nécessité d’une cohésion qui doit déboucher sur une démocratie qu’ils appellent de tout leur vœux.
Iris Fabiola Yaëlle
Le poids des autres partis politiques
Pour freiner la souffrance des Ivoiriens occasionnée par le pouvoir Fpi, la communauté internationale décide enfin d’organiser les élections avec l’accord de tous les partis politiques signataires. La Cei actionne son dispositif et les élections se tiennent. Celles-ci se soldent par la victoire d’Alassane Ouattara du Rdr avec le soutien considérable du Pdci et les autres poids politiques que sont, l’Udpci et le Mfa. Gbagbo Laurent battu, refuse le verdict des urnes. Il conteste les résultats malgré lui-même. Alors s’établit une autre crise avec l’entrée en scène des mercenaires et miliciens recrutés par le Fpi. Les tueries en cascade des militants, la chasse aux journalistes de l’opposition reprennent de plus belle, la psychose s’installe. Malgré les appels à l’ordre de la communauté internationale au Fpi Gbagbo Laurent et son clan continuaient leur sale besogne impunément. Ne supportant plus cette défiance, celle-ci prend ses responsabilités, aidée par des soldats ivoiriens, elle libère le pays des mains de ces tueurs sans foi ni loi, le 11 avril 2011. Une nouvelle vie commence, Alassane Ouattara est investi président de la République, les vraies Institutions s’installent, les investisseurs commencent à faire leur apparition, la Côte d’Ivoire redevient fréquentable, la communauté internationale lui affiche sa confiance et sa sérénité, malgré les petits soubresauts qu’elle connaît. Les grands chantiers sortent de terre avec le début des travaux de construction du pont Henri Konan Bédié, la reprise des travaux de l’Autoroute du Nord, la mise en chantier de l’Autoroute de Grand-Bassam, les chantiers de forage en eau potable de Bonoua et plusieurs autres initiatives en faveur de la Côte d’Ivoire. Le Fpi, ayant échoué sur tous les fronts voit d’un mauvais œil cette avancée positive du pouvoir en place. Alors des plans diaboliques sont orchestrés pour décourager les investisseurs.
La Côte d’Ivoire, un grand pays
Le Fpi qui ne veut pas démordre, veut coute que coute en découdre avec le pouvoir en place. A en croire les récents soubresauts, malheureux perpétrées contre le camp militaire d’Akouédo, le commissariat du 17ème arrondissement de Niangon, le corridor d’Aurymakoudjé à Agboville, le camp d’observation d’Abengourou, le corridor de Grand-Bassam, Touleupleu, Dabou, Grand-Lahou, les postes de sécurité de Jacqueville, et récemment Noé et autres rumeurs. Au juste, que veulent les Ivoiriens ? Quelles sont leur réelle aspiration pour leur pays ? Le fait de vouloir coute que coute renverser le pouvoir en place n’est pas un idéal. Les Ivoiriens doivent plutôt chercher à consolider leur acquis qui est la Côte d’Ivoire. Gbagbo Laurent a été battu aux différents scrutins de novembre et décembre, qui heureusement lui-même a reconnu sa défaite; mais malheureusement il va subir le courroux de certains caciques de son parti politique qui vont le contraindre à accepter l’inacceptable, jusqu’à l’irréparable. Il est pris et délogé de son bunker comme un vulgaire personnage, pour se retrouver dans les geôles de la Haye aujourd’hui. Comme à ses habitudes, le Fpi qui aime fantasmer a pris du temps pour se repositionner dans son jeu favori : le désordre.
Le Fpi doit protéger Gbagbo
Laurent Akoun et certains refondateurs continuent de rêver du retour de Koudou Gbagbo Laurent de la Haye. Ainsi, ils ont commencé à déborder dans leur sales besognes en constituant des groupes d’assaillants et de mercenaires acquis à leur cause pour semer le désordre et créer un climat de psychose généralisé. Es activistes ne veulent surtout pas démordre. Certaines personnes mal intentionnées continuent de donner dans des idées perverses. Traquer Alassane et le pouvoir en place jusqu’à ce que « ce régime tombe », est leur ambition. Mais attention l’adage dit que « qui rira le premier, rira le dernier ». Le président veille au grain. Les Ivoiriens conscients, qui aiment leur pays, doivent laisser le programme d’Alassane suivre son cours. Tous dans leur diversité ont souffert durant dix(10) sous la refondation qui n’a pu proposer un programme ambitieux et cohérent à la population ivoirienne. Rien que du vent. Pour tout dire, les militants du Fpi, où qu’ils se trouvent doivent observer un profil bas, au vu des tapages qu’ils engagent à travers le monde.
Des mouvements de protestations inutiles
Il est écrit noir sur blanc que Gbagbo sera jugé, et il le sera. Ces mouvements de protestation et de soutien n’affaibliront et ne fléchiront pas les autorités de la Cour Pénale Internationale (CPI), pour une quelconque libération de l’ex-président ivoirien. En clair, les refondateurs doivent protéger Gbagbo. Pendant que certains caciques du Fpi se la coulent douce dans leur lieu d’exil, Gbagbo Laurent, lui souffre terriblement du manque de la chaleur de la Côte d’Ivoire. Ils auraient dû le conseiller de suivre la voie de la sagesse en libérant le plancher pour revenir cinq ans plus tard, afin de le repositionner. Et ce retour lui auraient été profitable, car les Ivoiriens auront compris et jugé la gestion d’Alassane durant ses cinq ans de pouvoir. Le Rdr est au pouvoir et la fin de son mandat de cinq (5) c’est demain. Des frustrations, des mecontents, ont été observés durant ce quinquennat, à tous les niveaux, dans plusieurs cercles et il n’est pas dit que ces frustrés et oubliés pourront abdiquer pour le candidat sortant aux prochaines échéances électorales, ce qui est de bonne guerre, d’ailleurs. Et si tel est que le Fpi a une force de démonstration dans les urnes, il pourra renverser la tendance. Au lieu de créer des foyers de tension et des troubles à travers le pays pour semer le chao. L’exemple du Pdci en 2000, en est patent, où à l’absence du président Bédié en exil à cette époque, les militants de ce parti se sont réorganisés pour remettre sur les rails la force de frappe du parti sexagénaire. La vie d’un parti politique ne se limite pas à un individu. Aujourd’hui, des pontes du régime déchu sont incarcérés dans des prisons ivoiriennes et leur sort dépend de ce pouvoir. Une chose est de vouloir se faire les braves, mais une aussi est de savoir être brave et « aller plus vite que son ombre, serait suicidaire ». Personne n’a le monopôle de la violence sur cette terre des hommes. Où veulent-ils conduire la Côte d’Ivoire ?
Des fuites de capitaux
Les Ivoiriens doivent être fiers du redécollage économique qu’amorce le pays, et surtout comprendre que la violence ne peut déboucher sur un développement durable. Le Président Alassane Ouattara vient de démontrer qu’il n’épouse aucune haine contre ses concitoyens, à noter la réhabilitation des universités qui étaient tombées en désuétude, la première visite du Président de la Banque mondiale, sur le sol ivoirien, pour s’enquérir des réalisations financées par cette institution bancaire. Le Fpi doit reconnaitre au moins les efforts qu’entreprennent les nouvelles autorités en si peu de temps. Il faut noter que le redécollage de la Côte d’Ivoire fait grincer des dents de certains dirigeants de des pays de la sous-région, parce que leur économie prend un coup. Sous la crise militaro-politique, ces pays étaient devenus subitement des exportateurs de produits de premières richesses que sont le café et le cacao, suivis de fuites de capitaux, qui s’effectuaient à un rythme vertigineux vers les pays membres de la CEDEAO. Les Ivoiriens doivent comprendre qu’ils vivent une nouvelle ère de l’histoire de leur pays, d’où la nécessité d’une cohésion qui doit déboucher sur une démocratie qu’ils appellent de tout leur vœux.
Iris Fabiola Yaëlle