Le Collectif des victimes en Côte d’Ivoire (Cvci) interpelle les communautés nationale et internationale et les informent que les crimes allégués à l’encontre de Koné Katinan Justin, sont de la compétence de la Cour pénale internationale (Cpi) qui a été créée pour traduire en justice et punir les auteurs de crimes dont la gravité est jugée porter atteinte à l’ensemble de l’humanité.
Sont victimes devant la Cpi :
Catégorie 1 : Les individus (hommes, femmes, enfants),
Catégorie 2 : Les institutions et les organisations,
Parmi les crimes faisant l’objet d’enquêtes devant la Cpi, figurent les crimes de guerre : des actes prohibés commis dans le cadre d’une guerre ou d’un conflit interne armé, en particulier lorsqu’ils sont commis sur une grande échelle ou s’inscrivent dans le cadre d’un plan ou d’une politique, tels que des attaques contre des cibles civiles, le pillage, le fait de procéder à la conscription et à l’enrôlement des enfants et de les faire participer à des hostilités, et à la destruction d’établissements consacrés à l’enseignement ou à la religion.
Le Cvci assure la promotion et la défense des droits des victimes en Côte d’Ivoire et partout ailleurs dans le monde, fonde ses actions sur le principe de l’application des lois nationales et internationales, et lutte contre l’impunité.
En vertu de ses moyens d’action dont les investigations, les informations, déclarations et dénonciations, le Cvci estime que des indices graves et concordants confirment la compétence de la Cour pénale internationale à enquêter sur le cas de Koné Katinan Justin.
Le président
Issiaka Diaby
Sont victimes devant la Cpi :
Catégorie 1 : Les individus (hommes, femmes, enfants),
Catégorie 2 : Les institutions et les organisations,
Parmi les crimes faisant l’objet d’enquêtes devant la Cpi, figurent les crimes de guerre : des actes prohibés commis dans le cadre d’une guerre ou d’un conflit interne armé, en particulier lorsqu’ils sont commis sur une grande échelle ou s’inscrivent dans le cadre d’un plan ou d’une politique, tels que des attaques contre des cibles civiles, le pillage, le fait de procéder à la conscription et à l’enrôlement des enfants et de les faire participer à des hostilités, et à la destruction d’établissements consacrés à l’enseignement ou à la religion.
Le Cvci assure la promotion et la défense des droits des victimes en Côte d’Ivoire et partout ailleurs dans le monde, fonde ses actions sur le principe de l’application des lois nationales et internationales, et lutte contre l’impunité.
En vertu de ses moyens d’action dont les investigations, les informations, déclarations et dénonciations, le Cvci estime que des indices graves et concordants confirment la compétence de la Cour pénale internationale à enquêter sur le cas de Koné Katinan Justin.
Le président
Issiaka Diaby