Les anciens de l'Institut National Polytechnique Houphouët Boigny de Yamoussoukro se mettent à la disposition du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique pour repositionner cet institut au plan mondial. Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche Scientifique les a reçus à son cabinet pour une séance de travail, ce mardi 2 octobre 2012. A l’issue de la rencontre, il a été décidé de la mise en place d’un cadre d’échanges, avec un programme détaillé, pour une meilleure collaboration et du retour de l’ancienne appellation, ENSTP, pour l’école du génie civil. Un local sera mis à la disposition des anciens pour faire le travail de veille auprès de la direction générale, des enseignants et des étudiants.
« Monsieur le Ministre, vous avez entre les mains, l'avenir du pays, l'outil de la Côté d'Ivoire de demain. Nous sommes venus vous demander d'être vos partenaires pour faire de l'INPHB, et particulièrement de l'Ecole du Génie Civil, la meilleure qui puisse exister en Afrique » a soutenu le Gouverneur du District d’Abidjan, qui fut enseignant à l’Ecole Nationale Supérieur des Travaux Publics (ENSTP) et porte parole de la délégation. Et pour montrer leur engagement, les anciens de l’école du génie civil, constitué d’anciens directeurs, professeurs et étudiants, ont fait un diagnostic qu’ils ont partagé avec le Ministre CISSE Bacongo, et ensuite proposé des solutions.
En réponse, le Ministre CISSE Bacongo a dit toute sa gratitude à avoir les anciens à ses côtés. « Vous nous serez d’un grand apport, c’est un soutien lourd que vous représentez. Nous sommes dans de bonnes dispositions pour que la collaboration soit efficace et fructueuse » a-t-il affirmé à l’endroit des ses visiteurs du jour.
Au cours des échanges, le Gouverneur du District d’Abidjan, a fait un exposé sur le diagnostic de l’illustre institut de l’enseignement supérieur du pays et a présenté une série de solutions pour le repositionnement de l’école. En termes de solutions le porte parole des Ministres EZAN AKELE, TIAPANI KACOU, DESIRE GNONKONTE, YAPO CALICE et des Directeurs Généraux en fonction, a proposé la nomination d’un Président du Conseil d’Administration pour présider le groupe école, assisté de Directeurs Généraux pour les écoles de l’INPHB, car ceux-ci ont la fibre de l’école, le feeling, surtout qu’ils connaissent mieux l’évolution et les faiblesses du milieu. Du point de vue aspect pédagogique, ils proposent la création d’un troisième cycle pour y préparer le Doctoral-ingénieur. D’ailleurs, ils se disent prêts à remobiliser tous les enseignants à la retraite pour y apporter leurs expériences. Ce troisième cycle favorisera la recherche opérationnelle qui permettra d’optimiser nos capacités en matériaux de construction et capacités en méthode de construction. Ils demandent également, un audit des programmes d’enseignement, des équipements et des bâtiments qu’ils sont prêts à faire eux-mêmes. Pour eux, le repositionnement de l’INPHB passe par le renouement avec les grandes écoles des pays développés qui ont des programmes qui évoluent afin de partager les mêmes objectifs. le Ministre Cissé Bacongo a trouvé «les propositions que vous faites pourraient l’être pour toutes les autres écoles de l’INPHB. Les aspects pédagogiques relevés, les réflexions d’ordre stratégique sont justes et précises. »
Ces solutions ont été faites à la suite d’un diagnostic. Les anciens ont relevé qu’il y a dans la formation des étudiants des faiblesses à corriger. Une rupture d’avec les grandes écoles et laboratoires français, pourtant cette collaboration permettait d’être à la pointe de la formation des étudiants. Un déficit a été constaté dans le recrutement des enseignants. Aussi, ont-ils demandé l’appui du Ministre afin de préserver « l’esprit grande école » qui permet à l’étudiant d’être compétitif partout il sera sollicité.
Le Ministre CISSE Bacongo a répondu que « La cause première de ce qui est décrié, était un déficit de management qui a été résolu». A cet effet, il a invité les anciens qu’uni l’INPHB deviendra ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Il a d’ailleurs annoncé que les partenaires sont aux portes de cet établissement, avec l’apport du C2D qui allouera une enveloppe de plus de 14 milliards.
Une photo de famille a mis fin à la rencontre.
Le service de communication
« Monsieur le Ministre, vous avez entre les mains, l'avenir du pays, l'outil de la Côté d'Ivoire de demain. Nous sommes venus vous demander d'être vos partenaires pour faire de l'INPHB, et particulièrement de l'Ecole du Génie Civil, la meilleure qui puisse exister en Afrique » a soutenu le Gouverneur du District d’Abidjan, qui fut enseignant à l’Ecole Nationale Supérieur des Travaux Publics (ENSTP) et porte parole de la délégation. Et pour montrer leur engagement, les anciens de l’école du génie civil, constitué d’anciens directeurs, professeurs et étudiants, ont fait un diagnostic qu’ils ont partagé avec le Ministre CISSE Bacongo, et ensuite proposé des solutions.
En réponse, le Ministre CISSE Bacongo a dit toute sa gratitude à avoir les anciens à ses côtés. « Vous nous serez d’un grand apport, c’est un soutien lourd que vous représentez. Nous sommes dans de bonnes dispositions pour que la collaboration soit efficace et fructueuse » a-t-il affirmé à l’endroit des ses visiteurs du jour.
Au cours des échanges, le Gouverneur du District d’Abidjan, a fait un exposé sur le diagnostic de l’illustre institut de l’enseignement supérieur du pays et a présenté une série de solutions pour le repositionnement de l’école. En termes de solutions le porte parole des Ministres EZAN AKELE, TIAPANI KACOU, DESIRE GNONKONTE, YAPO CALICE et des Directeurs Généraux en fonction, a proposé la nomination d’un Président du Conseil d’Administration pour présider le groupe école, assisté de Directeurs Généraux pour les écoles de l’INPHB, car ceux-ci ont la fibre de l’école, le feeling, surtout qu’ils connaissent mieux l’évolution et les faiblesses du milieu. Du point de vue aspect pédagogique, ils proposent la création d’un troisième cycle pour y préparer le Doctoral-ingénieur. D’ailleurs, ils se disent prêts à remobiliser tous les enseignants à la retraite pour y apporter leurs expériences. Ce troisième cycle favorisera la recherche opérationnelle qui permettra d’optimiser nos capacités en matériaux de construction et capacités en méthode de construction. Ils demandent également, un audit des programmes d’enseignement, des équipements et des bâtiments qu’ils sont prêts à faire eux-mêmes. Pour eux, le repositionnement de l’INPHB passe par le renouement avec les grandes écoles des pays développés qui ont des programmes qui évoluent afin de partager les mêmes objectifs. le Ministre Cissé Bacongo a trouvé «les propositions que vous faites pourraient l’être pour toutes les autres écoles de l’INPHB. Les aspects pédagogiques relevés, les réflexions d’ordre stratégique sont justes et précises. »
Ces solutions ont été faites à la suite d’un diagnostic. Les anciens ont relevé qu’il y a dans la formation des étudiants des faiblesses à corriger. Une rupture d’avec les grandes écoles et laboratoires français, pourtant cette collaboration permettait d’être à la pointe de la formation des étudiants. Un déficit a été constaté dans le recrutement des enseignants. Aussi, ont-ils demandé l’appui du Ministre afin de préserver « l’esprit grande école » qui permet à l’étudiant d’être compétitif partout il sera sollicité.
Le Ministre CISSE Bacongo a répondu que « La cause première de ce qui est décrié, était un déficit de management qui a été résolu». A cet effet, il a invité les anciens qu’uni l’INPHB deviendra ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Il a d’ailleurs annoncé que les partenaires sont aux portes de cet établissement, avec l’apport du C2D qui allouera une enveloppe de plus de 14 milliards.
Une photo de famille a mis fin à la rencontre.
Le service de communication
