Le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication (PTIC), Koné Bruno, était face à la presse le vendredi 5 octobre 2012 à l’hôtel Pullman au Plateau. Faire le bilan des réalisations de son ministère et dégager des perspectives, telles étaient les motivations de cette rencontre.
Depuis le 1er juin 2011, Koné Bruno est à la tête du département des TIC. Pour le ministre, le bilan est plus que satisfaisant. ‘’ En un an, nous avons comblé un retard de 10 ans sur beaucoup de pays africains’’, se réjouit-il. Il faut que la Côte d’Ivoire soit parmi les premiers en Afrique en matière des TIC, a poursuivi le ministre. Et les TIC qui constituent un important pilier de l’économie ivoirienne, au moins 6 % de contribution directe au PIB, doivent être un pilier de la vision du chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Car l’apport des TIC dans la vie des Ivoiriens est visible et indéniable. Les chantiers menés par le ministère au cours de ces mois se déclinent en l’élaboration d’un nouveau texte de loi (ordonnance sur les télécommunications de mars 2012). Du passage à la téléphonie 3G (haut débit internet sur mobile). La construction du réseau national en fibre optique, long de 6000 km dont le financement est acquis depuis 2008 à hauteur de 90 millions de dollars, environ 45 milliards FCFA, ajoute Koné Bruno. Le ministre s’est penché sur la gouvernance électronique, notamment l’intranet gouvernemental qui interconnecte la présidence de la République, le secrétariat général du Gouvernement et 30 ministères pour l’heure. Le responsable des TIC s’est appesanti sur les projets sectoriels de la gouvernance électronique au niveau de l’éducation, la santé, l’agriculture, les transports… Autre chantier évoqué, l’identification des abonnés au téléphone mobile et à l’internet. La création d’une école supérieure de formation des TIC (ESATIC) a également été évoquée par Koné Bruno qui a soutenu que cette école répond aux besoins d’accompagner le développement du secteur avec des ressources humaines de qualité et en nombre suffisant. Le ministre de la PTIC a, en outre, parlé de la restructuration de la poste ivoirienne dont le redressement est soumis à l’approbation du Gouvernement. En termes de perspectives, Koné Bruno a marqué la volonté du Gouvernement de vulgariser davantage les TIC par un programme d’acquisition de terminaux pour les populations. Cela au profit de villages dans les régions les plus reculées (3000 villages concernés). Sans oublier la migration audiovisuelle de l’analogique vers le numérique.
FO
Depuis le 1er juin 2011, Koné Bruno est à la tête du département des TIC. Pour le ministre, le bilan est plus que satisfaisant. ‘’ En un an, nous avons comblé un retard de 10 ans sur beaucoup de pays africains’’, se réjouit-il. Il faut que la Côte d’Ivoire soit parmi les premiers en Afrique en matière des TIC, a poursuivi le ministre. Et les TIC qui constituent un important pilier de l’économie ivoirienne, au moins 6 % de contribution directe au PIB, doivent être un pilier de la vision du chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020. Car l’apport des TIC dans la vie des Ivoiriens est visible et indéniable. Les chantiers menés par le ministère au cours de ces mois se déclinent en l’élaboration d’un nouveau texte de loi (ordonnance sur les télécommunications de mars 2012). Du passage à la téléphonie 3G (haut débit internet sur mobile). La construction du réseau national en fibre optique, long de 6000 km dont le financement est acquis depuis 2008 à hauteur de 90 millions de dollars, environ 45 milliards FCFA, ajoute Koné Bruno. Le ministre s’est penché sur la gouvernance électronique, notamment l’intranet gouvernemental qui interconnecte la présidence de la République, le secrétariat général du Gouvernement et 30 ministères pour l’heure. Le responsable des TIC s’est appesanti sur les projets sectoriels de la gouvernance électronique au niveau de l’éducation, la santé, l’agriculture, les transports… Autre chantier évoqué, l’identification des abonnés au téléphone mobile et à l’internet. La création d’une école supérieure de formation des TIC (ESATIC) a également été évoquée par Koné Bruno qui a soutenu que cette école répond aux besoins d’accompagner le développement du secteur avec des ressources humaines de qualité et en nombre suffisant. Le ministre de la PTIC a, en outre, parlé de la restructuration de la poste ivoirienne dont le redressement est soumis à l’approbation du Gouvernement. En termes de perspectives, Koné Bruno a marqué la volonté du Gouvernement de vulgariser davantage les TIC par un programme d’acquisition de terminaux pour les populations. Cela au profit de villages dans les régions les plus reculées (3000 villages concernés). Sans oublier la migration audiovisuelle de l’analogique vers le numérique.
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