ABIDJAN, Le bilan de la lutte du gouvernement contre la vie chère en Côte d'Ivoire est "globalement positif" même si des "efforts restent encore à faire", estime le ministre ivoirien du Commerce, Dagobert Banzio.
"Globalement, le bilan est positif, nos protocoles sont respectés", a déclaré Dagobert Banzio face à la presse lundi.
En juillet, le gouvernement avait pris des mesures face à la flambée des prix des produits de première nécessité avec notamment, des mesures visant à la réduction des "faux frais", la signature de protocoles d'accords avec les acteurs des différentes filières (riz, sucre, bétail, entre autres) pour une baisse des coûts.
Il avait également rappelé aux commerçants l'obligation d'afficher leurs prix faute d'être amendés.
Pour le ministre du Commerce, toutes ces actions ont permis de diminuer la fraude et d'avoir des informations sur le marché.
Ces mesures "importantes et nombreuses" n'ont pas été "prises en l'air", souligne Dagobert Banzio qui indique que pour le riz de grande consommation, "le protocole est respecté à 100%" contre "86% de taux de respect" pour le riz semi-luxe.
Concernant le sucre, le ministre reconnaît que les prix restent "assez élevés" malgré une négociation à la baisse.
La lutte contre la fraude va s'intensifier et les mesures fiscales et parafiscales vont se renforcer, a-t-il affirmé rappelant que les contrevenants à l'affichage des prix s'expose à des sanctions financières allant de 100 000 à 1 800 000 francs CFA.
Après la phase sensibilisation sur l'opération d'affichage des prix, 361 procès-verbaux ont été adressés à des opérateurs dans le cadre de la phase de répression.
"Globalement, le bilan est positif, nos protocoles sont respectés", a déclaré Dagobert Banzio face à la presse lundi.
En juillet, le gouvernement avait pris des mesures face à la flambée des prix des produits de première nécessité avec notamment, des mesures visant à la réduction des "faux frais", la signature de protocoles d'accords avec les acteurs des différentes filières (riz, sucre, bétail, entre autres) pour une baisse des coûts.
Il avait également rappelé aux commerçants l'obligation d'afficher leurs prix faute d'être amendés.
Pour le ministre du Commerce, toutes ces actions ont permis de diminuer la fraude et d'avoir des informations sur le marché.
Ces mesures "importantes et nombreuses" n'ont pas été "prises en l'air", souligne Dagobert Banzio qui indique que pour le riz de grande consommation, "le protocole est respecté à 100%" contre "86% de taux de respect" pour le riz semi-luxe.
Concernant le sucre, le ministre reconnaît que les prix restent "assez élevés" malgré une négociation à la baisse.
La lutte contre la fraude va s'intensifier et les mesures fiscales et parafiscales vont se renforcer, a-t-il affirmé rappelant que les contrevenants à l'affichage des prix s'expose à des sanctions financières allant de 100 000 à 1 800 000 francs CFA.
Après la phase sensibilisation sur l'opération d'affichage des prix, 361 procès-verbaux ont été adressés à des opérateurs dans le cadre de la phase de répression.