Grâce au don de la banque mondiale, le Projet emploi jeunes et développement des compétences (PEJEDEC) s’est engagé à réduire le taux de chômage en Côte d’Ivoire. Ce sont 747 jeunes qui au terme du projet bénéficieront de formation au Centre des métiers de l’électricité de Bingerville. Pour matérialiser ce partenariat, une convention a été signée entre le PEJEDEC et la CIE dans le but d’assurer la formation de ces jeunes dont l’âge varie entre 18 à 30 ans.
Les domaines de formation sont l’électricité de branchement (BTA), le contrôle d’études et suivi des travaux électriques, l’électricité d’une petite unité industrielle et la Technique de soudure. Pour le directeur de la CIE, Kakou Dominique, sa structure est déterminée à accompagner le président de la République, dans sa mission de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. « C’est pourquoi, la CIE n’a pas hésité un seul instant à prendre part au PEJEDEC dont la finalité est d’améliorer l’accès des jeunes ivoiriens à l’emploi, en leur offrant l’opportunité d’une première expérience professionnelle et/ou d’une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché », a-t-il dit.
Cette formation va s’étendre sur trois ans, avec à la clé, une initiation à la gestion d’une micro-entreprise pour tous les apprenants. A l’issue de la formation, les bénéficiaires seront capables de lire et d’utiliser un schéma électrique, de réaliser correctement les branchements BTA dans les règles de l’art et selon les règles de sécurité, de Comprendre et d’appliquer correctement les spécifications techniques, les normes, les schémas électriques issus ou non d’un cahier de charges, de Conduire efficacement le suivi, le contrôle et la réception des travaux sur les réseaux BTA. Ils pourront de même réaliser un système d’alimentation, de commande et de protection électrique d’un moteur selon les prescriptions en la matière et de le faire fonctionner à partir du système d’alimentation.
M. Bamba Adama, coordonateur du PEJEDEC a souligné que l’objectif de ce projet est d’offrir des stages à 2250 jeunes, de mettre en apprentissage 3000, de former 5000 aux métiers et professions qui répondent aux besoins du secteur privé, d’offrir des emplois temporaires à 12 500 à travers les travaux à haute intensité de main-d’œuvre (THIMO).
EN
Les domaines de formation sont l’électricité de branchement (BTA), le contrôle d’études et suivi des travaux électriques, l’électricité d’une petite unité industrielle et la Technique de soudure. Pour le directeur de la CIE, Kakou Dominique, sa structure est déterminée à accompagner le président de la République, dans sa mission de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent à l’horizon 2020. « C’est pourquoi, la CIE n’a pas hésité un seul instant à prendre part au PEJEDEC dont la finalité est d’améliorer l’accès des jeunes ivoiriens à l’emploi, en leur offrant l’opportunité d’une première expérience professionnelle et/ou d’une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché », a-t-il dit.
Cette formation va s’étendre sur trois ans, avec à la clé, une initiation à la gestion d’une micro-entreprise pour tous les apprenants. A l’issue de la formation, les bénéficiaires seront capables de lire et d’utiliser un schéma électrique, de réaliser correctement les branchements BTA dans les règles de l’art et selon les règles de sécurité, de Comprendre et d’appliquer correctement les spécifications techniques, les normes, les schémas électriques issus ou non d’un cahier de charges, de Conduire efficacement le suivi, le contrôle et la réception des travaux sur les réseaux BTA. Ils pourront de même réaliser un système d’alimentation, de commande et de protection électrique d’un moteur selon les prescriptions en la matière et de le faire fonctionner à partir du système d’alimentation.
M. Bamba Adama, coordonateur du PEJEDEC a souligné que l’objectif de ce projet est d’offrir des stages à 2250 jeunes, de mettre en apprentissage 3000, de former 5000 aux métiers et professions qui répondent aux besoins du secteur privé, d’offrir des emplois temporaires à 12 500 à travers les travaux à haute intensité de main-d’œuvre (THIMO).
EN
