Les pasteurs des églises évangéliques de Yopougon avaient rendez-vous avec la Commission nationale de leur communauté, pour faire le point de l’opération d’identification. Une occasion pour le premier responsable de cette Commission de donner les raisons de cette opération.
Estimés à plus 5000 dont 1.500 présidents fondateurs qui exercent et dirigent des églises allant de 50 à 3.000 membres, les pasteurs des églises évangéliques, résidant dans la commune de Yopougon, ont été instruits sur la nécessité de l’identification entreprise par la Commission nationale des églises évangéliques de Côte d’Ivoire. Ce, avec l’accord de la Direction générale des Cultes. Le 10 octobre, à la salle polyvalente du Lycée Offoumou Yapo de Yopougon, le premier responsable de cette structure, le Bishop Kassi d’Azito, leur a expliqué le sens de cette opération. Selon lui, «l’identification permettra à chaque pasteur de disposer, d’une part de sa carte pour être respectée, et d’autre part, de bénéficier du programme de financement qui touchera 1.000 pasteurs, avant 2013 ». Puisque, «le problème de l’église reste la pauvreté». Raison pour laquelle, il estime que «si nous devenons avec nos églises des moteurs économiques, le monde nous respectera». Par ailleurs, il a confié aux hommes de Dieu présents à cette cérémonie que son combat n’est pas de diriger l’église, mais de la servir.
Parce que, soutient-il, beaucoup de personnes se sont servies de l’église : «l’Eglise n’a pas besoin de patron, mais d’un homme qui possède une vision et qui respecte même le pasteur qui a seulement dix fidèles. Le temps de faire du Palais présidentiel notre chapelle et d’aller prendre l’argent au nom des pasteurs est terminé. Chacun doit vivre par la foi et nous devons entreprendre pour rendre nos fidèles riches, car l’argent répond à tout», a-t-il révélé. Le Bishop Kassi a aussi indiqué que sa vision est de voir l’église protestante évangélique de Côte d’Ivoire devenir la capitale mondiale du réveil spirituel et de l’évangile. C’est pourquoi, pour lui, «il est anormal que la francophonie soit absente de toutes les grandes conventions mondiales». Motivés et déterminés, les pasteurs se sont rués sur les fiches d’identification pour se faire recenser, afin de bénéficier de la Carte d’Identité pastorale. Comme un seul homme, ils ont témoigné leur volonté d’aider le Bishop Kassi à réussir sa mission.
J. CESAR
Estimés à plus 5000 dont 1.500 présidents fondateurs qui exercent et dirigent des églises allant de 50 à 3.000 membres, les pasteurs des églises évangéliques, résidant dans la commune de Yopougon, ont été instruits sur la nécessité de l’identification entreprise par la Commission nationale des églises évangéliques de Côte d’Ivoire. Ce, avec l’accord de la Direction générale des Cultes. Le 10 octobre, à la salle polyvalente du Lycée Offoumou Yapo de Yopougon, le premier responsable de cette structure, le Bishop Kassi d’Azito, leur a expliqué le sens de cette opération. Selon lui, «l’identification permettra à chaque pasteur de disposer, d’une part de sa carte pour être respectée, et d’autre part, de bénéficier du programme de financement qui touchera 1.000 pasteurs, avant 2013 ». Puisque, «le problème de l’église reste la pauvreté». Raison pour laquelle, il estime que «si nous devenons avec nos églises des moteurs économiques, le monde nous respectera». Par ailleurs, il a confié aux hommes de Dieu présents à cette cérémonie que son combat n’est pas de diriger l’église, mais de la servir.
Parce que, soutient-il, beaucoup de personnes se sont servies de l’église : «l’Eglise n’a pas besoin de patron, mais d’un homme qui possède une vision et qui respecte même le pasteur qui a seulement dix fidèles. Le temps de faire du Palais présidentiel notre chapelle et d’aller prendre l’argent au nom des pasteurs est terminé. Chacun doit vivre par la foi et nous devons entreprendre pour rendre nos fidèles riches, car l’argent répond à tout», a-t-il révélé. Le Bishop Kassi a aussi indiqué que sa vision est de voir l’église protestante évangélique de Côte d’Ivoire devenir la capitale mondiale du réveil spirituel et de l’évangile. C’est pourquoi, pour lui, «il est anormal que la francophonie soit absente de toutes les grandes conventions mondiales». Motivés et déterminés, les pasteurs se sont rués sur les fiches d’identification pour se faire recenser, afin de bénéficier de la Carte d’Identité pastorale. Comme un seul homme, ils ont témoigné leur volonté d’aider le Bishop Kassi à réussir sa mission.
J. CESAR