“La Côte d’Ivoire, à travers ma voix, salue et remercie les autorités de la RDC pour leur fraternel accueil et l’excellente organisation des assises de ce présent Sommet.Elle salue la grande famille de la Francophonie et s’honore de participer à ce 14ème sommet, le premier auquel un Chef d’Etat ivoirien va prendre part après plus de dix (10) ans d’absence. C’est dire toute la joie et tout le bonheur qu’éprouvent la Côte d’Ivoire et son Président, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, de retrouver la grande famille de la Francophonie.
La Côte d’Ivoire appuie et soutient le projet de Déclaration de Kinshasa en ce qu’elle est équilibrée et prend en compte les préoccupations de notre organisation.
La Déclaration renforce les engagements de nos Etats sur les enjeux de l’heure : environnementaux, économiques, bonne gouvernance, droits de l’Homme, promotion de la langue française, éducation et diversité culturelle, etc.
La Côte d’Ivoire est un pays francophone et francophile, et veut assumer toute sa francophonie et toute sa francophilie.
La Côte d’Ivoire voudrait toutefois regretter que la Déclaration ne mette pas un accent sur le genre dans la Gouvernance.
La Côte d’Ivoire, pays sorti de crise, a pu voir et apprécier l’action des femmes : cadres, intellectuelles, analphabètes ou paysannes dans la lutte pour la démocratie, les élections transparentes et la paix.
Aussi, le Président de la République, Monsieur Alassane Ouattara, tient-il à voir la promotion du genre, avec au moins 30% des femmes aux plus hautes fonctions dans l’administration et dans les Institutions de la République.
Cet engagement étant partagé par l’ensemble des pays membres de la Francophonie, avec la France qui a donné l’exemple de la parité parfaite dans la formation de son gouvernement, il serait souhaitable que la Déclaration de Kinshasa mentionne un paragraphe sur la Francophonie et la Femme dans la gouvernance.
Par ailleurs, Monsieur le Président, qu’il me soit permis, relativement à la Déclaration sur le Mali, de suggérer une phrase pour saluer les efforts fournis par les acteurs régionaux, notamment la CEDEAO dont les actions menées conjointement par le Président Alassane Ouattara, Président de la CEDEAO, et le Président Blaise Compaoré, Médiateur dans la crise malienne, laissent espérer une sortie de crise prochaine au Mali, par le dialogue ou par la force.
Nous voudrions terminer en soulignant que mon pays souhaite avoir l’appui de tous pour accueillir les XVIII èmes Jeux de la Francophonie en 2017, et abriter en 2013 notre prochaine Conférence Ministérielle de la Francophonie.
Je vous remercie’’.
La Côte d’Ivoire appuie et soutient le projet de Déclaration de Kinshasa en ce qu’elle est équilibrée et prend en compte les préoccupations de notre organisation.
La Déclaration renforce les engagements de nos Etats sur les enjeux de l’heure : environnementaux, économiques, bonne gouvernance, droits de l’Homme, promotion de la langue française, éducation et diversité culturelle, etc.
La Côte d’Ivoire est un pays francophone et francophile, et veut assumer toute sa francophonie et toute sa francophilie.
La Côte d’Ivoire voudrait toutefois regretter que la Déclaration ne mette pas un accent sur le genre dans la Gouvernance.
La Côte d’Ivoire, pays sorti de crise, a pu voir et apprécier l’action des femmes : cadres, intellectuelles, analphabètes ou paysannes dans la lutte pour la démocratie, les élections transparentes et la paix.
Aussi, le Président de la République, Monsieur Alassane Ouattara, tient-il à voir la promotion du genre, avec au moins 30% des femmes aux plus hautes fonctions dans l’administration et dans les Institutions de la République.
Cet engagement étant partagé par l’ensemble des pays membres de la Francophonie, avec la France qui a donné l’exemple de la parité parfaite dans la formation de son gouvernement, il serait souhaitable que la Déclaration de Kinshasa mentionne un paragraphe sur la Francophonie et la Femme dans la gouvernance.
Par ailleurs, Monsieur le Président, qu’il me soit permis, relativement à la Déclaration sur le Mali, de suggérer une phrase pour saluer les efforts fournis par les acteurs régionaux, notamment la CEDEAO dont les actions menées conjointement par le Président Alassane Ouattara, Président de la CEDEAO, et le Président Blaise Compaoré, Médiateur dans la crise malienne, laissent espérer une sortie de crise prochaine au Mali, par le dialogue ou par la force.
Nous voudrions terminer en soulignant que mon pays souhaite avoir l’appui de tous pour accueillir les XVIII èmes Jeux de la Francophonie en 2017, et abriter en 2013 notre prochaine Conférence Ministérielle de la Francophonie.
Je vous remercie’’.