Abidjan - La ville de Conakry, en Guinée, abritera mardi et mercredi, un séminaire régional consacré à la lutte contre le trafic de cocaïne en Afrique de l’ouest.
A l’initiative des gouvernements de Guinée et de France, ce séminaire marque officiellement le lancement du programme d’appui à la lutte contre le trafic de cocaïne en Afrique de l’ouest (ALCAO), mis en place pour faire face à la menace de la cocaïne dans le monde.
En effet, souligne-t-on, le trafic de drogue a pris une importance inquiétante en Afrique de l’ouest où entre 20 et 40 T de cocaïne transitent chaque année. Pour aider à répondre à cette menace, le ministère français des Affaires étrangères a mis en place l’ALCAO.
Doté d’un budget de 1,6 million d’euros (environ 1,05 milliard de FCFA), ALCAO est financé par le Fonds de solidarité prioritaire du ministère français des Affaires étrangères, selon un communiqué officiel.
Il apporte un soutien à sept pays ouest-africains, à savoir le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et le Togo, en vue d’actions dans les domaines de la justice, des douanes et de la sécurité intérieure.
ALCAO prévoit d’appuyer la création de structures de lutte contre le blanchiment, de saisie des avoirs criminels et de gestion des biens confisqués.
Il vise aussi à renforcer les capacités des services d’enquête et à soutenir la coopération régionale et internationale contre le trafic de drogue.
Le séminaire de Conakry réunit des représentants du groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest, de l’office des Nations unies contre la drogue et le crime, de la mission interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie, ainsi que l’organisme de lutte contre le blanchiment.
Il sera présidé par le ministre délégué à la sécurité de Guinée, M. Maramany Cissé, en présence du directeur de la Coopération de sécurité et de défense au ministère des Affaires étrangères, le général de corps d’armée Bruno Clément-Bollée.
A l’initiative des gouvernements de Guinée et de France, ce séminaire marque officiellement le lancement du programme d’appui à la lutte contre le trafic de cocaïne en Afrique de l’ouest (ALCAO), mis en place pour faire face à la menace de la cocaïne dans le monde.
En effet, souligne-t-on, le trafic de drogue a pris une importance inquiétante en Afrique de l’ouest où entre 20 et 40 T de cocaïne transitent chaque année. Pour aider à répondre à cette menace, le ministère français des Affaires étrangères a mis en place l’ALCAO.
Doté d’un budget de 1,6 million d’euros (environ 1,05 milliard de FCFA), ALCAO est financé par le Fonds de solidarité prioritaire du ministère français des Affaires étrangères, selon un communiqué officiel.
Il apporte un soutien à sept pays ouest-africains, à savoir le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et le Togo, en vue d’actions dans les domaines de la justice, des douanes et de la sécurité intérieure.
ALCAO prévoit d’appuyer la création de structures de lutte contre le blanchiment, de saisie des avoirs criminels et de gestion des biens confisqués.
Il vise aussi à renforcer les capacités des services d’enquête et à soutenir la coopération régionale et internationale contre le trafic de drogue.
Le séminaire de Conakry réunit des représentants du groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’ouest, de l’office des Nations unies contre la drogue et le crime, de la mission interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie, ainsi que l’organisme de lutte contre le blanchiment.
Il sera présidé par le ministre délégué à la sécurité de Guinée, M. Maramany Cissé, en présence du directeur de la Coopération de sécurité et de défense au ministère des Affaires étrangères, le général de corps d’armée Bruno Clément-Bollée.