Abidjan et Ouagadougou unissent leurs forces pour juguler la lutte contre la traite transfrontalière des enfants. Hier, mercredi, Mme Dominique Ouattara, Première de Côte d’Ivoire et son homologue Burkinabé, Mme Chantal Compaoré ont présidé une réunion d’experts des deux pays respectifs à la salle de conférences de Ouaga 2000. L’honneur est revenu à la Côte d’Ivoire à travers Mme Sandrine Kraidy (ministère de la Famille, de la Femme et de l’enfant) de présenter, sous les regards vigilants de Dr Raymonde Goudou Coffie (ministre ivoirien de la Famille, de la Femme et de l’Enfant) et de Mme Clémence Traoré Somé (ministre burkinabé de l’Action sociale et de la Solidarité nationale), le projet d’accord de coopération qui sera bientôt paraphé en terre ivoirienne.
La Première Dame du Burkina a dit sa détermination à faire reculer le phénomène de la traite transfrontalière des enfants. Pour elle, l’élimination de cette problématique est un grand défi pour les pouvoirs publics. C’est pourquoi, elle a demandé la contribution de tous les partenaires nationaux et internationaux pour mettre fin à ce «trafic mafieux».
Pour sa part, la Première Dame ivoirienne a rendu un hommage à sa «sœur Chantal» pour ses nombreuses actions posées en faveur des enfants en difficultés au pays des hommes intègres. Avant d’ajouter que «ce protocole d’accord pourra nous permettre de mener des actions concrètes afin d’appréhender les trafiquants d’enfants, de sauver des enfants victimes et éventuellement les retourner en toute sécurité dans leurs familles». Mme Ouattar a surtout rassuré que «nos engagements respectifs pourront faire pencher la balance pour que la traite des enfants, puisse régresser de nos frontières». Les deux Premières Dames ont par la suite signé une déclaration conjointe sanctionnant cette rencontre. C’est la ministre de l’Action sociale et de la Solidarité nationale du gouvernement burkinabé, Clémence Traoré Somé qui a lu la déclaration conjointe.
Mme Chantal Compaoré a offert un déjeuner en l’honneur de la délégation ivoirienne avant de la raccompagner à l’aéroport de Ouagadougou.
E.K
(Source Dircom,
Cabinet 1ère Première Dame)
La Première Dame du Burkina a dit sa détermination à faire reculer le phénomène de la traite transfrontalière des enfants. Pour elle, l’élimination de cette problématique est un grand défi pour les pouvoirs publics. C’est pourquoi, elle a demandé la contribution de tous les partenaires nationaux et internationaux pour mettre fin à ce «trafic mafieux».
Pour sa part, la Première Dame ivoirienne a rendu un hommage à sa «sœur Chantal» pour ses nombreuses actions posées en faveur des enfants en difficultés au pays des hommes intègres. Avant d’ajouter que «ce protocole d’accord pourra nous permettre de mener des actions concrètes afin d’appréhender les trafiquants d’enfants, de sauver des enfants victimes et éventuellement les retourner en toute sécurité dans leurs familles». Mme Ouattar a surtout rassuré que «nos engagements respectifs pourront faire pencher la balance pour que la traite des enfants, puisse régresser de nos frontières». Les deux Premières Dames ont par la suite signé une déclaration conjointe sanctionnant cette rencontre. C’est la ministre de l’Action sociale et de la Solidarité nationale du gouvernement burkinabé, Clémence Traoré Somé qui a lu la déclaration conjointe.
Mme Chantal Compaoré a offert un déjeuner en l’honneur de la délégation ivoirienne avant de la raccompagner à l’aéroport de Ouagadougou.
E.K
(Source Dircom,
Cabinet 1ère Première Dame)