Samuel Osei Kufuor, ancien international ghanéen
« On parle du groupe D mais je pense que le C est plus costaud. La Zambie championne en titre est attendue au tournant. Le Nigéria revient avec une belle formation et il sera très difficile de le battre. Le Burkina Faso progresse et a de très bons joueurs. L’Ethiopie pour avoir fait un si beau retournement de situation en éliminatoires ne peut pas être négligée. Pour moi c’est le groupe le plus difficile ».
Claude Leroy, sélectionneur de la RD Congo
«Nous sommes dans une poule compliquée avec les deux demi-finalistes de la dernière CAN : le Ghana et le Mali. Le Ghana est quart de finaliste du Mondial 2010 et éternel prétendant au titre continental. Aussi, le Mali qui a fini troisième avec une grosse équipe. Donc, il y aura deux outsiders, nous et le Niger, et deux favoris. C’est à nous de déjouer les pronostics pour passer le second tour».
Marcel Desailly, Ghanéen d’origine et consultant Canal+
«Non, je ne pense pas que ce groupe 4 est celui de la mort comme vous le dites. Il y a d’autres groupes, comme celui de l’Afrique du Sud ou même du Ghana, qui demeurent aussi relevés et difficiles. Je crois que la Côte d’Ivoire sort du lot dans ce groupe et reste incontestablement la favorite. Après, pour le deuxième ticket qualificatif, ça se jouera entre les trois autres sélections. Pour battre cette équipe ivoirienne, il faudra pour l’Algérie et la Tunisie d’élever leur niveau de jeu, évidemment mais aussi et surtout répondre au tac au tac au défi physique. Il faudra qu’ils sortent un grand match au niveau de l’impact physique pour espérer faire quelque chose et s’imposer».
Lucas Radebe, champion d’Afrique 1996 avec l’Afrique du Sud
« La tâche sera colossale. Il y a beaucoup d’attente dans le pays mais je ne crois pas que nous puissions l’emporter. Les gens repensent à notre succès de 1996 mais les temps ont changé. Je pense que l’objectif le plus raisonnable soit de passer le premier tour. Actuellement, on entend beaucoup de critiques. Passe pour maintenant mais pendant la compétition les Sud-Africains devront être comme un seul homme derrière leur équipe. Il faudra beaucoup d’engagement de la part des joueurs, de sacrifices aussi. Le football africain a beaucoup évolué. Tout le monde doit se méfier de tout le monde. Regardez, l’Egypte et le Cameroun n’ont pas pu se qualifier ».
« On parle du groupe D mais je pense que le C est plus costaud. La Zambie championne en titre est attendue au tournant. Le Nigéria revient avec une belle formation et il sera très difficile de le battre. Le Burkina Faso progresse et a de très bons joueurs. L’Ethiopie pour avoir fait un si beau retournement de situation en éliminatoires ne peut pas être négligée. Pour moi c’est le groupe le plus difficile ».
Claude Leroy, sélectionneur de la RD Congo
«Nous sommes dans une poule compliquée avec les deux demi-finalistes de la dernière CAN : le Ghana et le Mali. Le Ghana est quart de finaliste du Mondial 2010 et éternel prétendant au titre continental. Aussi, le Mali qui a fini troisième avec une grosse équipe. Donc, il y aura deux outsiders, nous et le Niger, et deux favoris. C’est à nous de déjouer les pronostics pour passer le second tour».
Marcel Desailly, Ghanéen d’origine et consultant Canal+
«Non, je ne pense pas que ce groupe 4 est celui de la mort comme vous le dites. Il y a d’autres groupes, comme celui de l’Afrique du Sud ou même du Ghana, qui demeurent aussi relevés et difficiles. Je crois que la Côte d’Ivoire sort du lot dans ce groupe et reste incontestablement la favorite. Après, pour le deuxième ticket qualificatif, ça se jouera entre les trois autres sélections. Pour battre cette équipe ivoirienne, il faudra pour l’Algérie et la Tunisie d’élever leur niveau de jeu, évidemment mais aussi et surtout répondre au tac au tac au défi physique. Il faudra qu’ils sortent un grand match au niveau de l’impact physique pour espérer faire quelque chose et s’imposer».
Lucas Radebe, champion d’Afrique 1996 avec l’Afrique du Sud
« La tâche sera colossale. Il y a beaucoup d’attente dans le pays mais je ne crois pas que nous puissions l’emporter. Les gens repensent à notre succès de 1996 mais les temps ont changé. Je pense que l’objectif le plus raisonnable soit de passer le premier tour. Actuellement, on entend beaucoup de critiques. Passe pour maintenant mais pendant la compétition les Sud-Africains devront être comme un seul homme derrière leur équipe. Il faudra beaucoup d’engagement de la part des joueurs, de sacrifices aussi. Le football africain a beaucoup évolué. Tout le monde doit se méfier de tout le monde. Regardez, l’Egypte et le Cameroun n’ont pas pu se qualifier ».