Abengourou, le président de CAP-UDD, Coulibaly Gervais, a exhorté le gouvernement ivoirien à améliorer le panier de la ménagère face à la cherté actuelle de la vie.
"Avant il parait que les femmes allaient au marché avec des paniers. Après, les paniers se sont transformés en sachets et aujourd’hui, les femmes vont au marché avec rien du tout", a déclaré l’ex-porte-parole de Laurent Gbagbo lors d’un meeting à Adaou, un quartier d’Abengourou.
Selon Coulibaly Gervais, tous les achats des ménagères se tiennent dans la paume, au regard du coût élevé des produits alimentaires ne leur permettant d’en acquérir suffisamment.
"Elles vont comme ça et tout ce qu’elles achètent peut tenir dans leurs mains, parce que quand elles vont, elles ramènent une banane ou deux, quelques aubergines et un petit bout de poisson. Est que tu as besoin de panier pour ça ?", a-t-il dénoncé, exhortant le gouvernement à penser aux paniers des ménages qui s’amenuisent de jour en jour.
Selon le président de CAP-UDD, le prix du kg de riz appelé "dénicachia" qui était 250 Fcfa en 2010 coûte aujourd’hui 400 Fcfa, la viande qui était à 1.800 Fcfa en 2010 est passée à 2.000 voire 2.500 Fcfa dans certains quartiers d’Abidjan.
Gervais Coulibaly a fait cette critique à l’occasion d’une semaine socioculturelle marquée par un match de Maracana, de concours culinaires et de jeux ludiques.
(AIP)
Apk/kp
"Avant il parait que les femmes allaient au marché avec des paniers. Après, les paniers se sont transformés en sachets et aujourd’hui, les femmes vont au marché avec rien du tout", a déclaré l’ex-porte-parole de Laurent Gbagbo lors d’un meeting à Adaou, un quartier d’Abengourou.
Selon Coulibaly Gervais, tous les achats des ménagères se tiennent dans la paume, au regard du coût élevé des produits alimentaires ne leur permettant d’en acquérir suffisamment.
"Elles vont comme ça et tout ce qu’elles achètent peut tenir dans leurs mains, parce que quand elles vont, elles ramènent une banane ou deux, quelques aubergines et un petit bout de poisson. Est que tu as besoin de panier pour ça ?", a-t-il dénoncé, exhortant le gouvernement à penser aux paniers des ménages qui s’amenuisent de jour en jour.
Selon le président de CAP-UDD, le prix du kg de riz appelé "dénicachia" qui était 250 Fcfa en 2010 coûte aujourd’hui 400 Fcfa, la viande qui était à 1.800 Fcfa en 2010 est passée à 2.000 voire 2.500 Fcfa dans certains quartiers d’Abidjan.
Gervais Coulibaly a fait cette critique à l’occasion d’une semaine socioculturelle marquée par un match de Maracana, de concours culinaires et de jeux ludiques.
(AIP)
Apk/kp