Anna Ouloto, ministre de la salubrité urbaine veut amener les préfets de Côte d’Ivoire à jouer leur partition dans la gestion quotidienne de la salubrité urbaine. Face à l’incivisme des populations, l’occupation anarchique du domaine, la construction des kiosques et magasins sur des ouvrages d’assainissement et autres servitudes publiques. A cela il faut ajouter la prolifération incontrôlée de gares spontanées de taxis communaux et mini-cars (gbaka).
Lors de la rencontre d’hier, Anne Ouloto a décidé de situer les responsabilités dans la gestion de la salubrité Autour du thème, «Désordre urbain, incivisme des populations : quelle responsabilité des préfets», il s’agit d’une part, de faire le diagnostic de l’organisation des missions et fonctionnement des rapports entre l’Etat, représenté par les préfets et les collectivités territoriales dans la prise en charge de la problématique du désordre urbain en Côte d’Ivoire. D’autre part, élaborer un plan d’action à moyen terme qui comprendra les stratégies et les outils devant désormais faciliter les relations entre les différentes structures décentralisées.
Anne Ouloto a rappelé aux préfets que lors du conseil des ministres du 02 octobre 2012, des mesures ont prises. A savoir : la suspension jusqu’à nouvel ordre de la délivrance par les autorités communales des autorisations d’occupation du domaine public dans les grandes villes comme Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo, Man, San-Pedro, Abengourou et Daloa ; l’organisation d’une opération spéciale de salubrité aux alentours des établissements scolaires et universitaires ; l’organisation d’une campagne pour le changement de comportement des populations, etc. L’élaboration d’un chronogramme servira de base de travail au corps préfectoral, aux élus locaux et à la société civile.
Jacquelin Mintoh
Lors de la rencontre d’hier, Anne Ouloto a décidé de situer les responsabilités dans la gestion de la salubrité Autour du thème, «Désordre urbain, incivisme des populations : quelle responsabilité des préfets», il s’agit d’une part, de faire le diagnostic de l’organisation des missions et fonctionnement des rapports entre l’Etat, représenté par les préfets et les collectivités territoriales dans la prise en charge de la problématique du désordre urbain en Côte d’Ivoire. D’autre part, élaborer un plan d’action à moyen terme qui comprendra les stratégies et les outils devant désormais faciliter les relations entre les différentes structures décentralisées.
Anne Ouloto a rappelé aux préfets que lors du conseil des ministres du 02 octobre 2012, des mesures ont prises. A savoir : la suspension jusqu’à nouvel ordre de la délivrance par les autorités communales des autorisations d’occupation du domaine public dans les grandes villes comme Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo, Man, San-Pedro, Abengourou et Daloa ; l’organisation d’une opération spéciale de salubrité aux alentours des établissements scolaires et universitaires ; l’organisation d’une campagne pour le changement de comportement des populations, etc. L’élaboration d’un chronogramme servira de base de travail au corps préfectoral, aux élus locaux et à la société civile.
Jacquelin Mintoh