CONAKRY - La Directrice nationale du trésor public guinéen Mme Boiro a été tuée vendredi nuit dans un règlement de compte par des inconnus dans un quartier de la haute banlieue de Conakry, a-t-on appris samedi de source policière.
La victime qui revenait de son travail tard dans la nuit a été attaquée par des personnes armées, qui ont ouvert le feu sur les passagers se trouvant au bord de la voiture.
Selon un officier du haut commandement de la gendarmerie nationale joint au téléphone, Mme Boiro a été assassinée dans un règlement de compte par des inconnus, dans le quartier de Kippé. Informé de la nouvelle, Il a rassuré que la police et la gendarmerie ont immédiatement ouvert une enquête pour explorer toutes les pistes possibles, afin de mettre main sur les auteurs de ce crime crapuleux qui vient de se produire une fois de plus à Conakry.
Mme Boiro était l'épouse du Président de la Cour d'Appel de Conakry. Malgré les efforts déployés par les forces de sécurité, l'insécurité bat encore son plein à Conakry et dans les villes de l'intérieur du pays.
Deux ou trois fois par semaine, des assassinats, des attaques à mains armées, des braquages et autres actes criminels sont signalés par des citoyens à Conakry ou dans les autres préfectures du pays.
La victime qui revenait de son travail tard dans la nuit a été attaquée par des personnes armées, qui ont ouvert le feu sur les passagers se trouvant au bord de la voiture.
Selon un officier du haut commandement de la gendarmerie nationale joint au téléphone, Mme Boiro a été assassinée dans un règlement de compte par des inconnus, dans le quartier de Kippé. Informé de la nouvelle, Il a rassuré que la police et la gendarmerie ont immédiatement ouvert une enquête pour explorer toutes les pistes possibles, afin de mettre main sur les auteurs de ce crime crapuleux qui vient de se produire une fois de plus à Conakry.
Mme Boiro était l'épouse du Président de la Cour d'Appel de Conakry. Malgré les efforts déployés par les forces de sécurité, l'insécurité bat encore son plein à Conakry et dans les villes de l'intérieur du pays.
Deux ou trois fois par semaine, des assassinats, des attaques à mains armées, des braquages et autres actes criminels sont signalés par des citoyens à Conakry ou dans les autres préfectures du pays.