Abidjan, Le ministère des Ex-Combattants et des Victimes de guerre et l’ambassade de France ont organisé, dimanche, au 43e Bataillon d’infanterie de la marine (BIMA) et à la place du Monument aux morts, à Abidjan, la commémoration de l’armistice de guerre du 11 novembre 1918, en mémoire aux combattants français et ivoiriens de la première guerre mondiale.
Les autorités ivoiriennes et françaises ont ç cette occasion rendu un vibrant hommage à tous les soldats français et africains, connus sous l’appellation de "tirailleurs sénégalais", morts pendant la guerre mondiale de 1914-1918.
Au 43e BIMA, à Port-Bouët, le diplomate français Georges Serre a salué la mémoire de tous les soldats français morts pour la patrie, notamment les 21 militaires français décédés pendant la crise militaro-politique en Côte d’Ivoire, invitant les autorités ivoiriennes à faire de cette journée une occasion de reconnaissance à l’endroit des anciens combattants encore vivants.
A la place du Monument aux morts du Plateau, le ministre des Ex-combattants et des Victimes de guerre, Mathieu Badaud Darret, a plutôt plaidé pour une journée spéciale du souvenir qui sera initiée par son cabinet, appelant ses compatriotes à cultiver la paix dans une Côte d’Ivoire qui se reconstruit après plusieurs années de conflits.
Exprimant sa gratitude aux autorités françaises et ivoiriennes, Koné Yassoungo, président de l’Association fraternelle des anciens combattants de Côte d’Ivoire (AFAC-CI), a salué le courage et la volonté des soldats africains qui ont combattu aux côtés de la France. Il a rappelé "le sens et les vertus du sacrifice suprême" et insisté sur l’importance de la paix qui doit "devenir une force irrésistible contre la guerre et la violence".
Des gerbes de fleurs ont été déposées au 43e BIMA et à la place du Monument aux morts, 94 ans après la capitulation de l’Allemagne.
(AIP)
Isk/kp
Les autorités ivoiriennes et françaises ont ç cette occasion rendu un vibrant hommage à tous les soldats français et africains, connus sous l’appellation de "tirailleurs sénégalais", morts pendant la guerre mondiale de 1914-1918.
Au 43e BIMA, à Port-Bouët, le diplomate français Georges Serre a salué la mémoire de tous les soldats français morts pour la patrie, notamment les 21 militaires français décédés pendant la crise militaro-politique en Côte d’Ivoire, invitant les autorités ivoiriennes à faire de cette journée une occasion de reconnaissance à l’endroit des anciens combattants encore vivants.
A la place du Monument aux morts du Plateau, le ministre des Ex-combattants et des Victimes de guerre, Mathieu Badaud Darret, a plutôt plaidé pour une journée spéciale du souvenir qui sera initiée par son cabinet, appelant ses compatriotes à cultiver la paix dans une Côte d’Ivoire qui se reconstruit après plusieurs années de conflits.
Exprimant sa gratitude aux autorités françaises et ivoiriennes, Koné Yassoungo, président de l’Association fraternelle des anciens combattants de Côte d’Ivoire (AFAC-CI), a salué le courage et la volonté des soldats africains qui ont combattu aux côtés de la France. Il a rappelé "le sens et les vertus du sacrifice suprême" et insisté sur l’importance de la paix qui doit "devenir une force irrésistible contre la guerre et la violence".
Des gerbes de fleurs ont été déposées au 43e BIMA et à la place du Monument aux morts, 94 ans après la capitulation de l’Allemagne.
(AIP)
Isk/kp