Au Ghana ou au Liberia, ils rêvent de ramener l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo au pouvoir. Enquête sur ces exilés qui ne reconnaissent toujours pas la légitimité d'Alassane Ouattara et qu'Abidjan soupçonne d'être à l'origine des attaques de ces derniers mois.
La cote d'alerte est-elle atteinte ? Depuis cinq mois, les attaques se multiplient en Côte d'Ivoire. Le 8 juin à Sakré, à la frontière du Liberia (7 Casques bleus nigériens tués). Le 6 août au camp militaire d'Akouédo, à Abidjan. Le 21 septembre au poste de Noé, à la frontière du Ghana. Le 15 octobre à la centrale thermique d'Azito, à Abidjan. Le 21 octobre à la gendarmerie de Bongouanou, à 200 km au nord d'Abidjan... Aucune de ces actions n'a été revendiquée, mais, dans l'entourage du chef de... suite de l'article sur Jeune Afrique
La cote d'alerte est-elle atteinte ? Depuis cinq mois, les attaques se multiplient en Côte d'Ivoire. Le 8 juin à Sakré, à la frontière du Liberia (7 Casques bleus nigériens tués). Le 6 août au camp militaire d'Akouédo, à Abidjan. Le 21 septembre au poste de Noé, à la frontière du Ghana. Le 15 octobre à la centrale thermique d'Azito, à Abidjan. Le 21 octobre à la gendarmerie de Bongouanou, à 200 km au nord d'Abidjan... Aucune de ces actions n'a été revendiquée, mais, dans l'entourage du chef de... suite de l'article sur Jeune Afrique