Abidjan – Susciter l’émergence d’une nouvelle race de journalistes professionnels et soucieux de l’éthique et de la morale de la profession, tel est le rêve du Dr Célestin Gnonzion, formateur. L’homme envisage, en tous cas, d’intéresser les hommes et femmes de médias à son projet de mise en place d`une institution dénommée "Centre ivoirien pour la promotion de l`éthique dans les médias" (CIPEM).
Lorsqu’on sait le rôle joué par la presse dans l’éclatement de la crise ivoirienne, on mesure à sa juste valeur les efforts faits, de part et d’autre, tant par la tutelle que par la société civile et les organisations internationales, pour une meilleure formation et responsabilisation des journalistes.
Si l’éthique est par nature universelle, la morale, elle est contextuelle, propre à une société. Quant à la déontologie, elle se définit comme la science des devoirs. En d’autres termes, le Code d’éthique et de déontologie des journalistes ivoiriens est un document qui recense les règles et valeurs de la profession exercée en Côte d’Ivoire. Mais que faire pour que les journalistes ivoiriens s’approprient de façon durable ce code ? Dr Gnonzion pose comme condition la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) de presse, à savoir l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques dans les activités commerciales des entreprises de presse.
Lundi 5 et mardi 6 novembre 2012, s’est tenue à Abidjan, la seconde session de la formation initiée par la Banque mondiale et le quotidien « Fraternité Matin », à l’intention des journalistes économiques de Côte d’Ivoire. La formation porte essentiellement sur trois sujets : la connaissance des activités économique, les fondements de l’écriture journalistique et la loi. Pour cette seconde session, les journalistes ont, notamment pu partager l’expérience personnelle de Mme Kassi Assovié, gérante de société, et celle de l’un des doyens de la plume ivoirienne, M. Samba Koné.
Edgar Kouassi
Lorsqu’on sait le rôle joué par la presse dans l’éclatement de la crise ivoirienne, on mesure à sa juste valeur les efforts faits, de part et d’autre, tant par la tutelle que par la société civile et les organisations internationales, pour une meilleure formation et responsabilisation des journalistes.
Si l’éthique est par nature universelle, la morale, elle est contextuelle, propre à une société. Quant à la déontologie, elle se définit comme la science des devoirs. En d’autres termes, le Code d’éthique et de déontologie des journalistes ivoiriens est un document qui recense les règles et valeurs de la profession exercée en Côte d’Ivoire. Mais que faire pour que les journalistes ivoiriens s’approprient de façon durable ce code ? Dr Gnonzion pose comme condition la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) de presse, à savoir l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques dans les activités commerciales des entreprises de presse.
Lundi 5 et mardi 6 novembre 2012, s’est tenue à Abidjan, la seconde session de la formation initiée par la Banque mondiale et le quotidien « Fraternité Matin », à l’intention des journalistes économiques de Côte d’Ivoire. La formation porte essentiellement sur trois sujets : la connaissance des activités économique, les fondements de l’écriture journalistique et la loi. Pour cette seconde session, les journalistes ont, notamment pu partager l’expérience personnelle de Mme Kassi Assovié, gérante de société, et celle de l’un des doyens de la plume ivoirienne, M. Samba Koné.
Edgar Kouassi