Divo - Les promoteurs des centres d’éducation communautaire de Divo ont créé mercredi une organisation commune dénommée Amicale des promoteurs des centres d’éducation communautaire (APROSEC), a-t-on appris vendredi auprès de son président, Mabré Louis.
L’APROSEC se veut un cadre de concertation et de réflexion de ses membres. « On dit souvent que l’union fait la force. Ensemble, nous pensons que nos réflexions seront plus fécondes », a indiqué le premier responsable de l’APROSEC pour justifier sa création.
Il s’agit pour les membres de cette organisation de réfléchir ensemble en vue de proposer des solutions aux nombreux problèmes auxquels ils sont confrontés, notamment les locaux en matériaux précaires, les difficultés d’accès (routes impraticables), le manque de matériels didactiques et de tables-bancs.
Le département de Divo compte une vingtaine de centre d’éducation communautaire. Selon le président de l’APROSEC, ces centres sont créés dans le souci de permettre aux enfants des zones éloignées des villages centre d’aller à l’école. « Il est très difficile pour un enfant de cinq ou six ans de parcourir plus de 10 km en aller-retour pour aller à l’école. Nous créons donc ces centres pour rapprocher ces enfants des écoles », a-t-il expliqué.
« C’est pour nous une façon de donner une chance aux enfants des campements reculés d’aller à l’école et aussi de lutter contre le travail des enfants », a ajouté M. Mabré. La création de ces centres est subordonnée à l’accord préalable des chefs de circonscription de l’enseignement primaire, aux dires du premier responsable de l’APROSEC.
L’APROSEC se veut un cadre de concertation et de réflexion de ses membres. « On dit souvent que l’union fait la force. Ensemble, nous pensons que nos réflexions seront plus fécondes », a indiqué le premier responsable de l’APROSEC pour justifier sa création.
Il s’agit pour les membres de cette organisation de réfléchir ensemble en vue de proposer des solutions aux nombreux problèmes auxquels ils sont confrontés, notamment les locaux en matériaux précaires, les difficultés d’accès (routes impraticables), le manque de matériels didactiques et de tables-bancs.
Le département de Divo compte une vingtaine de centre d’éducation communautaire. Selon le président de l’APROSEC, ces centres sont créés dans le souci de permettre aux enfants des zones éloignées des villages centre d’aller à l’école. « Il est très difficile pour un enfant de cinq ou six ans de parcourir plus de 10 km en aller-retour pour aller à l’école. Nous créons donc ces centres pour rapprocher ces enfants des écoles », a-t-il expliqué.
« C’est pour nous une façon de donner une chance aux enfants des campements reculés d’aller à l’école et aussi de lutter contre le travail des enfants », a ajouté M. Mabré. La création de ces centres est subordonnée à l’accord préalable des chefs de circonscription de l’enseignement primaire, aux dires du premier responsable de l’APROSEC.
