La troisième édition de la semaine nationale du civisme a démarré le mardi 20 novembre 2012, à l’Auditorium de la Caisse de stabilisation, au Plateau, autour du thème « Citoyenneté et droits de l’Homme ». Le ministre Alain Lobognon a saisi cette tribune pour se prononcer sur la question des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire.
Le ministre de la Promotion de la jeunesse et du Service civique du gouvernement sortant a rappelé que les droits de l’Homme sont un critère de bonne gouvernance et de catégorisation des Etats. C’est pourquoi, a-t-il souligné, l’Etat ivoirien a instauré dans les programmes d’enseignement, dès l’école primaire, l’éducation à la citoyenneté et aux droits de l’Homme. «La Côte d’Ivoire qui veut devenir un Etat émergent à l’horizon 2020 doit se mettre à l’abri des critiques des organisations de défense des droits humains, dont le juste rôle est d’appeler chaque jour qui passe, au respect des droits des citoyens», a déclaré le ministre Alain Lobognon. Qui a, en outre, déploré le manque de civisme d’un grand nombre de citoyens. «La Côte d’Ivoire, avouons-le, traverse une crise d’incivilité et de manque de civisme. Un grand nombre de nos citoyens ont perdu de vue les valeurs du civisme et l’individualisme a envahi nos cités», s’est-il indigné. L’édition 2012 de la semaine nationale du civisme sera marquée par des activités dont une visite citoyenne guidée à l’Assemblée nationale.
Tout en indiquant le rôle joué par cette institution depuis son existence, le ministre Alain Lobognon n’a pas passé sous silence le projet de loi relatif au mariage et qui suscite de nombreux commentaires. «J’appelle les Ivoiriens à venir à l’Assemblée nationale pour suivre l’adoption du projet de loi sur le mariage qui fait de la femme, l’égale de l’homme», a-t-il invité. Silué Kagnon Augustin, vice-président de l’Assemblée nationale et représentant le président du parlement ivoirien, Guillaume Soro, a, en dépit des rapports accablants des organisations des droits de l’Homme, rassuré en ces termes : «La situation des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire s’est nettement améliorée». Il a, toutefois, souligné que les Ivoiriens ont besoin de connaître leurs droits et devoirs. Sur ce sujet, il a traduit l’engagement du Gouvernement à accompagner les populations. La troisième édition de la semaine nationale qui prend fin le lundi 26 novembre 2012 vise à renforcer les capacités citoyennes des populations en matière de droits de l’Homme et des libertés individuelles
R.D
Le ministre de la Promotion de la jeunesse et du Service civique du gouvernement sortant a rappelé que les droits de l’Homme sont un critère de bonne gouvernance et de catégorisation des Etats. C’est pourquoi, a-t-il souligné, l’Etat ivoirien a instauré dans les programmes d’enseignement, dès l’école primaire, l’éducation à la citoyenneté et aux droits de l’Homme. «La Côte d’Ivoire qui veut devenir un Etat émergent à l’horizon 2020 doit se mettre à l’abri des critiques des organisations de défense des droits humains, dont le juste rôle est d’appeler chaque jour qui passe, au respect des droits des citoyens», a déclaré le ministre Alain Lobognon. Qui a, en outre, déploré le manque de civisme d’un grand nombre de citoyens. «La Côte d’Ivoire, avouons-le, traverse une crise d’incivilité et de manque de civisme. Un grand nombre de nos citoyens ont perdu de vue les valeurs du civisme et l’individualisme a envahi nos cités», s’est-il indigné. L’édition 2012 de la semaine nationale du civisme sera marquée par des activités dont une visite citoyenne guidée à l’Assemblée nationale.
Tout en indiquant le rôle joué par cette institution depuis son existence, le ministre Alain Lobognon n’a pas passé sous silence le projet de loi relatif au mariage et qui suscite de nombreux commentaires. «J’appelle les Ivoiriens à venir à l’Assemblée nationale pour suivre l’adoption du projet de loi sur le mariage qui fait de la femme, l’égale de l’homme», a-t-il invité. Silué Kagnon Augustin, vice-président de l’Assemblée nationale et représentant le président du parlement ivoirien, Guillaume Soro, a, en dépit des rapports accablants des organisations des droits de l’Homme, rassuré en ces termes : «La situation des droits de l’Homme en Côte d’Ivoire s’est nettement améliorée». Il a, toutefois, souligné que les Ivoiriens ont besoin de connaître leurs droits et devoirs. Sur ce sujet, il a traduit l’engagement du Gouvernement à accompagner les populations. La troisième édition de la semaine nationale qui prend fin le lundi 26 novembre 2012 vise à renforcer les capacités citoyennes des populations en matière de droits de l’Homme et des libertés individuelles
R.D