La rumeur qui circulait ces dernières heures, a fini par devenir une réalité. Daniel Kablan Duncan est le nouveau Premier ministre de la Côte d’Ivoire. Duncan retrouve la Primature. Une maison qu’il connait bien pour l’avoir occupée six ans durant, de 1993 à 1999. A l’annonce de sa nomination, beaucoup d’Ivoiriens se sont interrogés sur son choix. Les raisons en sont simples. Les différents gouvernements qui se sont succédé depuis la fin de la crise postélectorale étaient de véritables équipes missions. Ces gouvernements avaient été mis en place pour non seulement insuffler une nouvelle dynamique. Mais surtout pallier au plus pressé, en vue de sortir la Côte d’Ivoire de l’état critique dans laquelle elle s’est retrouvée après la grave crise qui l’a secoué après l’élection présidentielle de 2010. De Guillaume Soro à Jeannot Ahoussou, ces gouvernements se sont acquittés plus ou moins de cette tâche.
L’économie a repris son cours normal. La sécurité, malgré encore quelques soubresauts, s’est largement améliorée. Au point qu’aujourd’hui, les bailleurs de fonds ont retrouvé le chemin de la Côte d’Ivoire. A en juger les délégations d’hommes d’affaires étrangers qui défilent chaque jour au bord de la lagune Ebrié. Le plus dur – on peut l’avancer sans faire preuve d’optimisme béat – est passé. La Côte d’Ivoire commence à reprendre des couleurs. Car la relance économique est actuellement au rendez-vous. Les défis qui attendent le président de la République et l’Etat de Côte d’Ivoire sont essentiellement ceux de la relance économique et la reconstruction. La mise en œuvre de ces vastes chantiers nécessite plus de savoir-faire et de technicité. Il faut donc un changement de cap. C’est la raison pour laquelle dans la composition du nouveau gouvernement, l’on parle d’une équipe restreinte composée de technocrates.
Pour la diriger, il faut bien entendu un technocrate plein d’expériences qui ne rechigne pas à la tâche. Et cet homme n’est personne d’autre que celui qui comprend le mieux que l’éco-diplomatie prônée par le président de la République qu’il a déjà expérimenté au ministère des Affaires étrangères. Le nouveau Premier ministre a pour lui son parcours qui plaide en sa faveur. Daniel Kablan Duncan a été l’un des meilleurs chefs de gouvernement qu’a connu la Côte d’Ivoire. Il a déjà dirigé un gouvernement. Il saura comment s’y prendre pour gérer les vastes chantiers qui l’attendent. Il l’a déjà démontré par le passé. Il connait l’économie mondiale. Les couloirs de la haute finance n’ont pas de secret pour lui pour les avoir côtoyés. En outre, il existe une complicité de longue date entre lui et le chef de l’Etat, dont il a la totale confiance. C’est aussi un détail qui compte lorsque l’on veut faire de grandes choses. Il n’y a donc pas de raison qu’il échoue dans ces « nouvelles anciennes » fonctions. C’est pour toutes ces raisons que le choix du président de la République s’est porté sur lui.
Jean-Claude Coulibaly
L’économie a repris son cours normal. La sécurité, malgré encore quelques soubresauts, s’est largement améliorée. Au point qu’aujourd’hui, les bailleurs de fonds ont retrouvé le chemin de la Côte d’Ivoire. A en juger les délégations d’hommes d’affaires étrangers qui défilent chaque jour au bord de la lagune Ebrié. Le plus dur – on peut l’avancer sans faire preuve d’optimisme béat – est passé. La Côte d’Ivoire commence à reprendre des couleurs. Car la relance économique est actuellement au rendez-vous. Les défis qui attendent le président de la République et l’Etat de Côte d’Ivoire sont essentiellement ceux de la relance économique et la reconstruction. La mise en œuvre de ces vastes chantiers nécessite plus de savoir-faire et de technicité. Il faut donc un changement de cap. C’est la raison pour laquelle dans la composition du nouveau gouvernement, l’on parle d’une équipe restreinte composée de technocrates.
Pour la diriger, il faut bien entendu un technocrate plein d’expériences qui ne rechigne pas à la tâche. Et cet homme n’est personne d’autre que celui qui comprend le mieux que l’éco-diplomatie prônée par le président de la République qu’il a déjà expérimenté au ministère des Affaires étrangères. Le nouveau Premier ministre a pour lui son parcours qui plaide en sa faveur. Daniel Kablan Duncan a été l’un des meilleurs chefs de gouvernement qu’a connu la Côte d’Ivoire. Il a déjà dirigé un gouvernement. Il saura comment s’y prendre pour gérer les vastes chantiers qui l’attendent. Il l’a déjà démontré par le passé. Il connait l’économie mondiale. Les couloirs de la haute finance n’ont pas de secret pour lui pour les avoir côtoyés. En outre, il existe une complicité de longue date entre lui et le chef de l’Etat, dont il a la totale confiance. C’est aussi un détail qui compte lorsque l’on veut faire de grandes choses. Il n’y a donc pas de raison qu’il échoue dans ces « nouvelles anciennes » fonctions. C’est pour toutes ces raisons que le choix du président de la République s’est porté sur lui.
Jean-Claude Coulibaly
