Intervenant à la conférence mondiale sur le cacao, le mardi 20 novembre dernier, la Première Dame de Côte d’Ivoire a proposé un plan d’urgence pour enrayer le travail des enfants. Selon elle, le Président de la République et le Gouvernement de Côte d’Ivoire ont pris la pleine mesure de la situation de l’exploitation et la traite des enfants.
Ainsi, pour y apporter une réplique adéquate , ils ont fait de la lutte contre ce fléau, une question prioritaire. Ce, à travers , la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel, composé de deux comités. D’une part, le Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants et d’autre part, le Comité National de Surveillance, des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, dirigé par la Première Dame, elle-même. Mme Dominique Ouattara a indiqué que, « dès leur mise en place, ces deux Comités, en collaboration avec les principaux acteurs et partenaires engagés dans la lutte contre le phénomène, ont élaboré et adopté le 28 mars 2012, le Plan d’Action National de lutte contre le travail des enfants ». Un document stratégique national qui permet à la Côte d’Ivoire « de rendre opérationnels ses objectifs en matière de lutte contre le fléau », tout en « permettant aux sociétés souhaitant aider la Côte d’Ivoire à lutter contre ce fléau, de s’assurer que les projets envisagés rentrent bien dans le cadre des besoins du Pays », a-t-elle fait remarquer. Selon elle, « ce plan prévoit, entre autres, le renforcement des capacités des autorités dans la lutte contre le travail des enfants ».
Ce qui a justifié d’ailleurs, le séminaire de formation de tous les Préfets de Côte d’Ivoire, organisé en septembre dernier à Yamoussoukro. Une formation qui avait pour objectif de susciter une implication plus affirmée des Préfets dans leurs circonscriptions respectives. S’opérant parfois dans un contexte transfrontalier, la Présidente fondatrice de Children of Africa a dit avoir initié des réunions avec les Premières Dames du Mali et du Burkina Faso. « Ces rencontres, pour elle, ont permis la signature d’accords de coopération, en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants, entre nos Pays respectifs ». Le tout couronné avec le lancement d’une campagne médiatique nationale de sensibilisation sur la lutte contre la traite et les pires formes de travail des enfants. « Cette campagne de masse vise à informer toutes les communautés vivant sur le territoire national et les planteurs sur l’interdiction de la traite et des pires formes de travail des enfants », a-t-elle soutenu.
J. CESAR
Ainsi, pour y apporter une réplique adéquate , ils ont fait de la lutte contre ce fléau, une question prioritaire. Ce, à travers , la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel, composé de deux comités. D’une part, le Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants et d’autre part, le Comité National de Surveillance, des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, dirigé par la Première Dame, elle-même. Mme Dominique Ouattara a indiqué que, « dès leur mise en place, ces deux Comités, en collaboration avec les principaux acteurs et partenaires engagés dans la lutte contre le phénomène, ont élaboré et adopté le 28 mars 2012, le Plan d’Action National de lutte contre le travail des enfants ». Un document stratégique national qui permet à la Côte d’Ivoire « de rendre opérationnels ses objectifs en matière de lutte contre le fléau », tout en « permettant aux sociétés souhaitant aider la Côte d’Ivoire à lutter contre ce fléau, de s’assurer que les projets envisagés rentrent bien dans le cadre des besoins du Pays », a-t-elle fait remarquer. Selon elle, « ce plan prévoit, entre autres, le renforcement des capacités des autorités dans la lutte contre le travail des enfants ».
Ce qui a justifié d’ailleurs, le séminaire de formation de tous les Préfets de Côte d’Ivoire, organisé en septembre dernier à Yamoussoukro. Une formation qui avait pour objectif de susciter une implication plus affirmée des Préfets dans leurs circonscriptions respectives. S’opérant parfois dans un contexte transfrontalier, la Présidente fondatrice de Children of Africa a dit avoir initié des réunions avec les Premières Dames du Mali et du Burkina Faso. « Ces rencontres, pour elle, ont permis la signature d’accords de coopération, en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants, entre nos Pays respectifs ». Le tout couronné avec le lancement d’une campagne médiatique nationale de sensibilisation sur la lutte contre la traite et les pires formes de travail des enfants. « Cette campagne de masse vise à informer toutes les communautés vivant sur le territoire national et les planteurs sur l’interdiction de la traite et des pires formes de travail des enfants », a-t-elle soutenu.
J. CESAR