La première Conférence mondiale sur le cacao tenue en terre ivoirienne ouverte depuis le 19 novembre 2012 a refermé ses portes hier vendredi 23 novembre 2012, sur des notes d’espoir pour un avenir radieux du secteur café-cacao.
Du 19 au 23 novembre 2012, se tenait en Côte d’Ivoire, la première conférence mondiale sur l’économie cacaoyère. Ces quatre jours de rencontres et d’échanges ont largement suffi aux chocolatiers, consommateurs et pays producteurs pour déceler tous les défis auxquels est exposé le secteur du cacao afin d’en faire une économie durable. Ainsi, au terme de cette rencontre d’Abidjan, des actes et engagements ont été pris. Il s’agit pour l’ensemble des acteurs d’adopter un agenda global du cacao. A cet effet, il a été recommandé entre autres, la mise en place d’une plate-forme d’échanges entre les compagnies de transport maritime, la poursuite des recherches en transport et logistique et de la transformation locale. En ce qui concerne le financement du secteur, les acteurs ont convenu du risque de recouvrement. Toutefois, ils encouragent le regroupement des producteurs à poursuivre les réflexions sur les produits flexibles et accessibles au monde agricole. La promotion de la consommation locale des produits dérivés du chocolat fait partie des recommandations. En ce qui concerne la gestion stratégique de la cacaoculture dont a eu en charge Jean Marc Anga, de présenter les résultats, il a été souhaité la nécessité d’une gestion cohérente des initiatives d’appui aux programmes (PPP) visant à répondre aux besoins des industriels, le respect de la réglementation par rapport aux normes internationales, la mise en œuvre des programmes pour améliorer les conditions de vie et de travail des producteurs.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, clôturant cette première conférence mondiale sur le cacao a assuré la chaîne des acteurs sur les dispositions prises par la Côte d’Ivoire, premier fournisseur au monde de la fève de cacao, de manière à garantir la demande du marché. Selon le chef de Gouvernement, tout cela est contenu dans un programme national dont une partie est dédiée au secteur agricole. Le ministre de l’Agriculture, Sangafowa intervenant à l’occasion d’une conférence de presse, a assuré l’accueil du siège de l’ICCO à Abidjan. Selon le ministre, la réussite de la tenue en terre ivoirienne de la première conférence mondiale sur le cacao est le premier test du transfert du siège de l’organisation à Abidjan. Maintenant, il reste aux pays membres de l’organisation à se décider. Car, dit-il, à Abidjan, il fait bon vivre contrairement aux informations sur le net. Nous y reviendrons.
HK
Du 19 au 23 novembre 2012, se tenait en Côte d’Ivoire, la première conférence mondiale sur l’économie cacaoyère. Ces quatre jours de rencontres et d’échanges ont largement suffi aux chocolatiers, consommateurs et pays producteurs pour déceler tous les défis auxquels est exposé le secteur du cacao afin d’en faire une économie durable. Ainsi, au terme de cette rencontre d’Abidjan, des actes et engagements ont été pris. Il s’agit pour l’ensemble des acteurs d’adopter un agenda global du cacao. A cet effet, il a été recommandé entre autres, la mise en place d’une plate-forme d’échanges entre les compagnies de transport maritime, la poursuite des recherches en transport et logistique et de la transformation locale. En ce qui concerne le financement du secteur, les acteurs ont convenu du risque de recouvrement. Toutefois, ils encouragent le regroupement des producteurs à poursuivre les réflexions sur les produits flexibles et accessibles au monde agricole. La promotion de la consommation locale des produits dérivés du chocolat fait partie des recommandations. En ce qui concerne la gestion stratégique de la cacaoculture dont a eu en charge Jean Marc Anga, de présenter les résultats, il a été souhaité la nécessité d’une gestion cohérente des initiatives d’appui aux programmes (PPP) visant à répondre aux besoins des industriels, le respect de la réglementation par rapport aux normes internationales, la mise en œuvre des programmes pour améliorer les conditions de vie et de travail des producteurs.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, clôturant cette première conférence mondiale sur le cacao a assuré la chaîne des acteurs sur les dispositions prises par la Côte d’Ivoire, premier fournisseur au monde de la fève de cacao, de manière à garantir la demande du marché. Selon le chef de Gouvernement, tout cela est contenu dans un programme national dont une partie est dédiée au secteur agricole. Le ministre de l’Agriculture, Sangafowa intervenant à l’occasion d’une conférence de presse, a assuré l’accueil du siège de l’ICCO à Abidjan. Selon le ministre, la réussite de la tenue en terre ivoirienne de la première conférence mondiale sur le cacao est le premier test du transfert du siège de l’organisation à Abidjan. Maintenant, il reste aux pays membres de l’organisation à se décider. Car, dit-il, à Abidjan, il fait bon vivre contrairement aux informations sur le net. Nous y reviendrons.
HK