En présence de Sansan Kambilé, sécretaire général du Gouvernement, il y a eu le 22 novembre 2012, passation des charges entre le Premier ministre sortant et le tout nouveau locataire de la primature. Au cours de cette cérémonie, plusieurs dossiers en suspend ont été remis au Premier ministre, Daniel Kablan Duncan.
«Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire», c’est par cette formule que Jeannot Kouadio-Ahoussou a terminé son allocution de bienvenue à son aîné, Daniel Kablan Duncan. Décontracté, Jeannot Kouadio-Ahoussou a dit sa joie de partir. Puisque, tirant leçon de la nomination de Daniel Kablan Duncan, il reconnaît que quitter la Primature n’est pas une fatalité. «Vous êtes le parfait exemple de ce que partir de la Primature n’est pas la fin pour peu qu’on soit humble et rempli d’amour pour son pays», a-t-il dit à l’endroit de Daniel Kablan Duncan. Avant de souligner être «particulièrement heureux sinon ému de vous accueillir dans cette maison que vous connaissez bien. Nous avons en souvenir le travail que vous avez abattu aux côtés du président Henri Konan Bédié». Les chantiers que Daniel Kablan Duncan aura à charge de conduire à terme sont, entre autres, les dossiers du forum social, les dossiers du RIM (Réunions Interministérielles), les revendications des syndicats, le MCC (Millenium Challenge Corporation), le dossier du projet d’extension de la Primature… A son tour, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a félicité Jeannot Kouadio-Ahoussou pour le travail abattu en huit mois. «Je sais, en tant que membre de votre gouvernement, combien il a fallu de sacrifices et de génie pour aboutir au résultat que vous avez présenté avec clairvoyance et obtenu en peu de temps, par votre action dynamique et éclairée à la tête de cette équipe gouvernementale. Je voudrais ici saluer cette belle performance et vous en féliciter chaleureusement et fraternellement», a-t-il fait savoir. Daniel Kablan Duncan qui a «la certitude que la Côte d’Ivoire réussira à relever les trois grands défis», à savoir la ‘’Paix et la Sécurité’’, la ‘’Réconciliation nationale’’ et la ‘’Reconstruction et la relance économique’’, place sa mission sous le «signe de la primauté de l’action, du sens de l’urgence et de la nécessité de l’innovation».
K. Hyacinthe
«Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire», c’est par cette formule que Jeannot Kouadio-Ahoussou a terminé son allocution de bienvenue à son aîné, Daniel Kablan Duncan. Décontracté, Jeannot Kouadio-Ahoussou a dit sa joie de partir. Puisque, tirant leçon de la nomination de Daniel Kablan Duncan, il reconnaît que quitter la Primature n’est pas une fatalité. «Vous êtes le parfait exemple de ce que partir de la Primature n’est pas la fin pour peu qu’on soit humble et rempli d’amour pour son pays», a-t-il dit à l’endroit de Daniel Kablan Duncan. Avant de souligner être «particulièrement heureux sinon ému de vous accueillir dans cette maison que vous connaissez bien. Nous avons en souvenir le travail que vous avez abattu aux côtés du président Henri Konan Bédié». Les chantiers que Daniel Kablan Duncan aura à charge de conduire à terme sont, entre autres, les dossiers du forum social, les dossiers du RIM (Réunions Interministérielles), les revendications des syndicats, le MCC (Millenium Challenge Corporation), le dossier du projet d’extension de la Primature… A son tour, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a félicité Jeannot Kouadio-Ahoussou pour le travail abattu en huit mois. «Je sais, en tant que membre de votre gouvernement, combien il a fallu de sacrifices et de génie pour aboutir au résultat que vous avez présenté avec clairvoyance et obtenu en peu de temps, par votre action dynamique et éclairée à la tête de cette équipe gouvernementale. Je voudrais ici saluer cette belle performance et vous en féliciter chaleureusement et fraternellement», a-t-il fait savoir. Daniel Kablan Duncan qui a «la certitude que la Côte d’Ivoire réussira à relever les trois grands défis», à savoir la ‘’Paix et la Sécurité’’, la ‘’Réconciliation nationale’’ et la ‘’Reconstruction et la relance économique’’, place sa mission sous le «signe de la primauté de l’action, du sens de l’urgence et de la nécessité de l’innovation».
K. Hyacinthe