Les jeunes des partis politiques de l’opposition et du pouvoir, notamment le PDCI, le RDR, et le FPI, ont organisé dimanche, à Bouaké, un match de gala, pour sceller définitivement la réconciliation entre eux.
Selon leur porte-parole, Siméon Kanga du Front populaire ivoirien (opposition), "après la politique, nous devons continuer à vivre ensemble", tout en exprimant au nom des trois formations politiques leur engagement dans le processus de la réconciliation.
Le match de gala qui s’est déroulé au stade du quartier de Tollakouadiokro, a réuni les militants du Rassemblement des républicains (RDR), du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), du FPI, de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) et du Mouvement des forces d’avenir (MFA), avec à leurs côtés une délégation d’autorités administratives et d’élus locaux conduite par le maire de Diabo, Jules Kouassi Yao.
L’événement sportif entre dans le cadre du projet "J’aime mon pays" exécuté par l’Ong américaine "Seach For Common Ground" (SFCG) avec l’appui financier de l’USAID.
En avril, une vingtaine leaders communautaires a bénéficié, dans le même cadre, d’une formation à la gestion de conflits et à la cohésion sociale, rappelle-t-on.
Les jeunes du PDCI, du FPI et du RDR visés par ce projet ont à cœur d’exprimer leur engagement à la paix et à la solidarité.
Pour ce faire, ils ont livré cette partie de football dans un esprit de fair-play, à travers deux équipes composées de joueurs de différents bords politiques.
Au terme d’un match soldé par un score vierge (0-0), les trois formations politiques ont reçu chacune une coupe de vainqueur.
"C’est pour signifier que quelque soit l’issue d’une compétition, qu’elle soit sportive ou politique, entre les fils d’un même pays, la victoire n’appartient pas à un camp, mais à l’ensemble du pays", a expliqué le représentant de l’Ong SFCG, Franck Hermann Doffou.
M. Doffou a alors demandé à la jeunesse des partis politiques de s’impliquer davantage dans le processus de paix et de réconciliation dans l’intérêt de la nation ivoirienne.
Trois femmes leaders issues des communautés Baoulé, Malinké et Burkinabé, avaient organisé le 12 novembre une grande cérémonie traditionnelle de réconciliation et de cohésion sociale à Bouaké. (AIP)
Nam/kp
Selon leur porte-parole, Siméon Kanga du Front populaire ivoirien (opposition), "après la politique, nous devons continuer à vivre ensemble", tout en exprimant au nom des trois formations politiques leur engagement dans le processus de la réconciliation.
Le match de gala qui s’est déroulé au stade du quartier de Tollakouadiokro, a réuni les militants du Rassemblement des républicains (RDR), du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), du FPI, de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI) et du Mouvement des forces d’avenir (MFA), avec à leurs côtés une délégation d’autorités administratives et d’élus locaux conduite par le maire de Diabo, Jules Kouassi Yao.
L’événement sportif entre dans le cadre du projet "J’aime mon pays" exécuté par l’Ong américaine "Seach For Common Ground" (SFCG) avec l’appui financier de l’USAID.
En avril, une vingtaine leaders communautaires a bénéficié, dans le même cadre, d’une formation à la gestion de conflits et à la cohésion sociale, rappelle-t-on.
Les jeunes du PDCI, du FPI et du RDR visés par ce projet ont à cœur d’exprimer leur engagement à la paix et à la solidarité.
Pour ce faire, ils ont livré cette partie de football dans un esprit de fair-play, à travers deux équipes composées de joueurs de différents bords politiques.
Au terme d’un match soldé par un score vierge (0-0), les trois formations politiques ont reçu chacune une coupe de vainqueur.
"C’est pour signifier que quelque soit l’issue d’une compétition, qu’elle soit sportive ou politique, entre les fils d’un même pays, la victoire n’appartient pas à un camp, mais à l’ensemble du pays", a expliqué le représentant de l’Ong SFCG, Franck Hermann Doffou.
M. Doffou a alors demandé à la jeunesse des partis politiques de s’impliquer davantage dans le processus de paix et de réconciliation dans l’intérêt de la nation ivoirienne.
Trois femmes leaders issues des communautés Baoulé, Malinké et Burkinabé, avaient organisé le 12 novembre une grande cérémonie traditionnelle de réconciliation et de cohésion sociale à Bouaké. (AIP)
Nam/kp
