Quatre militaires français de l’ancien contingent "Licorne", basé en Côte d’Ivoire, sont accusés d’avoir tué l’Ivoirien Firmin Mahé, en 2005. Lors du procès qui s’ouvre mardi 27 novembre, le gratin de l’armée française va défiler à la barre.
Le procès devant la cour d’assises du tribunal de Paris de quatre militaires français de l’ex-contingent Licorne en Côte d’Ivoire accusés d’avoir tué par étouffement un présumé coupeur de routes, Firmin Mahé, au cours de son transfert à la prison de Man, le 13 mai 2005, s’ouvrira le 27 novembre et devrait s’achever le 7 décembre. Outre les quatre mis en examen (un colonel, un adjudant-chef et deux soldats), se succéderont à la barre huit généraux (dont Henri Poncet, à l’époque patron du... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le procès devant la cour d’assises du tribunal de Paris de quatre militaires français de l’ex-contingent Licorne en Côte d’Ivoire accusés d’avoir tué par étouffement un présumé coupeur de routes, Firmin Mahé, au cours de son transfert à la prison de Man, le 13 mai 2005, s’ouvrira le 27 novembre et devrait s’achever le 7 décembre. Outre les quatre mis en examen (un colonel, un adjudant-chef et deux soldats), se succéderont à la barre huit généraux (dont Henri Poncet, à l’époque patron du... suite de l'article sur Jeune Afrique