Bouaké, La délégation régionale de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) s’est engagée lundi, à Bouaké, à faire reculer l’insécurité alimentaire en Côte d’Ivoire.
"Nous prenons l’engagement, dans notre exercice 2013, de booster la production vivrière dans le centre, afin que les marchés ivoiriens soient approvisionnés et que l’insécurité alimentaire recule", a annoncé le délégué régional Koné Brahima, à l’occasion d’une visite de terrain du conseil d’administration de l’Agence à Bouaké.
M. Koné Brahima a traduit à sa hiérarchie la réalité des difficultés vécues sur le terrain par ses collaborateurs, notamment l’insuffisance de moyens de locomotion, de matériel informatique et de locaux propres à l’Anader. A cela s’ajoute une insuffisance de personnel technique.
Le délégué de l’Anader de Bouaké a souhaité que le conseil d`administration s’approprie leurs préoccupations, afin que l’Etat trouve les moyens pour une meilleure exécution de leur mission, celle d’accompagner les producteurs agricoles à devenir plus professionnels.
Conduit par le PCA, Martin Kouamé Brou, le conseil d’administration de l’Anader, après une séance de travail avec le personnel local et des partenaires, entreprendra mardi une visite de terrain pour constater de visu les réalités dans la zone centre.
Au terme de cette tournée, une synthèse d’échanges permettra la redynamisation de l’agriculture, particulièrement le secteur du vivrier qui constitue une spéculation phare de la zone du centre.
L’Anader a vu son patrimoine pillé pendant la crise militaro-politique de septembre 2002 dans la région de Gbèkè. Depuis lors, elle continue de végéter à trouver des solutions pour son repositionnement, afin de jouer pleinement son rôle d’appui au développement de l’agriculture locale.
(AIP)
Nam/kp
"Nous prenons l’engagement, dans notre exercice 2013, de booster la production vivrière dans le centre, afin que les marchés ivoiriens soient approvisionnés et que l’insécurité alimentaire recule", a annoncé le délégué régional Koné Brahima, à l’occasion d’une visite de terrain du conseil d’administration de l’Agence à Bouaké.
M. Koné Brahima a traduit à sa hiérarchie la réalité des difficultés vécues sur le terrain par ses collaborateurs, notamment l’insuffisance de moyens de locomotion, de matériel informatique et de locaux propres à l’Anader. A cela s’ajoute une insuffisance de personnel technique.
Le délégué de l’Anader de Bouaké a souhaité que le conseil d`administration s’approprie leurs préoccupations, afin que l’Etat trouve les moyens pour une meilleure exécution de leur mission, celle d’accompagner les producteurs agricoles à devenir plus professionnels.
Conduit par le PCA, Martin Kouamé Brou, le conseil d’administration de l’Anader, après une séance de travail avec le personnel local et des partenaires, entreprendra mardi une visite de terrain pour constater de visu les réalités dans la zone centre.
Au terme de cette tournée, une synthèse d’échanges permettra la redynamisation de l’agriculture, particulièrement le secteur du vivrier qui constitue une spéculation phare de la zone du centre.
L’Anader a vu son patrimoine pillé pendant la crise militaro-politique de septembre 2002 dans la région de Gbèkè. Depuis lors, elle continue de végéter à trouver des solutions pour son repositionnement, afin de jouer pleinement son rôle d’appui au développement de l’agriculture locale.
(AIP)
Nam/kp