Madame la Première Vice-présidente de l’Assemblée Nationale,
Monsieur le Ministre Souleïmane Coty DIAKITE ;
Monsieur le président de la Haute Autorité de la Communication ;
Monsieur le président du Conseil National de la Presse ;
Monsieur le vice-président de la Commission Electorale Indépendante ;
Monsieur le président du Conseil d’Administration de la RTI ;
Madame, Messieurs les présidents des Commissions Permanentes de l’Assemblée Nationale ;
Honorables députés ;
Messieurs les Conseillers ;
Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeurs centraux ;
Mesdames, Messieurs, Chers collaborateurs ;
Honorables invités en vos rangs, grades, et qualités ;
Je voudrais avant tout propos, dire ma sincère et profonde gratitude à son Excellence, Monsieur le Président de la République, Alassane OUATTARA, pour la confiance qu’il a placée en moi en me confiant les rênes du Ministère de la Communication, et le Porte-Parolat Adjoint du Gouvernement.
Ma gratitude va aussi à l’endroit de Monsieur le Premier Ministre, Kablan DUNCAN Chef du Gouvernement.
A ces remerciements, j’associe également, Monsieur SORO Kigbafori Guillaume, Président de l’Assemblée Nationale pour son soutien qui ne m’a jamais fait défaut tout au long de notre collaboration.
Vous imaginez bien l’émotion qui m’étreint en ce jour. Dans nos vies, il nous arrive souvent des choses exceptionnelles, par la volonté de Dieu.
En ce moment précis, où nous allons sceller un nouveau départ, j’ai une pensée généreuse pour tous ceux qui m’ont soutenus.
En effet, cette cérémonie de passation des charges m’offre l’opportunité de dire du fond du cœur, merci à tous ceux qui jusqu’ici ont été à mes côtés tout au long de ses années pour notre combat commun en vue d’une Côte d’Ivoire plus unie, plus fraternelle. Une Côte d’Ivoire, terre de tolérance et de paix.
Monsieur le Ministre ;
Chers collaborateurs ;
Honorables invités ;
Le Ministère de la Communication est essentiel dans le dispositif du Gouvernement en ce sens qu’il est chargé, entre autres, de la mise en œuvre et du suivi de sa politique en matière de Communication sur l’ensemble du territoire national.
C’est pourquoi dans le même temps, je mesure le poids de la responsabilité et la gravité de la fonction.
Innover, répondre promptement aux attentes fortes de nos concitoyens, mettre en œuvre le programme de développement du Président de la République, programme pour lequel les Ivoiriens dans leur majorité lui ont donné mandat, est notre mission première.
À mon aîné et ami le Ministre Souleïmane Coty DIAKITE, je voudrais rendre un hommage appuyé et mérité pour les importants chantiers qu’il a initié : l’attribution de la carte professionnelle aux journalistes; le soutien actif à une modernisation continue de nos médias du service public.
La dynamique que vous avez imprimée, Monsieur le Ministre, en partenariat avec des médias internationaux à travers des formations et des échanges permanents et assidus; votre implication décisive pour faire avancer le dossier très attendu de la libéralisation de l’audiovisuelle, ainsi que la tenue des Etats généraux de la presse ivoirienne sont autant d’acquis à préserver et mener à leur terme.
Je voudrais également rendre hommage au travail de tous vos collaborateurs.
Monsieur le Ministre ;
Chers collaborateurs ;
Honorables invités ;
Je situe mon action, dans la continuité de ce qui a été entrepris avec autant de réussite.
Mais il nous faudra parachever l’œuvre entamée et ouvrir de nouveaux chantiers. Le renforcement de l’indépendance de la presse, maillon essentiel de notre jeune démocratie est, certes un projet permanent. Il n’en demeure pas moins que son effectivité est un impératif catégorique.
Rendre notre presse nationale plus professionnelle et soucieuse de sa responsabilité dans l’édification d’une démocratie forte et enracinée dans nos valeurs est l’autre grand chantier qui me tient particulièrement à cœur.
Nous avons besoin d’une presse citoyenne, capable d’épouser, au-delà des clivages politiques et idéologiques, notre devoir de réconciliation.
Le chantier de la libéralisation audiovisuelle sera parachevé dans les meilleurs délais, sans oublier de porter une forte attention au basculement du numérique.
Je veillerai particulièrement, à l’application effective des résolutions des récents états généraux de la presse, en vue de l’amélioration de la situation des femmes et hommes de médias. Ce n’est qu’à ce prix que nous conforterons notre démocratie, et consoliderons la paix.
Je voudrais avant de clore ces propos, réitérer ma volonté de faire de ce Ministère important, un modèle de rigueur et d’exemplarité.
Pour cela, je dois pouvoir compter chers collaborateurs sur votre loyauté vis-vis de l’Etat et votre disponibilité.
Pour notre pays, nous devons rester mobilisé et donner le meilleur de nous.
Je dois pouvoir compter sur vous pour réussir ensemble notre noble mission.
Je vous remercie,
Monsieur le Ministre Souleïmane Coty DIAKITE ;
Monsieur le président de la Haute Autorité de la Communication ;
Monsieur le président du Conseil National de la Presse ;
Monsieur le vice-président de la Commission Electorale Indépendante ;
Monsieur le président du Conseil d’Administration de la RTI ;
Madame, Messieurs les présidents des Commissions Permanentes de l’Assemblée Nationale ;
Honorables députés ;
Messieurs les Conseillers ;
Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Directeurs centraux ;
Mesdames, Messieurs, Chers collaborateurs ;
Honorables invités en vos rangs, grades, et qualités ;
Je voudrais avant tout propos, dire ma sincère et profonde gratitude à son Excellence, Monsieur le Président de la République, Alassane OUATTARA, pour la confiance qu’il a placée en moi en me confiant les rênes du Ministère de la Communication, et le Porte-Parolat Adjoint du Gouvernement.
Ma gratitude va aussi à l’endroit de Monsieur le Premier Ministre, Kablan DUNCAN Chef du Gouvernement.
A ces remerciements, j’associe également, Monsieur SORO Kigbafori Guillaume, Président de l’Assemblée Nationale pour son soutien qui ne m’a jamais fait défaut tout au long de notre collaboration.
Vous imaginez bien l’émotion qui m’étreint en ce jour. Dans nos vies, il nous arrive souvent des choses exceptionnelles, par la volonté de Dieu.
En ce moment précis, où nous allons sceller un nouveau départ, j’ai une pensée généreuse pour tous ceux qui m’ont soutenus.
En effet, cette cérémonie de passation des charges m’offre l’opportunité de dire du fond du cœur, merci à tous ceux qui jusqu’ici ont été à mes côtés tout au long de ses années pour notre combat commun en vue d’une Côte d’Ivoire plus unie, plus fraternelle. Une Côte d’Ivoire, terre de tolérance et de paix.
Monsieur le Ministre ;
Chers collaborateurs ;
Honorables invités ;
Le Ministère de la Communication est essentiel dans le dispositif du Gouvernement en ce sens qu’il est chargé, entre autres, de la mise en œuvre et du suivi de sa politique en matière de Communication sur l’ensemble du territoire national.
C’est pourquoi dans le même temps, je mesure le poids de la responsabilité et la gravité de la fonction.
Innover, répondre promptement aux attentes fortes de nos concitoyens, mettre en œuvre le programme de développement du Président de la République, programme pour lequel les Ivoiriens dans leur majorité lui ont donné mandat, est notre mission première.
À mon aîné et ami le Ministre Souleïmane Coty DIAKITE, je voudrais rendre un hommage appuyé et mérité pour les importants chantiers qu’il a initié : l’attribution de la carte professionnelle aux journalistes; le soutien actif à une modernisation continue de nos médias du service public.
La dynamique que vous avez imprimée, Monsieur le Ministre, en partenariat avec des médias internationaux à travers des formations et des échanges permanents et assidus; votre implication décisive pour faire avancer le dossier très attendu de la libéralisation de l’audiovisuelle, ainsi que la tenue des Etats généraux de la presse ivoirienne sont autant d’acquis à préserver et mener à leur terme.
Je voudrais également rendre hommage au travail de tous vos collaborateurs.
Monsieur le Ministre ;
Chers collaborateurs ;
Honorables invités ;
Je situe mon action, dans la continuité de ce qui a été entrepris avec autant de réussite.
Mais il nous faudra parachever l’œuvre entamée et ouvrir de nouveaux chantiers. Le renforcement de l’indépendance de la presse, maillon essentiel de notre jeune démocratie est, certes un projet permanent. Il n’en demeure pas moins que son effectivité est un impératif catégorique.
Rendre notre presse nationale plus professionnelle et soucieuse de sa responsabilité dans l’édification d’une démocratie forte et enracinée dans nos valeurs est l’autre grand chantier qui me tient particulièrement à cœur.
Nous avons besoin d’une presse citoyenne, capable d’épouser, au-delà des clivages politiques et idéologiques, notre devoir de réconciliation.
Le chantier de la libéralisation audiovisuelle sera parachevé dans les meilleurs délais, sans oublier de porter une forte attention au basculement du numérique.
Je veillerai particulièrement, à l’application effective des résolutions des récents états généraux de la presse, en vue de l’amélioration de la situation des femmes et hommes de médias. Ce n’est qu’à ce prix que nous conforterons notre démocratie, et consoliderons la paix.
Je voudrais avant de clore ces propos, réitérer ma volonté de faire de ce Ministère important, un modèle de rigueur et d’exemplarité.
Pour cela, je dois pouvoir compter chers collaborateurs sur votre loyauté vis-vis de l’Etat et votre disponibilité.
Pour notre pays, nous devons rester mobilisé et donner le meilleur de nous.
Je dois pouvoir compter sur vous pour réussir ensemble notre noble mission.
Je vous remercie,
