Le Palais de la culture Bernard Dadié de Treichville, ce joyau offert par la Coopération chinoise à la Côte d’Ivoire depuis l’an 2001 perd au fil des ans, de sa superbe. En effet, la forte pluie qui s’est abattue dans la soirée du 23 novembre sur la ville d’Abidjan a mis en évidence le caractère difficilement praticable de la salle Anoumabo (la plus grande salle de cet édifice) en temps de pluie.
A l’occasion d’un défilé qui se tenait dans cette salle de 4000 places ce jour là, en présence d’un beau public et de plusieurs personnalités politiques et culturelles, les bâches qui servent de toitures à l’édifice n’ont pu empêcher les grosses gouttes de pluie de s’inviter à ce prestigieux défilé de mode. Conséquence: Fuyant les zones dont la pluie s’était érigée en maître, la foule dans sa débandade a créé un cafouillage dans la salle durant quelques minutes avant de retrouver son calme et sa sérénité. Que dire devant un tel spectacle?
Si ce n’est qu’une fois encore, le manque d’entretien risque d’avoir raison d’un édifice aussi important et prestigieux. Certes, l’on peut se féliciter de la réhabilitation de cet édifice après les dégâts qu’il a subis durant la crise postélectorale de 2011. Mais, l’état actuel, pour le moins inquiétant de la salle Anoumabo, devrait faire l’objet d’une attention particulière.
Francis Kouamé
A l’occasion d’un défilé qui se tenait dans cette salle de 4000 places ce jour là, en présence d’un beau public et de plusieurs personnalités politiques et culturelles, les bâches qui servent de toitures à l’édifice n’ont pu empêcher les grosses gouttes de pluie de s’inviter à ce prestigieux défilé de mode. Conséquence: Fuyant les zones dont la pluie s’était érigée en maître, la foule dans sa débandade a créé un cafouillage dans la salle durant quelques minutes avant de retrouver son calme et sa sérénité. Que dire devant un tel spectacle?
Si ce n’est qu’une fois encore, le manque d’entretien risque d’avoir raison d’un édifice aussi important et prestigieux. Certes, l’on peut se féliciter de la réhabilitation de cet édifice après les dégâts qu’il a subis durant la crise postélectorale de 2011. Mais, l’état actuel, pour le moins inquiétant de la salle Anoumabo, devrait faire l’objet d’une attention particulière.
Francis Kouamé