Les ex-travailleurs de l’ex-Trituraf de Bouaké tirent le diable par la queue depuis que cette entreprise a mis la clé sous le paillasson en 2007. Une délégation des ex-employés a rencontré le mardi 27 novembre 2012, à la Rue Lépic , le porte-parole principal du Rassemblement des Républicains (Rdr) , le ministre Joël N’Guessan, pour lui soumettre leurs préoccupations.
Après plus d’une heure d’échanges avec le ministre Joël N’Guessan, la porte-parole des ex-employés de l’ex-Trituraf de Bouaké , Mme Kouhon Solange Sizon, a expliqué qu’il s’agissait pour elle et ses collègues de soumettre leurs préoccupations au Rdr . Elle a souhaité que l’Etat ivoirien prenne ses responsabilités pour passer la main à des opérateurs économiques financièrement capables de faire redémarrer les activités de l’ex- Trituraf. En outre, les ex-travailleurs réclament leurs droits qui s’élèvent à environ 1milliard 800 millions de F CFA. «Aujourd’hui nous sommes 166 travailleurs en activités. La société a été concédée à celui qui proposait le moins. C’est ce qui nous intrigue dans l’affaire», a déploré la porte-parole des ex-travailleurs de l’ex-Trituraf. Qui estime que le démarrage des activités de cette société permettra non seulement de faire revivre la région de Gbêké, mais également donnera vie à la cotonculture que la plupart des cultivateurs ont abandonné pour la culture de l’anacarde. Pour sa part, le porte-parole du Rdr a pris l’engagement de trouver une solution aux problèmes auxquels sont confrontés les anciens employés de Trituraf. D’autant plus que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a fait de l’emploi l’une des priorités de son programme de gouvernement. «Ils ont exposé beaucoup de problèmes. Ceux-ci sont liés aux aspects économiques, financiers, sociaux et juridico-politiques qui sont contenus dans les mémorandums qui m’ont été remis. Je leur ai promis que des fiches seront établies et transmises à qui de droit pour qu’on trouve une solution heureuse à cette situation qui n’a que trop duré», a promis Joël N’Guessan à la délégation qui s’est faite accompagner par Nanan Akpê Laurent et Savané Ibrahim, respectivement chef de village et représentant de l’imamat d’Ahougnanssou, quartier qui abrite l’ex-Trituraf.
Touré Abdoulaye
Après plus d’une heure d’échanges avec le ministre Joël N’Guessan, la porte-parole des ex-employés de l’ex-Trituraf de Bouaké , Mme Kouhon Solange Sizon, a expliqué qu’il s’agissait pour elle et ses collègues de soumettre leurs préoccupations au Rdr . Elle a souhaité que l’Etat ivoirien prenne ses responsabilités pour passer la main à des opérateurs économiques financièrement capables de faire redémarrer les activités de l’ex- Trituraf. En outre, les ex-travailleurs réclament leurs droits qui s’élèvent à environ 1milliard 800 millions de F CFA. «Aujourd’hui nous sommes 166 travailleurs en activités. La société a été concédée à celui qui proposait le moins. C’est ce qui nous intrigue dans l’affaire», a déploré la porte-parole des ex-travailleurs de l’ex-Trituraf. Qui estime que le démarrage des activités de cette société permettra non seulement de faire revivre la région de Gbêké, mais également donnera vie à la cotonculture que la plupart des cultivateurs ont abandonné pour la culture de l’anacarde. Pour sa part, le porte-parole du Rdr a pris l’engagement de trouver une solution aux problèmes auxquels sont confrontés les anciens employés de Trituraf. D’autant plus que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a fait de l’emploi l’une des priorités de son programme de gouvernement. «Ils ont exposé beaucoup de problèmes. Ceux-ci sont liés aux aspects économiques, financiers, sociaux et juridico-politiques qui sont contenus dans les mémorandums qui m’ont été remis. Je leur ai promis que des fiches seront établies et transmises à qui de droit pour qu’on trouve une solution heureuse à cette situation qui n’a que trop duré», a promis Joël N’Guessan à la délégation qui s’est faite accompagner par Nanan Akpê Laurent et Savané Ibrahim, respectivement chef de village et représentant de l’imamat d’Ahougnanssou, quartier qui abrite l’ex-Trituraf.
Touré Abdoulaye