ABIDJAN - Des experts nationaux et internationaux ont débuté lundi à Abidjan un atelier de formation et de sensibilisation visant à enrayer le fléau du racket, a constaté Xinhua.
Selon le préfet de police d'Abidjan Benoït Kouadio, il s'agit d'envisager des solutions applicables à court terme, pour porter un coup de frein à cette pratique.
Le porte-parole de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) Abderamane Cissé a pour sa part fait état de la nécessité de trouver les mécanismes pour dynamiser les activités économiques en réduisant les tracasseries.
"A travers l'expérience de la CSCI, il sera question de sensibiliser les groupes-cibles, les populations et les forces de sécurité", a-t-il noté en substance.
Le racket et les tracasseries routières sont décriées de manière récurrente par les opérateurs économiques et les usagers de la route.
De l'avis de plusieurs observateurs, ce phénomène constitue un problème de société qui présente des incidences négatives sur l'économie ivoirienne.
Selon des statistiques, le racket représente 35 à 50 % des pertes en investissements.
Selon le préfet de police d'Abidjan Benoït Kouadio, il s'agit d'envisager des solutions applicables à court terme, pour porter un coup de frein à cette pratique.
Le porte-parole de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) Abderamane Cissé a pour sa part fait état de la nécessité de trouver les mécanismes pour dynamiser les activités économiques en réduisant les tracasseries.
"A travers l'expérience de la CSCI, il sera question de sensibiliser les groupes-cibles, les populations et les forces de sécurité", a-t-il noté en substance.
Le racket et les tracasseries routières sont décriées de manière récurrente par les opérateurs économiques et les usagers de la route.
De l'avis de plusieurs observateurs, ce phénomène constitue un problème de société qui présente des incidences négatives sur l'économie ivoirienne.
Selon des statistiques, le racket représente 35 à 50 % des pertes en investissements.