Madame la Première Vice-présidente de l’Assemblée Nationale, Représentant Monsieur SORO Kigbafori Guillaume, Président de l’Assemblée Nationale;
Mesdames et Messieurs les représentants des membres du Gouvernement;
Monsieur le Gouverneur du District d’Abidjan ;
Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée Nationale ;
Messieurs les présidents des instances de régulation et des organes d’autorégulation;
Mesdames et Messieurs les Présidents des Conseils d’Administration ;
Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Centraux ;
Messieurs les Présidents des associations professionnelles des médias ;
Monsieur le Président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) ;
Monsieur Christophe Boisbouvier, Journaliste à Radio France Internationale, invité d’honneur de l’UNJCI ;
Honorables et distingués invités de cette 14ème édition des EBONY ;
Mesdames et Messieurs, en vos titres, grades et qualités respectives,
Le destin a voulu que, seulement à quelques jours de ma prise de fonction, je sois amenée à prendre la parole ici, en tant que Ministre de la Communication, Porte-parole Adjointe du Gouvernement pour célébrer et consacrer les meilleurs journalistes de notre pays.
A ce titre, je voudrais vous souhaiter la bienvenue et vous dire combien je suis heureuse d’être parmi vous.
Je voudrais dans le même temps, remercier le Président de la République pour la confiance qu’il a placée en moi et dire que j’ai conscience des défis à relever.
Ma conviction et ma foi en une presse forte et indépendante sont inébranlables et celles du gouvernement aussi. Soyez en rassurés!
Ce soir, il me plaît également, au nom de l’ensemble des professionnels des médias, d’adresser mes sincères remerciements au Président de l’Assemblé Nationale, Son Excellence Monsieur SORO Kigbafori Guillaume, qui, je le rappelle, a été Ministre de la Communication.
Sans hésitation, il a accepté de nous accompagner aujourd’hui.
Madame la Première Vice-présidente, votre présence, en son nom nous honore car nous savons aussi votre passion pour la justice, l’égalité, la liberté et la fraternité.
A maintes autres occasions et plus particulièrement en mars dernier, Monsieur le président de l’Assemblée nationale était à la Maison de la Presse d’Abidjan, où il a inauguré le centre de santé qu’il a gracieusement offert aux professionnels de la communication.
Madame la Première Vice-présidente, nous comptons sur vous pour lui dire Merci pour son soutien constant au monde des médias.
Mes remerciements vont également aux membres du gouvernement ou à leurs représentants, dont la présence ici, témoigne de l’intérêt que nous portons à la profession et de notre compréhension du rôle primordial que vous jouez dans l’éducation des masses et pour votre contribution à la construction de la Démocratie.
Je n’oublie pas les opérateurs économiques. En dépit des effets négatifs de la crise postélectorale, ils continuent de soutenir le secteur des médias, par leur apport substantiel à la manne publicitaire.
«Médias et Réconciliation nationale», est le thème qui nous réunit ce soir, autour des champions de la plume et du micro.
Ce thème nous invite à encourager les journalistes, à prendre leur place, devrais-je dire?
Toute leur place, dans le processus de réconciliation entre les filles et les fils de notre chère Côte d’Ivoire, sans aucune exclusion!
Et pour nous aider à nous réconcilier, les médias doivent être le miroir de nos divergences, mais aussi et surtout de nos convergences. Ils doivent porter le message et informer dans la rigueur de la déontologie du métier si noble qu’ils ont choisi.
C’est le lieu de rejoindre Aimé Césaire qui disait, en parlant de son rôle d’écrivain : «Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir... »
Vous devez être rigoureux afin de vous en tenir aux faits, rien qu’aux faits pour porter la bonne information.
Je disais lors de l’une de mes visites sur le terrain dans les structures sous notre tutelle, que la mauvaise information peut conduire à la prise des mauvaises décisions, et donc que chacun peut être victime de ces mauvaises décisions si elles sont appliquées.
Par conséquent, je voudrais vous exhorter à rechercher constamment la vérité et pour paraphraser Karl Jaspers, célèbre psychologue et philosophe allemand et coller sa réflexion au journalisme :
« Le journalisme réside dans la recherche de la vérité, et non sa possession ; faire du journalisme, c’est être en route »
Mesdames, Messieurs, je ne saurais continuer sans dire combien pour nous, il est important d’assurer et de protéger la liberté d’expression et la pluralité des expressions divergentes. Vous devez être le reflet des opinions dans notre pays et nous aider par des critiques constructives.
Malgré la tragique parenthèse de la crise postélectorale vécue par tous - évènements dans lesquels les medias ont souvent joué un rôle, parfois trouble, sur lequel je ne vais pas insister, espérant que face à l’horreur chacun aura compris sa part de responsabilité et fait son mea culpa – le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara et le gouvernement ivoirien se sont résolument engagés dans une logique de protection de la presse et de la promotion d’un journalisme d’excellence, plutôt que de céder aux sirènes de la censure et du musèlement des médias.
Garantir la liberté et créer un environnement propice à l’exercice du noble métier de journaliste, ne sonne pas, pour les démocrates que nous sommes, comme une faveur, mais plutôt comme un devoir; parce que, nous restons convaincus qu’une vraie démocratie ne s’épanouit que là où les conditions de la liberté d’expression sont réunies.
Ainsi, le citoyen dans la société ne saurait donner le meilleur de lui-même s’il est privé de sa liberté de penser, de parler, de critiquer.
Les médias jouent, en effet, un rôle fondamental, dans la promotion de la démocratie, des libertés et de la bonne gouvernance, à une période où notre pays, qui se remet d’un grave et profond traumatisme, aspire ardemment à la réconciliation, au développement et à la prospérité.
C’est pourquoi, je me permets d’affirmer que ce thème vient à propos.
Qu’est ce qui, mieux que les écrits, les paroles, peut nous permettre d’évacuer les douloureux souvenirs de cette longue crise et nous aider à réapprendre à vivre ensemble, à partager la même espérance d’une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020? D’une Côte d’Ivoire prospère, généreuse et hospitalière?
Mes chers amis des médias, vous êtes interpellés ! Nous sommes interpellés !
La nation attend de vous, de nous, des médias qu’ils participent pleinement à la réconciliation des Ivoiriens, à travers un professionnalisme rigoureux, un sens des responsabilités aiguisé et un patriotisme correctement assumé.
On sait bien qu’entre la captation des faits in situ par l’instance médiatique et sa représentation publique dans un journal, il y a un processus de transformation.
Madame la première Vice-présidente de l’Assemblée Nationale, Mesdames et Messieurs, honorables invités, cette 14ème édition des EBONY est la 2ème après la crise postélectorale.
Nous attendons des lauréats de ce soir, qu’ils soient de véritables militants du journalisme professionnel, une référence pour nos jeunes, un exemple à suivre.
Donner son engagement pour les seules batailles qui vaillent aujourd’hui, celles de la paix et de la réconciliation, pour une Côte d’Ivoire prospère et démocratique.
Mon vœu le plus cher est que les vainqueurs de ce soir deviennent des modèles, dans une profession qui attire de plus en plus de jeunes, mais qui éprouve autant de peine à conserver ses talents.
Hier, au cours d’une visite à l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC), j’ai pu me rendre compte de la qualité de nos jeunes qui ne demandent qu’à ce qu’on leur donne une chance.
Pour ma part, je puis vous assurer que le gouvernement continuera à apporter un appui multiforme aux entreprises du secteur et aux journalistes, afin d’aider à hisser les médias ivoiriens au niveau des standards internationaux.
Dans les semaines et mois à venir, ensemble avec tous les professionnels de la communication, nous irons vers nos partenaires afin qu’ils multiplient les formations et nous aident par des moyens conséquents à sauvegarder la presse, les médias dans notre pays.
Mon action s’inscrit dans l’ambition du Président de la République de faire de notre pays à l’horizon 2020 un pays émergeant. Vous avez dû constater qu’il ne ménage pas ses efforts à aller chercher les investissements dont la Côte d’Ivoire a besoin pour atteindre ses objectifs.
Ne doutez point de la volonté du gouvernement et de mon ambition de construire et de fortifier la presse, la radio et la télévision, toutes libres, indépendantes et responsables. Mais cette liberté doit s’accompagner d’une responsabilité.
Je ne saurai terminer mon propos sans évoquer les grands défis qui nous attendent demain.
Ils sont nombreux et sont à relever:
- Le défi de l’amélioration permanente des contenus de nos médias qui doivent attirer tous les publics, lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs de la Radio.
- Le défi du passage à la télévision numérique que nous devons bien négocier afin de mettre notre pays sur le même pied d’égalité que tous les grands pays modernes et de satisfaire les besoins croissants de nos populations.
- Le défi de la libéralisation de l’espace Audiovisuel qui permettra de diversifier l’offre. Cela va demander, exiger un professionnalisme sans équivoque pour un besoin de survie de nos médias avec des mesures de Médiamétrie fiables.
- Le défi du renouvellement de nos capacités et des infrastructures pour un droit à l’information pour tous sur l’étendue du territoire, je dis bien TOUTE l’étendue du territoire.
Oui, la presse ivoirienne, la Radio comme la télévision, doit pouvoir s’exporter au-delà de nos frontières.
Cela est possible aujourd’hui avec les moyens techniques qu’il faudra développer pour que la Côte d’ivoire rayonne et attire les talents du monde en vue de son épanouissement intellectuel et de l’investissement économique.
Nous avons de grands atouts, de grandes ambitions dont certaines sont évoquées dans le Livre Blanc des Etats généraux de la presse, sachons les mettre au service de notre Pays pour qu’il brille encore plus fort.
Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente soirée.
Et vive les EBONY 2012.
Je vous remercie !
Mesdames et Messieurs les représentants des membres du Gouvernement;
Monsieur le Gouverneur du District d’Abidjan ;
Mesdames et Messieurs les députés de l’Assemblée Nationale ;
Messieurs les présidents des instances de régulation et des organes d’autorégulation;
Mesdames et Messieurs les Présidents des Conseils d’Administration ;
Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux et Centraux ;
Messieurs les Présidents des associations professionnelles des médias ;
Monsieur le Président de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) ;
Monsieur Christophe Boisbouvier, Journaliste à Radio France Internationale, invité d’honneur de l’UNJCI ;
Honorables et distingués invités de cette 14ème édition des EBONY ;
Mesdames et Messieurs, en vos titres, grades et qualités respectives,
Le destin a voulu que, seulement à quelques jours de ma prise de fonction, je sois amenée à prendre la parole ici, en tant que Ministre de la Communication, Porte-parole Adjointe du Gouvernement pour célébrer et consacrer les meilleurs journalistes de notre pays.
A ce titre, je voudrais vous souhaiter la bienvenue et vous dire combien je suis heureuse d’être parmi vous.
Je voudrais dans le même temps, remercier le Président de la République pour la confiance qu’il a placée en moi et dire que j’ai conscience des défis à relever.
Ma conviction et ma foi en une presse forte et indépendante sont inébranlables et celles du gouvernement aussi. Soyez en rassurés!
Ce soir, il me plaît également, au nom de l’ensemble des professionnels des médias, d’adresser mes sincères remerciements au Président de l’Assemblé Nationale, Son Excellence Monsieur SORO Kigbafori Guillaume, qui, je le rappelle, a été Ministre de la Communication.
Sans hésitation, il a accepté de nous accompagner aujourd’hui.
Madame la Première Vice-présidente, votre présence, en son nom nous honore car nous savons aussi votre passion pour la justice, l’égalité, la liberté et la fraternité.
A maintes autres occasions et plus particulièrement en mars dernier, Monsieur le président de l’Assemblée nationale était à la Maison de la Presse d’Abidjan, où il a inauguré le centre de santé qu’il a gracieusement offert aux professionnels de la communication.
Madame la Première Vice-présidente, nous comptons sur vous pour lui dire Merci pour son soutien constant au monde des médias.
Mes remerciements vont également aux membres du gouvernement ou à leurs représentants, dont la présence ici, témoigne de l’intérêt que nous portons à la profession et de notre compréhension du rôle primordial que vous jouez dans l’éducation des masses et pour votre contribution à la construction de la Démocratie.
Je n’oublie pas les opérateurs économiques. En dépit des effets négatifs de la crise postélectorale, ils continuent de soutenir le secteur des médias, par leur apport substantiel à la manne publicitaire.
«Médias et Réconciliation nationale», est le thème qui nous réunit ce soir, autour des champions de la plume et du micro.
Ce thème nous invite à encourager les journalistes, à prendre leur place, devrais-je dire?
Toute leur place, dans le processus de réconciliation entre les filles et les fils de notre chère Côte d’Ivoire, sans aucune exclusion!
Et pour nous aider à nous réconcilier, les médias doivent être le miroir de nos divergences, mais aussi et surtout de nos convergences. Ils doivent porter le message et informer dans la rigueur de la déontologie du métier si noble qu’ils ont choisi.
C’est le lieu de rejoindre Aimé Césaire qui disait, en parlant de son rôle d’écrivain : «Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir... »
Vous devez être rigoureux afin de vous en tenir aux faits, rien qu’aux faits pour porter la bonne information.
Je disais lors de l’une de mes visites sur le terrain dans les structures sous notre tutelle, que la mauvaise information peut conduire à la prise des mauvaises décisions, et donc que chacun peut être victime de ces mauvaises décisions si elles sont appliquées.
Par conséquent, je voudrais vous exhorter à rechercher constamment la vérité et pour paraphraser Karl Jaspers, célèbre psychologue et philosophe allemand et coller sa réflexion au journalisme :
« Le journalisme réside dans la recherche de la vérité, et non sa possession ; faire du journalisme, c’est être en route »
Mesdames, Messieurs, je ne saurais continuer sans dire combien pour nous, il est important d’assurer et de protéger la liberté d’expression et la pluralité des expressions divergentes. Vous devez être le reflet des opinions dans notre pays et nous aider par des critiques constructives.
Malgré la tragique parenthèse de la crise postélectorale vécue par tous - évènements dans lesquels les medias ont souvent joué un rôle, parfois trouble, sur lequel je ne vais pas insister, espérant que face à l’horreur chacun aura compris sa part de responsabilité et fait son mea culpa – le Président de la République, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara et le gouvernement ivoirien se sont résolument engagés dans une logique de protection de la presse et de la promotion d’un journalisme d’excellence, plutôt que de céder aux sirènes de la censure et du musèlement des médias.
Garantir la liberté et créer un environnement propice à l’exercice du noble métier de journaliste, ne sonne pas, pour les démocrates que nous sommes, comme une faveur, mais plutôt comme un devoir; parce que, nous restons convaincus qu’une vraie démocratie ne s’épanouit que là où les conditions de la liberté d’expression sont réunies.
Ainsi, le citoyen dans la société ne saurait donner le meilleur de lui-même s’il est privé de sa liberté de penser, de parler, de critiquer.
Les médias jouent, en effet, un rôle fondamental, dans la promotion de la démocratie, des libertés et de la bonne gouvernance, à une période où notre pays, qui se remet d’un grave et profond traumatisme, aspire ardemment à la réconciliation, au développement et à la prospérité.
C’est pourquoi, je me permets d’affirmer que ce thème vient à propos.
Qu’est ce qui, mieux que les écrits, les paroles, peut nous permettre d’évacuer les douloureux souvenirs de cette longue crise et nous aider à réapprendre à vivre ensemble, à partager la même espérance d’une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020? D’une Côte d’Ivoire prospère, généreuse et hospitalière?
Mes chers amis des médias, vous êtes interpellés ! Nous sommes interpellés !
La nation attend de vous, de nous, des médias qu’ils participent pleinement à la réconciliation des Ivoiriens, à travers un professionnalisme rigoureux, un sens des responsabilités aiguisé et un patriotisme correctement assumé.
On sait bien qu’entre la captation des faits in situ par l’instance médiatique et sa représentation publique dans un journal, il y a un processus de transformation.
Madame la première Vice-présidente de l’Assemblée Nationale, Mesdames et Messieurs, honorables invités, cette 14ème édition des EBONY est la 2ème après la crise postélectorale.
Nous attendons des lauréats de ce soir, qu’ils soient de véritables militants du journalisme professionnel, une référence pour nos jeunes, un exemple à suivre.
Donner son engagement pour les seules batailles qui vaillent aujourd’hui, celles de la paix et de la réconciliation, pour une Côte d’Ivoire prospère et démocratique.
Mon vœu le plus cher est que les vainqueurs de ce soir deviennent des modèles, dans une profession qui attire de plus en plus de jeunes, mais qui éprouve autant de peine à conserver ses talents.
Hier, au cours d’une visite à l’Institut des Sciences et Techniques de la Communication (ISTC), j’ai pu me rendre compte de la qualité de nos jeunes qui ne demandent qu’à ce qu’on leur donne une chance.
Pour ma part, je puis vous assurer que le gouvernement continuera à apporter un appui multiforme aux entreprises du secteur et aux journalistes, afin d’aider à hisser les médias ivoiriens au niveau des standards internationaux.
Dans les semaines et mois à venir, ensemble avec tous les professionnels de la communication, nous irons vers nos partenaires afin qu’ils multiplient les formations et nous aident par des moyens conséquents à sauvegarder la presse, les médias dans notre pays.
Mon action s’inscrit dans l’ambition du Président de la République de faire de notre pays à l’horizon 2020 un pays émergeant. Vous avez dû constater qu’il ne ménage pas ses efforts à aller chercher les investissements dont la Côte d’Ivoire a besoin pour atteindre ses objectifs.
Ne doutez point de la volonté du gouvernement et de mon ambition de construire et de fortifier la presse, la radio et la télévision, toutes libres, indépendantes et responsables. Mais cette liberté doit s’accompagner d’une responsabilité.
Je ne saurai terminer mon propos sans évoquer les grands défis qui nous attendent demain.
Ils sont nombreux et sont à relever:
- Le défi de l’amélioration permanente des contenus de nos médias qui doivent attirer tous les publics, lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs de la Radio.
- Le défi du passage à la télévision numérique que nous devons bien négocier afin de mettre notre pays sur le même pied d’égalité que tous les grands pays modernes et de satisfaire les besoins croissants de nos populations.
- Le défi de la libéralisation de l’espace Audiovisuel qui permettra de diversifier l’offre. Cela va demander, exiger un professionnalisme sans équivoque pour un besoin de survie de nos médias avec des mesures de Médiamétrie fiables.
- Le défi du renouvellement de nos capacités et des infrastructures pour un droit à l’information pour tous sur l’étendue du territoire, je dis bien TOUTE l’étendue du territoire.
Oui, la presse ivoirienne, la Radio comme la télévision, doit pouvoir s’exporter au-delà de nos frontières.
Cela est possible aujourd’hui avec les moyens techniques qu’il faudra développer pour que la Côte d’ivoire rayonne et attire les talents du monde en vue de son épanouissement intellectuel et de l’investissement économique.
Nous avons de grands atouts, de grandes ambitions dont certaines sont évoquées dans le Livre Blanc des Etats généraux de la presse, sachons les mettre au service de notre Pays pour qu’il brille encore plus fort.
Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente soirée.
Et vive les EBONY 2012.
Je vous remercie !