«Nous sommes pressés d’entendre la réaction de Sidy Diallo après le rejet de la candidature du président Jacques Anouma qui a pourtant tout pour diriger la Caf et donc de remplacer valablement le Camerounais Hayatou qui est là depuis 1988… ». C’est le cri de cœur d’un président d’un club de Ligue 1 qui, avec insistance a requis l’anonymat le 10 décembre 2012, à la suite du rejet de la candidature de son congénère Jacques Anouma. Comme lui, c’est une ribambelle d’aficionados du foot et de sportifs qui attendent la réaction de Sidy Diallo, le président de la Fédération ivoirienne de Football (Fif). «Il n’y avait vraiment pas d’urgence à précipiter notre parrainage» avait dit Sidy dans une interview sur le site internet de la Fif. Le Pdg de Ivoire Sépulture (Ivosep) devrait dorénavant se substituer aux Fédérations étrangères dont celle du Libéria. Qui avait protesté devant le Tribunal arbitral du Sport (Tas) afin que le droit soit dit. Sidy Diallo est face à l’histoire parce que maintenant il urge que la Fif, si elle ne veut pas se faire complice de ce guet-apens, dénonce cette traitrise. A l’mage du ministre de tutelle Alain Lobognon qui, sans hésiter, a pris son bâton de pèlerin pour aller contre cette décision antisportive et dénudée de fair-play.
«Je m’en voudrais si je n’invitais pas Transparency international à prendre publiquement position pour indiquer la voie de l’honnêteté et de la probité absolues à tous les dirigeants sportifs africains qui tripatouillent des textes dans un milieu où l’intégrité doit s’imposer à tous…», a promis Lobognon dans la presse. Avant de déplorer le fait que «…Quand les dirigeants sportifs imposent la tricherie dans le sport africain, c’est toute la noblesse du sport qui s’en trouve malheureusement trahie…». Le faisant, le ministre Alain Lobognon fait preuve d’équité, de patriotisme. C’est ce même et unique combat que mène la quasi-totalité de presse sportive ivoirienne. Qui, en interpellant Sidi Diallo, n’a nullement la présomption de soutirer des billets de banque à qui que ce soit.
Eugène Djabia
«Je m’en voudrais si je n’invitais pas Transparency international à prendre publiquement position pour indiquer la voie de l’honnêteté et de la probité absolues à tous les dirigeants sportifs africains qui tripatouillent des textes dans un milieu où l’intégrité doit s’imposer à tous…», a promis Lobognon dans la presse. Avant de déplorer le fait que «…Quand les dirigeants sportifs imposent la tricherie dans le sport africain, c’est toute la noblesse du sport qui s’en trouve malheureusement trahie…». Le faisant, le ministre Alain Lobognon fait preuve d’équité, de patriotisme. C’est ce même et unique combat que mène la quasi-totalité de presse sportive ivoirienne. Qui, en interpellant Sidi Diallo, n’a nullement la présomption de soutirer des billets de banque à qui que ce soit.
Eugène Djabia