Abidjan, le 13 Décembre 2012- Microsoft a procédé le jeudi 13 décembre 2012 à l’Université Nangui Abrogoua d’Abidjan au lancement de son programme YouthSpark à l’intention des jeunes ivoiriens. Ce programme, qui comporte entre autres une formation de 250 jeunes, durera 3 jours et sera destiné à créer des opportunités d’emploi pour les jeunes par les TIC. La cérémonie de lancement de cette initiative qui va permettre de développer les compétences, réduire le chômage des jeunes et de créer des solutions innovantes, a enregistré la présence d’Alain Logbognon, Ministre de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs.
Le sésame YouthSpark ouvert pour les jeunes ivoiriens
C’est dans l’Amphi C de l’Université Nangui Abrogoua, plein à craquer, que s’est ouverte la cérémonie de lancement du YouthSpark à Abidjan. Etudiants, enseignants, responsables de Microsoft étaient visiblement heureux de prendre part au lancement YouthSpark qui vise à apporter la contribution de Microsoft à la formation de 300 millions de jeunes à travers le monde sur les trois années à venir. En Côte d’Ivoire, dans la phase pilote du projet, 250 jeunes seront formés sur les applications BizSpark, DreamSpark et sur la plateforme entrepreneuriat Synapse. Bonne nouvelle aussi pour les adeptes de technologies car, Microsoft a profité de cette journée pour lancer officiellement en Afrique de l’Ouest et du Centre l’édition 2013 du plus grand concours numérique du monde, Imagine Cup, qui représente une énorme opportunité de création d’innovation et d’emploi pour les jeunes africains.
Ouvrant la série des allocutions pendant la cérémonie de lancement du YouthSpark, M. Tano Yao, président de l’Université Nangui Abrogoua s’est félicité du choix de son université pour le lancement du YouthSpark en Côte d’Ivoire. Il a salué Microsoft pour cette initiative et s’est réjoui de la mobilisation des étudiants, qui selon lui, témoigne de l’intérêt que ceux-ci accordent à ce programme, en particulier et aux TIC, en général.
YouthSpark est né d’un constat, dira Mme Djam Bakhshandegi, responsable de citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, Orientale, du Centre et des Iles de l’Océan Indien. Pour elle « Microsoft s’est rendu compte que les jeunes sont riches en potentiels et animés de passion, mais demeurent vulnérables aux crises économiques. Cette situation ne cesse de creuser l’écart entre les jeunes qui disposent de réseaux de compétences et opportunités pour réussir et ceux qui en sont dépourvu ». Ainsi a-t-elle poursuivi, « YouthSpark », qui signifie « étincelle de la jeunesse », garantira donc dans un premier temps à tous les 250 jeunes sélectionnés sans distinction de classe sociale, l’accès aux technologies, plateformes et contenus Microsoft pour favoriser leur employabilité et leur permettre de réaliser leur rêve ».
Intervenant pour le compte du directeur de Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre, M. Assanté Bazoumana, Directeur Commercial a fait savoir que Microsoft est présent en Afrique depuis 20 ans et attend « tirer profit de sa connaissance des réalités Africaines en matière de TIC pour réduire la fracture numérique et booster grâce à YouthSpark la compétitivité des jeunes ».
A sa suite, le Ministre Alain Logbognon, a indiqué que YouthSpark est une réelle opportunité pour les jeunes ivoiriens, car celle-ci se tient sous la bannière de Microsoft qui est pour lui « l’Himalaya » de l’informatique. Soulignant l’intérêt de ce programme, le Ministre de la promotion de jeunesse, du sport et des loisirs a estimé que celui-ci est en phase avec les ambitions du gouvernement Ivoirien. « Nous avons en commun avec Microsoft le projet « un jeune, un ordinateur » que nous voulons rendre possible avec le programme Carte Jeune que nous avons lancé récemment. Nous sommes aussi engagés dans l’élaboration du projet dénommé « Portail Mode d’emplois » qui vise, grâce à des partenariats, à établir une base de données fiables sur les jeunes de 18 à 41 ans pour nous permettre de réduire les fractures sociales et numériques entre ceux-ci », a expliqué le Ministre Alain Logbognon avant de préciser qu’en Côte d’Ivoire les jeunes sont ceux dont l’âge varie entre 16 et 35 ans.
Le bouquet d’initiatives YouthSpark dévoilé
A la suite des allocutions officielles, Mme Djam Bakhshandegi, responsable de la citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, de l’Est, du Centre et des Iles de l’Océan indien a présenté, sur la base de statistiques, la genèse du programme YouthSpark avant d’en montrer les enjeux et les impacts sur l’employabilité des jeunes. « YouthSpark, dit-elle, vise à donner aux jeunes les compétences, les outils et le réseau nécessaires à la révélation de leur potentiel. » « YouthSpark, a poursuivi Mme Djam, se focalise sur trois piliers essentiels : 1) faciliter l’accès à la formation, en particulier dans les situations où le lien avec l’éducation est difficile voire rompu ; 2) libérer le potentiel des talents de demain, en nourrissant leur inspiration et en les dotant des outils dont ils ont besoin ; 3) favoriser l’accès à l’emploi ou à la concrétisation de leur aventure entrepreneuriale.» Dans cet élan justement, Mme Djiba Diallo, Developers and Platform Manager chez Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre, a saisi l’occasion pour annoncer l’ouverture des candidatures concernant le célèbre concours numérique des jeunes, Imagine Cup 2013. Elle a rappelé les principes de la compétition en insistant sur l’opportunité que ces joutes technologiques représentent pour la jeunesse. La preuve, dit-elle, « Les gagnants ivoiriens de l’année 2013 ont, non seulement eu la possibilité de découvrir l’Australie, mais ils ont chacun gagné un Nokia Lumia 900 et un ordinateur tactile sur lequel était déjà installé Windows 8. Une équipe Ougandaise a gagné plus de 25 millions de francs CFA pour monter son projet et nous espérons que nous aurons encore plus de participants et surtout que nous aurons des gagnants en Côte d’Ivoire. » « Cette année la finale mondiale aura lieu en Russie en juillet 2013 » a-t-elle conclut.
Il faut préciser qu’en marge du lancement de YouthSpark, s’est tenue une conférence de presse animée par Microsoft et ses différents partenaires. A cette occasion, M. Assanté Bazoumana, directeur commercial de Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre a révélé aux journalistes qu’un projet d’acquisition de 500 000 ordinateurs par l’Etat de Côte d’Ivoire était en cours et que Microsoft a exprimé son adhésion à ce projet et est disposé à accompagner l’Etat, à travers la mise à disposition des solutions à des prix très compétitifs, étant entendu que la maîtrise des logiciels va de pair avec l’acquisition d’un matériel informatique (téléphone mobile ou ordinateur).
Répondant aux préoccupations des journalistes sur le coût de la formation, il a dit que ce programme était totalement gratuit et que celui-ci était destiné aux jeunes gens motivés pour leur permettre d’élaborer leur propre projet. Concernant la sélection des 250 jeunes, M. Tano Yao, Président de l’Université Nangui Abrogoua a dit que « celle-ci s’est faite au sein des Unités de Formations et de Recherches (UFR) des différentes universités. L’Université Nangui Abrogoua a fourni une centaine d’étudiants pour la formation ».
Les participants satisfaits de la formation
La formation animée par Mme Djam Bakhshandegi, responsable de la citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, de l’Est et du Centre et de l’Ocean Indien et M. El Hadji Niasse du cabinet de coaching en entreprenariat Synapse venu du Sénégal, a été particulièrement enrichissante. Les formations ont porté sur comment mener à bien des activités et les approches à avoir pour faire un bon bénéfice.
Pour Marie Paule Boua, Assistante comptable et sans emploi, la formation a été particulièrement enrichissante. « En venant je m’attendais à un lancement, la formation elle-même m’a surpris, mais elle m’a fait beaucoup de bien. Cette formation a été une bonne opportunité pour moi, car mon objectif a toujours été d’entreprendre. Celle-ci m’a donné plus d’outils pour être plus compétitive », s’est-elle réjouie.
Amani Kouassi, étudiant a aussi vu cette formation d’un bon œil. « Microsoft nous a donné cette formation pour nous amener à savoir comment avoir des idées et les mettre en exécution. Microsoft a travers cette formation, a pour ma part eu le flair, car cette formation répond aux attentes des jeunes ivoiriens », a –t-il précisé.
YouthSpark c’est une affaire de jeunes. Il est donc encourageant de voir que les jeunes se l’approprient déjà.
Le sésame YouthSpark ouvert pour les jeunes ivoiriens
C’est dans l’Amphi C de l’Université Nangui Abrogoua, plein à craquer, que s’est ouverte la cérémonie de lancement du YouthSpark à Abidjan. Etudiants, enseignants, responsables de Microsoft étaient visiblement heureux de prendre part au lancement YouthSpark qui vise à apporter la contribution de Microsoft à la formation de 300 millions de jeunes à travers le monde sur les trois années à venir. En Côte d’Ivoire, dans la phase pilote du projet, 250 jeunes seront formés sur les applications BizSpark, DreamSpark et sur la plateforme entrepreneuriat Synapse. Bonne nouvelle aussi pour les adeptes de technologies car, Microsoft a profité de cette journée pour lancer officiellement en Afrique de l’Ouest et du Centre l’édition 2013 du plus grand concours numérique du monde, Imagine Cup, qui représente une énorme opportunité de création d’innovation et d’emploi pour les jeunes africains.
Ouvrant la série des allocutions pendant la cérémonie de lancement du YouthSpark, M. Tano Yao, président de l’Université Nangui Abrogoua s’est félicité du choix de son université pour le lancement du YouthSpark en Côte d’Ivoire. Il a salué Microsoft pour cette initiative et s’est réjoui de la mobilisation des étudiants, qui selon lui, témoigne de l’intérêt que ceux-ci accordent à ce programme, en particulier et aux TIC, en général.
YouthSpark est né d’un constat, dira Mme Djam Bakhshandegi, responsable de citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, Orientale, du Centre et des Iles de l’Océan Indien. Pour elle « Microsoft s’est rendu compte que les jeunes sont riches en potentiels et animés de passion, mais demeurent vulnérables aux crises économiques. Cette situation ne cesse de creuser l’écart entre les jeunes qui disposent de réseaux de compétences et opportunités pour réussir et ceux qui en sont dépourvu ». Ainsi a-t-elle poursuivi, « YouthSpark », qui signifie « étincelle de la jeunesse », garantira donc dans un premier temps à tous les 250 jeunes sélectionnés sans distinction de classe sociale, l’accès aux technologies, plateformes et contenus Microsoft pour favoriser leur employabilité et leur permettre de réaliser leur rêve ».
Intervenant pour le compte du directeur de Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre, M. Assanté Bazoumana, Directeur Commercial a fait savoir que Microsoft est présent en Afrique depuis 20 ans et attend « tirer profit de sa connaissance des réalités Africaines en matière de TIC pour réduire la fracture numérique et booster grâce à YouthSpark la compétitivité des jeunes ».
A sa suite, le Ministre Alain Logbognon, a indiqué que YouthSpark est une réelle opportunité pour les jeunes ivoiriens, car celle-ci se tient sous la bannière de Microsoft qui est pour lui « l’Himalaya » de l’informatique. Soulignant l’intérêt de ce programme, le Ministre de la promotion de jeunesse, du sport et des loisirs a estimé que celui-ci est en phase avec les ambitions du gouvernement Ivoirien. « Nous avons en commun avec Microsoft le projet « un jeune, un ordinateur » que nous voulons rendre possible avec le programme Carte Jeune que nous avons lancé récemment. Nous sommes aussi engagés dans l’élaboration du projet dénommé « Portail Mode d’emplois » qui vise, grâce à des partenariats, à établir une base de données fiables sur les jeunes de 18 à 41 ans pour nous permettre de réduire les fractures sociales et numériques entre ceux-ci », a expliqué le Ministre Alain Logbognon avant de préciser qu’en Côte d’Ivoire les jeunes sont ceux dont l’âge varie entre 16 et 35 ans.
Le bouquet d’initiatives YouthSpark dévoilé
A la suite des allocutions officielles, Mme Djam Bakhshandegi, responsable de la citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, de l’Est, du Centre et des Iles de l’Océan indien a présenté, sur la base de statistiques, la genèse du programme YouthSpark avant d’en montrer les enjeux et les impacts sur l’employabilité des jeunes. « YouthSpark, dit-elle, vise à donner aux jeunes les compétences, les outils et le réseau nécessaires à la révélation de leur potentiel. » « YouthSpark, a poursuivi Mme Djam, se focalise sur trois piliers essentiels : 1) faciliter l’accès à la formation, en particulier dans les situations où le lien avec l’éducation est difficile voire rompu ; 2) libérer le potentiel des talents de demain, en nourrissant leur inspiration et en les dotant des outils dont ils ont besoin ; 3) favoriser l’accès à l’emploi ou à la concrétisation de leur aventure entrepreneuriale.» Dans cet élan justement, Mme Djiba Diallo, Developers and Platform Manager chez Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre, a saisi l’occasion pour annoncer l’ouverture des candidatures concernant le célèbre concours numérique des jeunes, Imagine Cup 2013. Elle a rappelé les principes de la compétition en insistant sur l’opportunité que ces joutes technologiques représentent pour la jeunesse. La preuve, dit-elle, « Les gagnants ivoiriens de l’année 2013 ont, non seulement eu la possibilité de découvrir l’Australie, mais ils ont chacun gagné un Nokia Lumia 900 et un ordinateur tactile sur lequel était déjà installé Windows 8. Une équipe Ougandaise a gagné plus de 25 millions de francs CFA pour monter son projet et nous espérons que nous aurons encore plus de participants et surtout que nous aurons des gagnants en Côte d’Ivoire. » « Cette année la finale mondiale aura lieu en Russie en juillet 2013 » a-t-elle conclut.
Il faut préciser qu’en marge du lancement de YouthSpark, s’est tenue une conférence de presse animée par Microsoft et ses différents partenaires. A cette occasion, M. Assanté Bazoumana, directeur commercial de Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre a révélé aux journalistes qu’un projet d’acquisition de 500 000 ordinateurs par l’Etat de Côte d’Ivoire était en cours et que Microsoft a exprimé son adhésion à ce projet et est disposé à accompagner l’Etat, à travers la mise à disposition des solutions à des prix très compétitifs, étant entendu que la maîtrise des logiciels va de pair avec l’acquisition d’un matériel informatique (téléphone mobile ou ordinateur).
Répondant aux préoccupations des journalistes sur le coût de la formation, il a dit que ce programme était totalement gratuit et que celui-ci était destiné aux jeunes gens motivés pour leur permettre d’élaborer leur propre projet. Concernant la sélection des 250 jeunes, M. Tano Yao, Président de l’Université Nangui Abrogoua a dit que « celle-ci s’est faite au sein des Unités de Formations et de Recherches (UFR) des différentes universités. L’Université Nangui Abrogoua a fourni une centaine d’étudiants pour la formation ».
Les participants satisfaits de la formation
La formation animée par Mme Djam Bakhshandegi, responsable de la citoyenneté de Microsoft Afrique de l’Ouest, de l’Est et du Centre et de l’Ocean Indien et M. El Hadji Niasse du cabinet de coaching en entreprenariat Synapse venu du Sénégal, a été particulièrement enrichissante. Les formations ont porté sur comment mener à bien des activités et les approches à avoir pour faire un bon bénéfice.
Pour Marie Paule Boua, Assistante comptable et sans emploi, la formation a été particulièrement enrichissante. « En venant je m’attendais à un lancement, la formation elle-même m’a surpris, mais elle m’a fait beaucoup de bien. Cette formation a été une bonne opportunité pour moi, car mon objectif a toujours été d’entreprendre. Celle-ci m’a donné plus d’outils pour être plus compétitive », s’est-elle réjouie.
Amani Kouassi, étudiant a aussi vu cette formation d’un bon œil. « Microsoft nous a donné cette formation pour nous amener à savoir comment avoir des idées et les mettre en exécution. Microsoft a travers cette formation, a pour ma part eu le flair, car cette formation répond aux attentes des jeunes ivoiriens », a –t-il précisé.
YouthSpark c’est une affaire de jeunes. Il est donc encourageant de voir que les jeunes se l’approprient déjà.