L’Avenir de l’Afrique réside dans le mobile, c’est le thème animé par Mr Samba Sène, Directeur Technocentre Africa dans une structure de téléphonie mobile de la place lors d’un after work technologique.
Cette rencontre organisée par Connectic Abidjan, dirigée par Bacely Yorobi a vue la participation de cadres d’entreprise, de professionnels et passionnés des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Faisant le bilan de près de 25ans d’intégration des tic dans le quotidien des populations en Afrique, avec plus de 650 millions d’unités, l’Afrique a dépassé les Etats-Unis et l’Europe en nombre de téléphones mobiles, cela n’a été possible qu’avec l’adaptation des besoins des africains (prépayé, mobile money, transfert…)
Le conférencier s’est étalé durant plus d’une heure sur les différents atouts liés aux technologies de l’information et de la communication et qui pourraient permettre un développement accru de l’Afrique. « Cependant tout ceci nécessite un assainissement de l’environnement socio politique et éducatif pour permettre des innovations ouvertes et inclusives dont le fer de lance est d’OSER ».
Cet after-work technologique, qui a soulevé des pans importants du rôle des tics pour un développement durable en Afrique, a été un réel cadre d’échange et d’information pour les cadres d’entreprise et de la jeunesse.
Rendez-vous est pris pour le mois de septembre pour d’autres rencontres.
Cette rencontre organisée par Connectic Abidjan, dirigée par Bacely Yorobi a vue la participation de cadres d’entreprise, de professionnels et passionnés des technologies de l’information et de la communication (TIC).
Faisant le bilan de près de 25ans d’intégration des tic dans le quotidien des populations en Afrique, avec plus de 650 millions d’unités, l’Afrique a dépassé les Etats-Unis et l’Europe en nombre de téléphones mobiles, cela n’a été possible qu’avec l’adaptation des besoins des africains (prépayé, mobile money, transfert…)
Le conférencier s’est étalé durant plus d’une heure sur les différents atouts liés aux technologies de l’information et de la communication et qui pourraient permettre un développement accru de l’Afrique. « Cependant tout ceci nécessite un assainissement de l’environnement socio politique et éducatif pour permettre des innovations ouvertes et inclusives dont le fer de lance est d’OSER ».
Cet after-work technologique, qui a soulevé des pans importants du rôle des tics pour un développement durable en Afrique, a été un réel cadre d’échange et d’information pour les cadres d’entreprise et de la jeunesse.
Rendez-vous est pris pour le mois de septembre pour d’autres rencontres.
