ABIDJAN, Les attaques récurrentes des éléphants dans des localités forestières du pays ont fait ces dernières semaines six morts parmi les villageois, a révélé lundi à Abidjan le ministre ivoirien des Eaux et Forêts Mathieu Babaut Darret.
Selon le ministre qui dressait un tableau de la dégradation de la faune et de la flore ivoirienne face à des journalistes, l'action humaine se trouve à la base de l'irruption répétée des éléphants dans des villages.
"L'on assiste à une destruction de l'habitat naturel de ces animaux qui par ailleurs sont menacés par les braconniers", a relevé M. Babaut Darret.
Le ministre a ainsi appelé à la sauvegarde et à la protection des forêts classées ainsi que des parcs et réserves.
"La forêt ivoirienne se porte mal. Si l'on n'y prend garde elle risque de disparaître avec tout ce qui qu'elle comporte comme faune et flore", a-t-il averti.
Les agressions de troupeaux d'éléphants sont récurrentes dans la le pays, notamment dans la région de Daloa (centre-ouest), semant l'inquiétude au sein des villageois.
La cohabitation devient ainsi difficile entre les pachydermes et les planteurs dont les exploitations agricoles sont saccagées.
A en croire des villageois, certains planteurs ont momentanément abandonné leurs plantations pour éviter de se retrouver nez-à-nez avec les éléphants agressifs.
En plus de s'attaquer aux plantations, les éléphants font irruption de manière sporadique dans des villages, occasionnant des oppositions meurtrières.
Les autorités forestières et les experts entendent conjuguer leurs efforts pour trouver une solution.
L'éléphant qui représente le symbole de la République de Côte d'Ivoire fait partie des espèces protégées dans le pays.
Selon le ministre qui dressait un tableau de la dégradation de la faune et de la flore ivoirienne face à des journalistes, l'action humaine se trouve à la base de l'irruption répétée des éléphants dans des villages.
"L'on assiste à une destruction de l'habitat naturel de ces animaux qui par ailleurs sont menacés par les braconniers", a relevé M. Babaut Darret.
Le ministre a ainsi appelé à la sauvegarde et à la protection des forêts classées ainsi que des parcs et réserves.
"La forêt ivoirienne se porte mal. Si l'on n'y prend garde elle risque de disparaître avec tout ce qui qu'elle comporte comme faune et flore", a-t-il averti.
Les agressions de troupeaux d'éléphants sont récurrentes dans la le pays, notamment dans la région de Daloa (centre-ouest), semant l'inquiétude au sein des villageois.
La cohabitation devient ainsi difficile entre les pachydermes et les planteurs dont les exploitations agricoles sont saccagées.
A en croire des villageois, certains planteurs ont momentanément abandonné leurs plantations pour éviter de se retrouver nez-à-nez avec les éléphants agressifs.
En plus de s'attaquer aux plantations, les éléphants font irruption de manière sporadique dans des villages, occasionnant des oppositions meurtrières.
Les autorités forestières et les experts entendent conjuguer leurs efforts pour trouver une solution.
L'éléphant qui représente le symbole de la République de Côte d'Ivoire fait partie des espèces protégées dans le pays.