Bouaflé, La population de Bouaflé, notamment les femmes se disent prêtes à observer les méthodes de planification familiale et à suivre les étapes liées à une grossesse, a constaté lundi l’AIP lors d’un micro-trottoir.
« J’ai entendu ce que les gens ont dit et désormais je vais utiliser les pilules jusqu’à ce que j’ai envie de faire un autre enfant », a déclaré Traoré Aminata, commerçante, promettant d’en parler à son mari avec qui elle a déjà deux enfants.
Quant à Fanta Coulibaly, vendeuse de chaussures, elle se dit déterminée à attendre désormais deux ans avant de faire un autre enfant, comme l’ont indiqué les agents du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida. « Je ferai tout pour convaincre mon mari pour qu’il accepte deux ans avant d’avoir encore un bébé même si ça sera difficile », reconnaît-elle, ajoutant qu’elle est à son troisième enfant en quatre ans.
Goré lou Amandine, restauratrice portant une grossesse de trois mois, s’est félicitée de cette campagne et a donné l’assurance qu’elle se rendra constamment à l’hôpital pour sa santé et celle de son futur bébé, comme l’a conseillée une sage-femme à cette campagne de sensibilisation. « Je comprends maintenant pourquoi on nous dit de partir souvent à la maternité, c’est pour que nous puissions bien accoucher sans saigner », a-t-elle fait savoir, avec un large sourire.
Cette détermination est partagée par Touvoly Jérôme, fonctionnaire qui a apprécié les conseils prodigués par les agents de la santé. Il a promis de les respecter en utilisant les préservatifs pour éviter les maladies et les grossesses non désirées avec sa femme. « Je sais que ça ne sera pas facile mais je ferai l’effort à mon niveau », a-t-il dit.
Lors d’une caravane initiée le 12 décembre à Bouaflé par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, avec l’appui du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), les populations ont été sensibilisées sur le bien-fondé de l’utilisation des services de santé de reproduction et des méthodes contraceptives.
Cette campagne de sensibilisation qui a débuté le 22 novembre à Tiassalé, avait pour but d’exhorter les femmes en grossesse à se rendre au moins quatre fois dans un centre de santé, d’accoucher à la maternité et d`y demeurer durant quelques jours sur conseil de la sage-femme et enfin, d`attendre au moins deux ans avant de faire un autre enfant.
(AIP)
zaar/cmas
« J’ai entendu ce que les gens ont dit et désormais je vais utiliser les pilules jusqu’à ce que j’ai envie de faire un autre enfant », a déclaré Traoré Aminata, commerçante, promettant d’en parler à son mari avec qui elle a déjà deux enfants.
Quant à Fanta Coulibaly, vendeuse de chaussures, elle se dit déterminée à attendre désormais deux ans avant de faire un autre enfant, comme l’ont indiqué les agents du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida. « Je ferai tout pour convaincre mon mari pour qu’il accepte deux ans avant d’avoir encore un bébé même si ça sera difficile », reconnaît-elle, ajoutant qu’elle est à son troisième enfant en quatre ans.
Goré lou Amandine, restauratrice portant une grossesse de trois mois, s’est félicitée de cette campagne et a donné l’assurance qu’elle se rendra constamment à l’hôpital pour sa santé et celle de son futur bébé, comme l’a conseillée une sage-femme à cette campagne de sensibilisation. « Je comprends maintenant pourquoi on nous dit de partir souvent à la maternité, c’est pour que nous puissions bien accoucher sans saigner », a-t-elle fait savoir, avec un large sourire.
Cette détermination est partagée par Touvoly Jérôme, fonctionnaire qui a apprécié les conseils prodigués par les agents de la santé. Il a promis de les respecter en utilisant les préservatifs pour éviter les maladies et les grossesses non désirées avec sa femme. « Je sais que ça ne sera pas facile mais je ferai l’effort à mon niveau », a-t-il dit.
Lors d’une caravane initiée le 12 décembre à Bouaflé par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, avec l’appui du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), les populations ont été sensibilisées sur le bien-fondé de l’utilisation des services de santé de reproduction et des méthodes contraceptives.
Cette campagne de sensibilisation qui a débuté le 22 novembre à Tiassalé, avait pour but d’exhorter les femmes en grossesse à se rendre au moins quatre fois dans un centre de santé, d’accoucher à la maternité et d`y demeurer durant quelques jours sur conseil de la sage-femme et enfin, d`attendre au moins deux ans avant de faire un autre enfant.
(AIP)
zaar/cmas