Les regards sont toujours tournés vers Alain Richard Donwahi, Secrétaire exécutif du CNS qui est invité à transmettre la liste des agents omis à l’heure où le paiement des arriérés de salaires s’effectue, afin que ceux-ci soient pris en compte par l’ADDR.
Le paiement des 2 mois d’arriérés de salaires des agents des les structures et programmes étatiques intervenant dans les domaines de la reconstruction et la réhabilitation communautaire post crise dissoutes au nombre desquelles le PNRRC, le PSCN, le FNS, l’ANARREC a effectivement démarré le jeudi dernier dans une banque de la place. On pourrait dire que le bras de fer n’a pas eu lieu, en raison, selon nos informations, de l’implication du Président de la République qui a entendu le cri de cœur desdits agents. En effet, il a instruit à ses services de répondre avec diligence à leurs préoccupations. C’est ainsi que l’Agence de Désarmement, de Démobilisation et de Réinsertion (ADDR), structure née sur les cendres de celles dissoutes (effectivement) en novembre dernier a pris attache avec le collectif de ces ex-agents pour donner suite à leurs revendications sur la base d’un document commandité par le Secrétaire exécutif du Conseil national de Sécurité (CNS), Alain Richard Donwahi. Cependant à peine les ex-agents ont commencé à passer à la caisse pour leur différent paiement que l’on s’est rendu compte que le nom de certaines personnes ne figurait pas sur le fichier transmis à la banque. Pis, il n’est pas fait cas d’elles dans le rapport d’audit que le CNS a adressé à l’ADDR et qui devrait servir de repère. Cela reviendrait à dire que soit ses personnes ne font pas partie de l’effectif des structures dissoutes, soit ces personnes n’ont pas droit aux salaires de la période concernée notamment septembre et octobre 2012. A la vérité, ces arguments ne sont nullement fondés ; dans la mesure où au titre du paiement (le 21 septembre) de l’arriéré de salaire du mois d’août dernier, tout le monde a été pris en compte. Mais pourquoi, n’est-ce pas le cas pour les deux mois d’arriérés en question qui ont été suivis début novembre de la décision de fin de contrat de tous les agents (sans exception) par le CNS.
En attendant, le paiement des droits légaux
De toute évidence, le collectif des agents des ex-structures de réinsertion ont saisi les autorités compétentes à savoir l’ADDR dirigée par Fidel Sarassoro, pour que cette question soit réglée avec diligence à travers la prise en compte de leurs camarades qui pour la plupart sont des fonctionnaires. L’instruction du Président de la République dont l’objectif était d’apaiser tous les travailleurs desdites structures en attendant le paiement intégral de leurs droits – programmé dans le courant du mois de janvier 2013 – n’aura pas été suivie, assurément ; étant donné qu’il y a toujours des grincements de dents.
Par ailleurs, s’agissant du paiement des droits légaux (mesures d’accompagnement), lors des discussions, M. Donwahi a clairement indiqué que cela se fera en fonction du type de contrat de chaque agent. Sur ce point, effectivement, les fonctionnaires ne seraient pas pris en compte. Ce qui n’est pas le cas pour les arriérés de salaires qui concernent tous les agents sans distinction. De plus, lors des discussions avec le Secrétaire exécutif du CNS, le paiement des arriérés de tous les agents était l’un des points acquis. Le collectif qui souhaite que cette question soit réglée au plus vite avant les fêtes de fin d’année, devrait se réunir, de toute évidence, en début de semaine prochaine. Il décidera de la conduite à tenir, en fonction du retour attendu du CNS.
Joint en fin d’après-midi du vendredi, un responsable du collectif a salué le démarrage du paiement des deux (2) mois d’arriérés de salaire mais insiste pour que tous le monde sans distinction, soit pris en compte ». Les paiements devront se poursuivre en début de semaine pour permettre à tous les agents de pouvoir passer à la caisse et s’offrir une petite fête même si le plus dur reste à venir.
Le service communication
Le paiement des 2 mois d’arriérés de salaires des agents des les structures et programmes étatiques intervenant dans les domaines de la reconstruction et la réhabilitation communautaire post crise dissoutes au nombre desquelles le PNRRC, le PSCN, le FNS, l’ANARREC a effectivement démarré le jeudi dernier dans une banque de la place. On pourrait dire que le bras de fer n’a pas eu lieu, en raison, selon nos informations, de l’implication du Président de la République qui a entendu le cri de cœur desdits agents. En effet, il a instruit à ses services de répondre avec diligence à leurs préoccupations. C’est ainsi que l’Agence de Désarmement, de Démobilisation et de Réinsertion (ADDR), structure née sur les cendres de celles dissoutes (effectivement) en novembre dernier a pris attache avec le collectif de ces ex-agents pour donner suite à leurs revendications sur la base d’un document commandité par le Secrétaire exécutif du Conseil national de Sécurité (CNS), Alain Richard Donwahi. Cependant à peine les ex-agents ont commencé à passer à la caisse pour leur différent paiement que l’on s’est rendu compte que le nom de certaines personnes ne figurait pas sur le fichier transmis à la banque. Pis, il n’est pas fait cas d’elles dans le rapport d’audit que le CNS a adressé à l’ADDR et qui devrait servir de repère. Cela reviendrait à dire que soit ses personnes ne font pas partie de l’effectif des structures dissoutes, soit ces personnes n’ont pas droit aux salaires de la période concernée notamment septembre et octobre 2012. A la vérité, ces arguments ne sont nullement fondés ; dans la mesure où au titre du paiement (le 21 septembre) de l’arriéré de salaire du mois d’août dernier, tout le monde a été pris en compte. Mais pourquoi, n’est-ce pas le cas pour les deux mois d’arriérés en question qui ont été suivis début novembre de la décision de fin de contrat de tous les agents (sans exception) par le CNS.
En attendant, le paiement des droits légaux
De toute évidence, le collectif des agents des ex-structures de réinsertion ont saisi les autorités compétentes à savoir l’ADDR dirigée par Fidel Sarassoro, pour que cette question soit réglée avec diligence à travers la prise en compte de leurs camarades qui pour la plupart sont des fonctionnaires. L’instruction du Président de la République dont l’objectif était d’apaiser tous les travailleurs desdites structures en attendant le paiement intégral de leurs droits – programmé dans le courant du mois de janvier 2013 – n’aura pas été suivie, assurément ; étant donné qu’il y a toujours des grincements de dents.
Par ailleurs, s’agissant du paiement des droits légaux (mesures d’accompagnement), lors des discussions, M. Donwahi a clairement indiqué que cela se fera en fonction du type de contrat de chaque agent. Sur ce point, effectivement, les fonctionnaires ne seraient pas pris en compte. Ce qui n’est pas le cas pour les arriérés de salaires qui concernent tous les agents sans distinction. De plus, lors des discussions avec le Secrétaire exécutif du CNS, le paiement des arriérés de tous les agents était l’un des points acquis. Le collectif qui souhaite que cette question soit réglée au plus vite avant les fêtes de fin d’année, devrait se réunir, de toute évidence, en début de semaine prochaine. Il décidera de la conduite à tenir, en fonction du retour attendu du CNS.
Joint en fin d’après-midi du vendredi, un responsable du collectif a salué le démarrage du paiement des deux (2) mois d’arriérés de salaire mais insiste pour que tous le monde sans distinction, soit pris en compte ». Les paiements devront se poursuivre en début de semaine pour permettre à tous les agents de pouvoir passer à la caisse et s’offrir une petite fête même si le plus dur reste à venir.
Le service communication