La communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) va présenter un rapport contenant les engagements et les recommandations de ses pays membres à la 57ème Commission de la condition de la femme (CSW, selon le sigle anglais), a affirmé vendredi à Dakar, Penda Seck Diouf, présidente du Comité sénégalais de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles (CLVF).
«Ce rapport sera composé des rapports nationaux qui intégreront à leur tour, ceux des organisations féminines et la société civile. Il sera présenté à la CSW», a dit Mme Diouf.
Elle s'exprimait en marge d'un atelier d'une journée sur le «renforcement des capacités des organisations de la société civile sur la prévention et l'élimination des violences faites aux femmes et aux filles».
Organisé par le CLVF, l'association des femmes africaines pour la recherche et le développement (AFARD) et ONU-Femmes dans le cadre du projet pour le renforcement de la contribution des organisations de femmes de la CEDEAO avant, pendant et après la 57ème Commission de la Condition de la Femme qui se tient du 04 au 13 mars 2013 à New-York.
Au niveau pays, c'est le CVLF qui est chargé de la coordination du processus de préparation de cette rencontre autour de 50 organisations, pendant que l'AFARD coordonne la démarche dans 10 pays ouest africains, à savoir le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée Conakry, le Libéria, le Mali, le Niger, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo.
Le rapport de la CEDEAO va confiner les engagements et les recommandations des Etats en matière de lutte contre les violences basées sur le genre.
«C'est pourquoi, il y a un travail à mener après la CSW pour que les Etats appliquent les termes du rapport», a précisé Mme Diouf, présidente du CLVF.
«C'est pourquoi, a ajouté Odile Ndoumbé Faye, secrétaire exécutive de l'AFARD, avant la CSW nous accompagnerons les organisations féminines à élaborer leurs rapports.
Pendant la rencontre, il s'agira de voir comment faire un travail d'interpellation des gouvernements sur la question, et après, nous ferons un travail de restitution et de plaidoyer pour l'application du rapport».
L'édition 2013 de la 57ème session de la Commission de la Condition de la Femme se tient sous le thème : «l'élimination des violences faites aux femmes et aux filles».
La CSW est une commission fonctionnelle du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), consacrée exclusivement à la promotion de l'égalité des sexes et de la femme.
Chaque année, des représentant(e)s des Etats Membres se réunissent au Siège des Nations Unies à New York pour évaluer les progrès accomplis au niveau de l'égalité des sexes, identifier les défis, établir des normes mondiales et élaborer des politiques concrètes pour promouvoir l'égalité des sexes et la promotion des femmes à travers le monde.
«Ce rapport sera composé des rapports nationaux qui intégreront à leur tour, ceux des organisations féminines et la société civile. Il sera présenté à la CSW», a dit Mme Diouf.
Elle s'exprimait en marge d'un atelier d'une journée sur le «renforcement des capacités des organisations de la société civile sur la prévention et l'élimination des violences faites aux femmes et aux filles».
Organisé par le CLVF, l'association des femmes africaines pour la recherche et le développement (AFARD) et ONU-Femmes dans le cadre du projet pour le renforcement de la contribution des organisations de femmes de la CEDEAO avant, pendant et après la 57ème Commission de la Condition de la Femme qui se tient du 04 au 13 mars 2013 à New-York.
Au niveau pays, c'est le CVLF qui est chargé de la coordination du processus de préparation de cette rencontre autour de 50 organisations, pendant que l'AFARD coordonne la démarche dans 10 pays ouest africains, à savoir le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée Conakry, le Libéria, le Mali, le Niger, le Nigéria, le Sénégal, la Sierra Leone et le Togo.
Le rapport de la CEDEAO va confiner les engagements et les recommandations des Etats en matière de lutte contre les violences basées sur le genre.
«C'est pourquoi, il y a un travail à mener après la CSW pour que les Etats appliquent les termes du rapport», a précisé Mme Diouf, présidente du CLVF.
«C'est pourquoi, a ajouté Odile Ndoumbé Faye, secrétaire exécutive de l'AFARD, avant la CSW nous accompagnerons les organisations féminines à élaborer leurs rapports.
Pendant la rencontre, il s'agira de voir comment faire un travail d'interpellation des gouvernements sur la question, et après, nous ferons un travail de restitution et de plaidoyer pour l'application du rapport».
L'édition 2013 de la 57ème session de la Commission de la Condition de la Femme se tient sous le thème : «l'élimination des violences faites aux femmes et aux filles».
La CSW est une commission fonctionnelle du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC), consacrée exclusivement à la promotion de l'égalité des sexes et de la femme.
Chaque année, des représentant(e)s des Etats Membres se réunissent au Siège des Nations Unies à New York pour évaluer les progrès accomplis au niveau de l'égalité des sexes, identifier les défis, établir des normes mondiales et élaborer des politiques concrètes pour promouvoir l'égalité des sexes et la promotion des femmes à travers le monde.