En ce début d’année 2013, les 16 équipes qualifiées pour la Can 2013, dans le starting-block, s’activent pour se donner la forme pour s’adjuger la victoire. Même si, dans une telle compétition, toutes les équipes se valent, certaines sont plus attendues que d’autres. 16 équipes, un seul trophée, un vainqueur. Pour la Coupe d’Afrique des nations 2013 qui se déroulera du 19 janvier au 10 février 2013 en Afrique du Sud, Can à laquelle la Zambie, vainqueur de la campagne de 2012, mettra son titre en jeu, les prétendants abondent. Il y a les favoris, ceux qui le sont moins mais qui peuvent créer la surprise et les tocards qui joueront les trouble-fêtes.
La Côte d’Ivoire et les autres…
Comme en 2012 en Guinée équatoriale et au Gabon, la Côte d’Ivoire est perçue comme le pays favori de la 29e édition de la Can en Afrique du sud. Les Eléphants apparaissent donc comme l’équipe à abattre. Auréolés de leur statut de première équipe africaine au dernier classement Fifa qui, d’ailleurs, les place au 14e rang mondial avant le Brésil et bien d’autres grandes nations du football, ils sont vus par les analystes comme le plus sérieux prétendant pouvant conquérir dame coupe. D’ailleurs, sa constellation de grands joueurs tels que Didier Drogba, Yaya Touré (ballon d’or africain) et bien d’autres jeunes talents aux dents longues, renforce cette conviction que la Can 2013 ne peut qu’atterrir sur les bords de la lagune Ebrié. Cependant, force est de reconnaitre que la Côte d’Ivoire a habitué le monde à des revirements de situation spectaculaire au point où certaines langues disent que la Côte d’Ivoire est "un géant au pied d’argile". Toujours dans le carré jusqu’à se payer le ticket de finaliste avant de tirer dans le décor. Les Eléphants auront donc à lutter contre leurs adversaires et contre eux-mêmes pour briser le signe indien. D’autant qu’il y a toujours parmi les 16 équipes participantes quelques-unes pour déjouer tous les pronostics pour se hisser sur le toit de l’Afrique. Il y a la Zambie, le tenant du titre avec son atypique entraineur Hervé Renard, qui a déjà plié l’échine à la Côte d’Ivoire. Le Ghana, le Mali, le Burkina Faso sont de gros morceaux auxquels il faut faire très attention.
Les intermédiaires…
Certaines équipes, si elles se préparent dans des conditions idoines, pourraient bien se hisser au niveau de celles dites favorites. L’Afrique du sud fait partie de ce lot. En effet, bien que les Bafana Bafana ne soient plus que l’ombre d’eux-mêmes depuis une dizaine d’années, l’Afrique du sud, pays organisateur, vainqueur de la compétition en 1996, absente lors de la dernière Can en Guinée équatoriale et au Gabon, voudra chercher à convaincre son public. Il faut compter aussi avec la Tunisie, le Maroc, l’Algérie qui, en pleine renaissance, pourraient se faire entendre. L’Angola en 2012 a montré qu’il a de réels potentiels pouvant lui permettre d’aller loin dans cette compétition. Il ne faut pas oublier le Nigeria qui est à la quête d’un repositionnement continental. Le Togo devra se débarrasser de ses querelles intestines pour conserver ses chances de se faire respecter en Afrique du sud.
Les trouble-fêtes
L’Ethiopie (qui a inauguré la première Can de l’histoire en 1957 avec le Soudan et l`Égypte et l’a même gagnée en 1962) revient au niveau continental, 30 ans après. La motivation est grande qui pourrait être un élément dopant. Quant à la Rdc, son entraineur, Claude Leroy, a déclaré, le jeudi 25 octobre dernier, que son équipe dispose d’ «une chance de passer au second tour de la Can- Afrique du sud 2013, si la préparation se déroule dans de bonnes conditions». Avec ce vieux de la vieille, les Congolais entendent créer la surprise. Le Niger qui était de la campagne de 2012 au Gabon pourrait tirer les leçons du passé pour une meilleure prestation en Afrique du sud. Le Cap vert qui a tombé le Cameroun entend réussir d’autres exploits à cette phase finale de la Can 2013.
La Côte d’Ivoire et les autres…
Comme en 2012 en Guinée équatoriale et au Gabon, la Côte d’Ivoire est perçue comme le pays favori de la 29e édition de la Can en Afrique du sud. Les Eléphants apparaissent donc comme l’équipe à abattre. Auréolés de leur statut de première équipe africaine au dernier classement Fifa qui, d’ailleurs, les place au 14e rang mondial avant le Brésil et bien d’autres grandes nations du football, ils sont vus par les analystes comme le plus sérieux prétendant pouvant conquérir dame coupe. D’ailleurs, sa constellation de grands joueurs tels que Didier Drogba, Yaya Touré (ballon d’or africain) et bien d’autres jeunes talents aux dents longues, renforce cette conviction que la Can 2013 ne peut qu’atterrir sur les bords de la lagune Ebrié. Cependant, force est de reconnaitre que la Côte d’Ivoire a habitué le monde à des revirements de situation spectaculaire au point où certaines langues disent que la Côte d’Ivoire est "un géant au pied d’argile". Toujours dans le carré jusqu’à se payer le ticket de finaliste avant de tirer dans le décor. Les Eléphants auront donc à lutter contre leurs adversaires et contre eux-mêmes pour briser le signe indien. D’autant qu’il y a toujours parmi les 16 équipes participantes quelques-unes pour déjouer tous les pronostics pour se hisser sur le toit de l’Afrique. Il y a la Zambie, le tenant du titre avec son atypique entraineur Hervé Renard, qui a déjà plié l’échine à la Côte d’Ivoire. Le Ghana, le Mali, le Burkina Faso sont de gros morceaux auxquels il faut faire très attention.
Les intermédiaires…
Certaines équipes, si elles se préparent dans des conditions idoines, pourraient bien se hisser au niveau de celles dites favorites. L’Afrique du sud fait partie de ce lot. En effet, bien que les Bafana Bafana ne soient plus que l’ombre d’eux-mêmes depuis une dizaine d’années, l’Afrique du sud, pays organisateur, vainqueur de la compétition en 1996, absente lors de la dernière Can en Guinée équatoriale et au Gabon, voudra chercher à convaincre son public. Il faut compter aussi avec la Tunisie, le Maroc, l’Algérie qui, en pleine renaissance, pourraient se faire entendre. L’Angola en 2012 a montré qu’il a de réels potentiels pouvant lui permettre d’aller loin dans cette compétition. Il ne faut pas oublier le Nigeria qui est à la quête d’un repositionnement continental. Le Togo devra se débarrasser de ses querelles intestines pour conserver ses chances de se faire respecter en Afrique du sud.
Les trouble-fêtes
L’Ethiopie (qui a inauguré la première Can de l’histoire en 1957 avec le Soudan et l`Égypte et l’a même gagnée en 1962) revient au niveau continental, 30 ans après. La motivation est grande qui pourrait être un élément dopant. Quant à la Rdc, son entraineur, Claude Leroy, a déclaré, le jeudi 25 octobre dernier, que son équipe dispose d’ «une chance de passer au second tour de la Can- Afrique du sud 2013, si la préparation se déroule dans de bonnes conditions». Avec ce vieux de la vieille, les Congolais entendent créer la surprise. Le Niger qui était de la campagne de 2012 au Gabon pourrait tirer les leçons du passé pour une meilleure prestation en Afrique du sud. Le Cap vert qui a tombé le Cameroun entend réussir d’autres exploits à cette phase finale de la Can 2013.