Abidjan – Les journalistes économiques ont pris part, vendredi, à une formation sur les outils d’appréciation des données financières et bancaires, à l’initiative de l’Association des professionnels des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (APBEF-CI).
L’atelier animé par Yao Kouassi, premier vice-président de l’APBEF-CI, a permis aux journalistes de comprendre les états financiers d’une banque, notamment les notions de bilan, d’actif et de passif, les comptes de résultats.
Il s’est agi aussi de savoir comment analyser les performances d’une banque à travers les ratios de gestion ainsi quelques données d’analyse approfondie.
Ces données, a-t-il expliqué, sont liées à l’adéquation des fonds propres, à la qualité des actifs, à la capacité de gestion des risques, à l’expertise du management et aussi à la qualité des revenus, à la liquidité, à l’environnement et à la taille de la banque et ses parts de marché.
Selon M. Yao Kouassi, l’activité bancaire est le métier le plus réglementé au monde. Il a cité, à cet effet, des indicateurs fixant à 25% des fonds propres de la banque, l’ensemble des prêts consentis ou encore les prises de participation ne devant pas dépasser 15% du capital.
Il a aussi mentionné le ratio de transformation qui impose que le rapport entre des crédits à moyen et long termes et des dépôts à moyen et long termes ne doit pas dépasser 50%.
Autrement dit, la capacité de prêter des banques à moyen et long termes ne doit pas être au-delà de la capacité de dépôt des clients à moyen et long termes.
Pour M. Yao, certains ratios limitent les possibilités des banques à financer les investissements.
Il a, par ailleurs, révélé que la note de la Côte d’Ivoire est de 10+ au niveau des agences de notation pour les performances économiques, une note qui la place au bas de l’échelle, a-t-il dit.
Les quelque 30 journalistes économiques ayant pris part à cette demi-journée de formation, ont souhaité voir se renouveler ces types de formation.
L’atelier animé par Yao Kouassi, premier vice-président de l’APBEF-CI, a permis aux journalistes de comprendre les états financiers d’une banque, notamment les notions de bilan, d’actif et de passif, les comptes de résultats.
Il s’est agi aussi de savoir comment analyser les performances d’une banque à travers les ratios de gestion ainsi quelques données d’analyse approfondie.
Ces données, a-t-il expliqué, sont liées à l’adéquation des fonds propres, à la qualité des actifs, à la capacité de gestion des risques, à l’expertise du management et aussi à la qualité des revenus, à la liquidité, à l’environnement et à la taille de la banque et ses parts de marché.
Selon M. Yao Kouassi, l’activité bancaire est le métier le plus réglementé au monde. Il a cité, à cet effet, des indicateurs fixant à 25% des fonds propres de la banque, l’ensemble des prêts consentis ou encore les prises de participation ne devant pas dépasser 15% du capital.
Il a aussi mentionné le ratio de transformation qui impose que le rapport entre des crédits à moyen et long termes et des dépôts à moyen et long termes ne doit pas dépasser 50%.
Autrement dit, la capacité de prêter des banques à moyen et long termes ne doit pas être au-delà de la capacité de dépôt des clients à moyen et long termes.
Pour M. Yao, certains ratios limitent les possibilités des banques à financer les investissements.
Il a, par ailleurs, révélé que la note de la Côte d’Ivoire est de 10+ au niveau des agences de notation pour les performances économiques, une note qui la place au bas de l’échelle, a-t-il dit.
Les quelque 30 journalistes économiques ayant pris part à cette demi-journée de formation, ont souhaité voir se renouveler ces types de formation.
