Le parti de l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo a salué dimanche l'intervention militaire française au Mali pour combattre les islamistes et réclamé l'envoi par la Côte d'Ivoire de troupes pour appuyer le contingent ouest-africain à déployer.
"Profondément attaché au caractère laïc, à la souveraineté des Etats africains", le Front populaire ivoirien (FPI), a affirmé, dans un communiqué qu'il "ne saurait accepter la naissance dun Etat théocratique et terroriste aux frontières de la Côte dIvoire".
Le FPI salue "la décision courageuse du président français François Hollande dagir dans lurgence, dans la mesure où il sagit de lutter contre le terrorisme et lobscurantisme", poursuit le texte signé du secrétaire général par intérim et porte-parole du FPI, Richard Kodjo.
Le parti de Gbagbo a également invité le président de la Cédéao, le chef d'Etat ivoirien Alassane Ouattara, "à fournir immédiatement des troupes pour aider larmée malienne à stabiliser la partie libre et à reconquérir la partie occupée".
M. Ouattara a autorisé vendredi l'envoi immédiat de troupes au Mali, pour épauler l'armée malienne dans son offensive contre les islamistes.
Ces groupes ont envahi le nord du Mali, un territoire grand comme la France, au lendemain du coup d'Etat du 22 mars de l'année dernière qui avait renversé le président malien démocratiquement élu Amadou Toumani Touré.
Des personnels militaires des pays d'Afrique de l'Ouest sont d'ores et déjà arrivés au Mali, notamment une équipe de l'armée de l'Air du Nigeria ainsi que le commandant de la future force africaine, le général Shesu Usman Abdulkadir.
Le Nigeria, principale puissance militaire au sein de la Cédéao, doit dépêcher 600 hommes au Mali, soit le contingent africain le plus important.
Le Burkina Faso, le Niger et le Sénégal se sont également engagés à participer à la force africaine en envoyant chacun 500 hommes en soutien à environ 5.000 soldats maliens pour reconquérir le nord du Mali.
"Profondément attaché au caractère laïc, à la souveraineté des Etats africains", le Front populaire ivoirien (FPI), a affirmé, dans un communiqué qu'il "ne saurait accepter la naissance dun Etat théocratique et terroriste aux frontières de la Côte dIvoire".
Le FPI salue "la décision courageuse du président français François Hollande dagir dans lurgence, dans la mesure où il sagit de lutter contre le terrorisme et lobscurantisme", poursuit le texte signé du secrétaire général par intérim et porte-parole du FPI, Richard Kodjo.
Le parti de Gbagbo a également invité le président de la Cédéao, le chef d'Etat ivoirien Alassane Ouattara, "à fournir immédiatement des troupes pour aider larmée malienne à stabiliser la partie libre et à reconquérir la partie occupée".
M. Ouattara a autorisé vendredi l'envoi immédiat de troupes au Mali, pour épauler l'armée malienne dans son offensive contre les islamistes.
Ces groupes ont envahi le nord du Mali, un territoire grand comme la France, au lendemain du coup d'Etat du 22 mars de l'année dernière qui avait renversé le président malien démocratiquement élu Amadou Toumani Touré.
Des personnels militaires des pays d'Afrique de l'Ouest sont d'ores et déjà arrivés au Mali, notamment une équipe de l'armée de l'Air du Nigeria ainsi que le commandant de la future force africaine, le général Shesu Usman Abdulkadir.
Le Nigeria, principale puissance militaire au sein de la Cédéao, doit dépêcher 600 hommes au Mali, soit le contingent africain le plus important.
Le Burkina Faso, le Niger et le Sénégal se sont également engagés à participer à la force africaine en envoyant chacun 500 hommes en soutien à environ 5.000 soldats maliens pour reconquérir le nord du Mali.