Daloa - La communauté des chasseurs traditionnels, communément appelés Dozos, a été invitée samedi à s’impliquer davantage dans les questions de cohésion sociale et de sécurité communautaire, à l’instar des autres communautés et couches sociales, afin de réduire l’impact d’atteinte aux droits humains, de violences basées sur le genre (VBG), du VIH/Sida, au sortir de la crise postélectorale dans le Haut-Sassandra.
Cette invite de l’ODAFEM (Organisation pour le développement des activités des femmes) s’inscrivait dans le cadre de la clôture de plusieurs campagnes de sensibilisation adressées aux leaders locaux, notamment aux autorités administratives et politiques, coutumières, religieuses, féminines, aux forces de sécurité, pour la normalisation de la situation sécuritaire et de la réconciliation nationale.
L’objectif de ces campagnes de sensibilisation, au dire de M. Tro Gbato Alexandre, responsable administratif de l’ONG ODAFEM, est de contribuer à la promotion de la cohésion sociale par le renforcement de la sécurité communautaire à l’ouest de la Côte d’Ivoire, dans le cadre du projet d’appui à la sécurité et à la cohésion sociale (PASCO) dans les localités de Duékoué, Guiglo, Daloa et Man.
C’est pourquoi, à l’issue des sessions de formation initiées au profit des relais communautaires de Daloa, la confrérie Dozo, souvent indexée dans les atteintes aux droits humains, a demandé, par la voix de son porte-parole, Koné Seydou, pardon pour les torts commis à la population.
M. Koné Seydou a "qu’ils (Dozos) ne sont pas là pour prendre la place des forces régulières, mais pour les appuyer en cas de besoin ou quand ils sont sollicités par la population.
Créée en 1999, l’ONG ODAFEM basée à Man a un bureau de coordination à Abidjan. Présidée par Mme Yo épouse Dro Henriette, l’ONG œuvre, selon ses dirigeants, pour le bien-être des femmes, des enfants et des jeunes en milieu rural et péri-urbain, par l’appui au développement de leurs activités à travers des projets de formation, de santé communautaire, de protection et de développement rural.
Elle a été choisie par le PNUD pour organiser des campagnes de sensibilisation publique sur les droits humains, la sécurité, la cohésion sociale, les VGB et le VIH/Sida dans le cadre du PASCO, suite à un accord de financement conclu entre le PNUD et l’Agence japonaise de coopération internationale.
Cette invite de l’ODAFEM (Organisation pour le développement des activités des femmes) s’inscrivait dans le cadre de la clôture de plusieurs campagnes de sensibilisation adressées aux leaders locaux, notamment aux autorités administratives et politiques, coutumières, religieuses, féminines, aux forces de sécurité, pour la normalisation de la situation sécuritaire et de la réconciliation nationale.
L’objectif de ces campagnes de sensibilisation, au dire de M. Tro Gbato Alexandre, responsable administratif de l’ONG ODAFEM, est de contribuer à la promotion de la cohésion sociale par le renforcement de la sécurité communautaire à l’ouest de la Côte d’Ivoire, dans le cadre du projet d’appui à la sécurité et à la cohésion sociale (PASCO) dans les localités de Duékoué, Guiglo, Daloa et Man.
C’est pourquoi, à l’issue des sessions de formation initiées au profit des relais communautaires de Daloa, la confrérie Dozo, souvent indexée dans les atteintes aux droits humains, a demandé, par la voix de son porte-parole, Koné Seydou, pardon pour les torts commis à la population.
M. Koné Seydou a "qu’ils (Dozos) ne sont pas là pour prendre la place des forces régulières, mais pour les appuyer en cas de besoin ou quand ils sont sollicités par la population.
Créée en 1999, l’ONG ODAFEM basée à Man a un bureau de coordination à Abidjan. Présidée par Mme Yo épouse Dro Henriette, l’ONG œuvre, selon ses dirigeants, pour le bien-être des femmes, des enfants et des jeunes en milieu rural et péri-urbain, par l’appui au développement de leurs activités à travers des projets de formation, de santé communautaire, de protection et de développement rural.
Elle a été choisie par le PNUD pour organiser des campagnes de sensibilisation publique sur les droits humains, la sécurité, la cohésion sociale, les VGB et le VIH/Sida dans le cadre du PASCO, suite à un accord de financement conclu entre le PNUD et l’Agence japonaise de coopération internationale.