‘’L’impunité avec le régime RDR, c’est terminé. Quand vous fautez, vous assumez. Quand vous parlez, vous assumez votre parole. Quand vous agissez, vous assumez les conséquences de vos actions. Donc personne n’est en prison injustement, personne n’est en prison gratuitement’’. C’est en ces termes que le secrétaire général par intérim du Rdr Amadou Soumahoro a éclairé la vision de son parti sur le concept ‘’réconciliation et justice’’. Il l’a dit dans une interview accordée à Notre Voie et parue dans son édition n°4317 du lundi 14 janvier 2013.
Amadou Soumahoro s’est également exprimé sur d’autres sujets de l’actualité, notamment la bousculade qui a fait près de 63morts et de nombreux blessés. Selon lui chacun à son niveau, a assumé sa part de responsabilité tant au niveau du ministère de l’intérieur, du district d’Abidjan que du directeur général de la police. « L’histoire récente nous enseigne que sous ceux qui demandent aujourd’hui la démission du ministre de l’Intérieur, il y a eu les scandales les plus ardents dans notre pays. Et on a oublié à cette époque le verbe « démissionner »’’, a commenté Amadou Soumahoro. Concernant le processus de réconciliation Amadou Soumahoro dit ‘’croire en la paix’’. ‘’Je place cette année sous le signe de la paix et du travail. Car après tout, ce qui est important c’est que la Côte d’Ivoire se remette au travail. Seul le travail pourra permettre au gouvernement d’atteindre cette volonté effrénée du président de la république de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 tel qui l’a souhaité’’.
Pour le secrétaire général du RDR, ce n’est pas le 11 avril 2011 que la crise ivoirienne s’est aggravée. Il en veut pour preuve le forum de la réconciliation de 2001 qui s’est tenu parce qu’il y avait déjà une crise grave. Cependant, dit-il, les mesures qui ont été prises en ce moment là n’ont pas été appliquées par ceux qui au pouvoir à cette époque. A propos de la rébellion de 2002 le secrétaire général explique comprendre ses raisons mais que son parti n’en est pas l’auteur puisque ceux qui l’ont créée « sont prêts à l’assumer ». L’interlocuteur de Notre Voie que les militants surnomment Tchomba a aussi fait des précisions sur ses traits de caractère, lui que ses détracteurs taxent d’extrémiste. ‘’Je ne suis pas un extrémiste. Je dis la vérité tout simplement. Quand on dit la vérité, les interlocuteurs que cela n’arrange pas vous trouvent extrémiste ou vous qualifient d’homme aux propos saillants’’, s’est-il défendu.
SD et Grambouté M.
Amadou Soumahoro s’est également exprimé sur d’autres sujets de l’actualité, notamment la bousculade qui a fait près de 63morts et de nombreux blessés. Selon lui chacun à son niveau, a assumé sa part de responsabilité tant au niveau du ministère de l’intérieur, du district d’Abidjan que du directeur général de la police. « L’histoire récente nous enseigne que sous ceux qui demandent aujourd’hui la démission du ministre de l’Intérieur, il y a eu les scandales les plus ardents dans notre pays. Et on a oublié à cette époque le verbe « démissionner »’’, a commenté Amadou Soumahoro. Concernant le processus de réconciliation Amadou Soumahoro dit ‘’croire en la paix’’. ‘’Je place cette année sous le signe de la paix et du travail. Car après tout, ce qui est important c’est que la Côte d’Ivoire se remette au travail. Seul le travail pourra permettre au gouvernement d’atteindre cette volonté effrénée du président de la république de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 tel qui l’a souhaité’’.
Pour le secrétaire général du RDR, ce n’est pas le 11 avril 2011 que la crise ivoirienne s’est aggravée. Il en veut pour preuve le forum de la réconciliation de 2001 qui s’est tenu parce qu’il y avait déjà une crise grave. Cependant, dit-il, les mesures qui ont été prises en ce moment là n’ont pas été appliquées par ceux qui au pouvoir à cette époque. A propos de la rébellion de 2002 le secrétaire général explique comprendre ses raisons mais que son parti n’en est pas l’auteur puisque ceux qui l’ont créée « sont prêts à l’assumer ». L’interlocuteur de Notre Voie que les militants surnomment Tchomba a aussi fait des précisions sur ses traits de caractère, lui que ses détracteurs taxent d’extrémiste. ‘’Je ne suis pas un extrémiste. Je dis la vérité tout simplement. Quand on dit la vérité, les interlocuteurs que cela n’arrange pas vous trouvent extrémiste ou vous qualifient d’homme aux propos saillants’’, s’est-il défendu.
SD et Grambouté M.
