Bonne nouvelle pour ceux qui désirent suivre une formation à l’Université Senghor d’Alexandrie. Ils n’auront plus besoin de se rendre en Egypte, car ils pourront désormais prendre les cours ici à Abidjan, précisément dans les locaux de la Commission Nationale de la Francophonie (CNF), qui abritera un Campus Senghor pour la Côte d’Ivoire. C’est le fruit d’une convention qui a été signée, vendredi après-midi, entre cette université francophone et la CNF. C’était justement dans les locaux de la CNF, situés à Cocody-Les Deux Plateaux Vallons. Peu avant qu’ils ne scellent officiellement leur union, le Secrétaire général de la CNF, M. Epiphane Zoro, et le Recteur de l’Université Senghor, Pr Albert Lourde, ont fait à la presse le point de la visite de ce dernier en Côte d’Ivoire. Ainsi, on a appris que l’éminent universitaire était à Abidjan du 6 au 11 janvier, à l’invitation de la Commission Nationale de la Francophonie et sous l’égide du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
«La mission du Recteur avait pour objectif d’identifier les besoins en formation et d’explorer les possibilités de partenariat plus actif entre l’Université Senghor et la Côte d’Ivoire, en vue d’assister le pays notamment dans les efforts de renforcement des capacités du système académique et de l’administration, initiée par les autorités nationales», a expliqué, M. Zoro.
Dans la capitale économique ivoirienne, le Pr Lourde a successivement rencontré les ministres de la Culture et de la Francophonie ; de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ; de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, et celui de l’Education nationale et de l’Enseignement technique. Aussi s’est-il entretenu avec les cadres des ministères de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable ; de la Santé ; de la Fonction publique et de la Réforme administrative.
Sans oublier des séances de travail avec la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, l’Ecole Normale Supérieure et l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (Insaac). Les échanges ont porté sur les possibilités d’implantation des Licences et Masters Professionnels, et également des formations hautement spécialisées délivrées à la carte, selon les besoins de formations exprimées par les opérateurs nationaux. Bien plus, le Pr Albert Lourde a même signé une convention avec le ministère de la Culture et de la Francophonie pour l’implantation de deux Masters : l’un porte sur la gestion du patrimoine culturel, et l’autre sur les industries culturelles. A ces formations, a précisé le Recteur de l’Université Senghor, s’ajouteront d’autres. «Toutes ces formations vont former le Campus Côte d’Ivoire qui sera le plus grand de l’Afrique de l’Ouest. Nous allons travailler pour la jeunesse ivoirienne et l’avenir de ce pays», a fait savoir le Pr Lourde, tout en soulignant que la CNF sera l’opérateur direct de l’Université Senghor en Côte d’Ivoire.
Tout en faisant remarquer que leurs diplômes sont reconnus dans le monde entier, le Pr Albert Lourde a rappelé que son établissement a été créé par les Chefs d’Etats membres de la Francophonie, pour former les cadres africains pour le développement de l’Afrique. «Nous donnons à nos étudiants, le sens de l’intérêt général, la formation morale pour qu’ils soient de véritables militants du développement», a-t-il conclu.
YS
«La mission du Recteur avait pour objectif d’identifier les besoins en formation et d’explorer les possibilités de partenariat plus actif entre l’Université Senghor et la Côte d’Ivoire, en vue d’assister le pays notamment dans les efforts de renforcement des capacités du système académique et de l’administration, initiée par les autorités nationales», a expliqué, M. Zoro.
Dans la capitale économique ivoirienne, le Pr Lourde a successivement rencontré les ministres de la Culture et de la Francophonie ; de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ; de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, et celui de l’Education nationale et de l’Enseignement technique. Aussi s’est-il entretenu avec les cadres des ministères de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable ; de la Santé ; de la Fonction publique et de la Réforme administrative.
Sans oublier des séances de travail avec la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, l’Ecole Normale Supérieure et l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (Insaac). Les échanges ont porté sur les possibilités d’implantation des Licences et Masters Professionnels, et également des formations hautement spécialisées délivrées à la carte, selon les besoins de formations exprimées par les opérateurs nationaux. Bien plus, le Pr Albert Lourde a même signé une convention avec le ministère de la Culture et de la Francophonie pour l’implantation de deux Masters : l’un porte sur la gestion du patrimoine culturel, et l’autre sur les industries culturelles. A ces formations, a précisé le Recteur de l’Université Senghor, s’ajouteront d’autres. «Toutes ces formations vont former le Campus Côte d’Ivoire qui sera le plus grand de l’Afrique de l’Ouest. Nous allons travailler pour la jeunesse ivoirienne et l’avenir de ce pays», a fait savoir le Pr Lourde, tout en soulignant que la CNF sera l’opérateur direct de l’Université Senghor en Côte d’Ivoire.
Tout en faisant remarquer que leurs diplômes sont reconnus dans le monde entier, le Pr Albert Lourde a rappelé que son établissement a été créé par les Chefs d’Etats membres de la Francophonie, pour former les cadres africains pour le développement de l’Afrique. «Nous donnons à nos étudiants, le sens de l’intérêt général, la formation morale pour qu’ils soient de véritables militants du développement», a-t-il conclu.
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