Abidjan - Le ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a annoncé vendredi, lors de la cérémonie de présentation de vœux des structures sous-tutelle, des membres de son cabinet, des organisations professionnelles et des afficheurs, qu’elle place l’année 2013 sous le sceau de la réconciliation.
"La communication en 2013 devra jouer un rôle majeur dans le fragile et délicat processus de réconciliation nationale", a souligné Me Affoussiata Bamba-Lamine, avant d’insister sur la taille de la responsabilité dans cette quête en raison de l’image ternie des médias.
"Nous devons inverser la tendance, afin que les médias deviennent des amplificateurs de la paix sociale et de la concorde nationale qui nécessitent une redynamisation de la communication publique au service du développement de la Côte d’Ivoire", a-t-elle ajouté.
Cette cérémonie de présentation de vœux a été également l’occasion pour les différentes structures et organisations présentes, notamment l’Agence ivoirienne de presse (AIP), le Groupement des éditeurs de Côte d’Ivoire (GEPCI), la Chambre des afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI), la Radiodiffusion télévision ivoirien (RTI), la Société nationale d’édition et de presse de Côte d’Ivoire (SNEPCI) de présenter à la tutelle quelques doléances pour un meilleur fonctionnement de leurs structures.
"La communication en 2013 devra jouer un rôle majeur dans le fragile et délicat processus de réconciliation nationale", a souligné Me Affoussiata Bamba-Lamine, avant d’insister sur la taille de la responsabilité dans cette quête en raison de l’image ternie des médias.
"Nous devons inverser la tendance, afin que les médias deviennent des amplificateurs de la paix sociale et de la concorde nationale qui nécessitent une redynamisation de la communication publique au service du développement de la Côte d’Ivoire", a-t-elle ajouté.
Cette cérémonie de présentation de vœux a été également l’occasion pour les différentes structures et organisations présentes, notamment l’Agence ivoirienne de presse (AIP), le Groupement des éditeurs de Côte d’Ivoire (GEPCI), la Chambre des afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI), la Radiodiffusion télévision ivoirien (RTI), la Société nationale d’édition et de presse de Côte d’Ivoire (SNEPCI) de présenter à la tutelle quelques doléances pour un meilleur fonctionnement de leurs structures.